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ie quotidienne. Gérard tenait en laisse le fameux
homard
enrubanné. « Cela vexe les Viennois, me dit-il, parce qu’ils y voient
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raversions une rue sillonnée de taxis rapides, le
homard
refusa obstinément de progresser. Gérard dut le prendre sous le bras,
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èrent désespérément à ses manches. De terreur, le
homard
avait rougi : il conserva toute la nuit une magnifique couleur orangé
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effarée, et nous sortîmes, après avoir délivré le
homard
qui, laissé au vestiaire, y était l’objet de vexations diverses et de
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e temps en temps, s’il parlait à voix basse à son
homard
, qui semblait d’ailleurs endormi. En passant par la Freyung, nous vîm
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le vent menaçait d’éteindre à chaque instant, le
homard
se réveilla. Gérard m’expliqua qu’il en était ainsi chaque nuit, que
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anda donc une petite portion et la fit prendre au
homard
avec toutes sortes de soins. Les chauffeurs regardaient d’un œil las,