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réalité, une vérité. » À la formule philosophique
homo
finitus non capax infiniti, Barth répond par la formule chrétienne ho
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infiniti, Barth répond par la formule chrétienne
homo
peccator non capax verbi Dei, l’homme pécheur n’est pas « capable » d
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onal » au sens unitaire. Je ne crois même pas à l’
homo
alpinus, création polémique de Ramuz. t. « Réponse », Suisse romande
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licier, Buenos Aires, 1941. 5. Voir J. Huizinga,
Homo
Ludens, Amsterdam, 1939. h. « Les règles du jeu dans l’art romanesqu
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rançais : Philosophie und Religion de C. G. Jung,
Homo
Ludens de J. Huizinga (qu’il m’avait envoyé en allemand après nos ent
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e se croire et de se sentir unique, caractérise l’
homo
europæus, quelle que soit d’ailleurs sa naissance, et le rend différe
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sive : point de réponse rationnelle au « cur deus
homo
» de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce mystère, l’approche
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ue de conceptions de l’homme. Les uns décrivent l’
homo
faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’aide d’
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ue de conceptions de l’homme. Les uns décrivent l’
homo
faber comme répondant au défi de la Nature : il se défend à l’aide d’
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ursive : point de réponse rationnelle au cur deus
homo
de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce mystère, l’approche pa
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ursive : point de réponse rationnelle au cur deus
homo
de saint Anselme. Kassner gravite autour de ce mystère, l’approche pa
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rope », aussi zoologiste, et ici anthropologue :
Homo
Europæus. Albus sanguineus, torosus Pilis flavescentibus prolixis ; o
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a modifié l’environnement naturel et social de l’
homo
sapiens d’une manière si radicale qu’on dirait qu’une espèce nouvelle
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primer l’homme en tant que national ou régional —
homo
helveticus dans le cas particulier, valdensis serait plus exact — cet
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Ramuz. Mais il ne croyait pas à l’Helvetia et à l’
homo
helveticus. Il ne croyait qu’au pays de Vaud, réduit aux vignes, et p
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963, p. 20. Il s’agit d’une réponse à l’enquête «
Homo
helveticus : existe-t-il en Suisse romande ? »
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s tenté de situer à grands traits cette idée de l’
homo
europaeus dans la conjoncture politique d’où allait naître le Mouveme
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. L’une a pour point de départ la définition de l’
homo
europaeus comme personne à la fois libre et responsable. L’autre déco
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me en général, der Mensch comme dit l’allemand, l’
homo
latin, auquel a cru l’Europe classique, et qui était invariable, éter
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font des choses, des objets, et des instruments :
homo
faber désigne une grande partie de l’humanité : ouvriers, artistes, s
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ce canton depuis le Moyen Âge. Le type même de l’
homo
alpinus : des cheveux bouclés de pâtre grec, un front de taurillon d’
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érature en général : de l’helvétisme à Ramuz L’
homo
alpinus se distingue dans les manuels de la préhistoire : se distingu
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and poète, un seul en six-cents ans, voilà pour l’
homo
alpinus. Je crois bien qu’Othon de Grandson, chevalier, troubadour ta
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lui d’un accusé et d’un coupable. Helveticus sum,
homo
sum, peccator sum. Péché et culpabilité sont des concepts théologiqu
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lui d’un accusé et d’un coupable. Helveticus sum,
homo
sum, peccator sum 16. Péché et culpabilité sont des concepts théolog
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fait que la finitude n’est pas capable d’infini —
homo
finitus non capax infiniti — comme le savaient les scolastiques et co
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ais un homme qui se fait en allant vers ses fins,
homo
viator et non statique et stable comme le voudrait l’État — car ce qu