1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ne phrase, il justifie son livre : « Ranimons ces horreurs pour les vouloir éviter, et ces grandeurs pour n’en pas trop descendr
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 inions nous menait naturellement à repousser avec horreur tout argument d’utilité, et bien que nous niions toute vérité, nous é
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 cet amour tourne en adoration ou en une véritable horreur sacrée. Voici Alban devant une bête qu’il devra combattre le lendemai
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
4 u en prononçant de séniles calembours… Pénétrés d’ horreur , les bellettriens avaient fui. Au détour d’une ivresse, ils rencontrè
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 t dit, ne fût-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fant
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
6 aite pour y contribuer : si grande est en effet l’ horreur que M. Nizan éprouve à contempler « ce résidu impitoyable, descriptib
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
7  ? Chateaubriand, devant le Mont-Blanc, clame son horreur de tant de démesure, et ses descriptions des Alpes constituent « le p
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
8 dire, ne fut-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai horreur de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fant
9 1933, Articles divers (1932-1935). Sur un certain front unique (15 février 1933)
9 olutionnaires dont vous répudiez aujourd’hui avec horreur la prétendue « solidarité ». Je crois d’ailleurs avoir indiqué nettem
10 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
10 rant sans crime… enfin qui, pour comble de toutes horreurs , remplit toutes les provinces du Royaume de parjures et de sacrilèges
11 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
11  reste la seule angoisse. Etc., etc.) Nietzsche a horreur de toute dogmatique13 : il est par là le type le plus parfait du cler
12 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
12 nglobe le personnalisme dans ce qu’il nomme, avec horreur , l’anti-Progrès. C’est sans doute qu’il estime, avec ses confrères Le
13 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
13 ions ici ne sont pas « vides » — le vocabulaire a horreur du vide — mais ils ont été mal remplis, ou remplis au hasard, — et en
14 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
14 rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’ horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
15 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
15 aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur . Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
16 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
16 rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’ horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestatio
17 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
17 pris en entendant le Führer ; par ce frisson de l’ horreur sacrée. Si l’on n’a pas senti cela, je crains qu’on ne comprenne jama
18 1939, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Faire le jeu d’Hitler (1er janvier 1939)
18 iscute pas. Mais le sacré est toujours ambigu : l’ horreur toujours liée à l’attirance. En discutant Hitler, je le profane. C’es
19 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
19 ser le Rhin pour ressentir, jusqu’au frisson de l’ horreur sacrée, la réalité monstrueuse d’une de ces religions larvaires. On d
20 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
20 terrain que je puis le défendre. Malgré toute mon horreur de Kant, je dirai même que j’en ressens l’obligation. Ma formation th
21 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
21 lourd tumulte avant le jour — aveugle proie de l’ horreur désirée — prêtant l’oreille au martelant galop du cheval roux de notr
22 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
22 invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec horreur la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
23 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
23 une face immobile et fascinante, — ce nous-même d’ horreur et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
24 eule pensée du crime y est regardée avec autant d’ horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
25 fût dès ce moment condamnable  — et « crime », «  horreurs  », « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
24 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
26 aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur . Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
25 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
27 lourd tumulte avant le jour — aveugle proie de l’ horreur désirée — prêtant l’oreille au martelant galop du cheval roux de notr
26 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
28 invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec horreur la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
27 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
29 une face immobile et fascinante — ce nous-même d’ horreur et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
30 eule pensée du crime y est regardée avec autant d’ horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
31 l fût dès ce moment condamnable — et « crime », «  horreurs  », « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
28 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
32 aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur . Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
33 invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec horreur la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
30 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
34 une face immobile et fascinante — ce nous-même d’ horreur et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
35 eule pensée du crime y est regardée avec autant d’ horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
36 l fût dès ce moment condamnable — et « crime », «  horreurs  », « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
31 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
37 aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur . Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
32 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
38 est fasciné par l’obstacle qu’il veut éviter. Son horreur du malentendu l’entraîne à livrer au public treize cents pages d’expl
39 néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son horreur congénitale des tours de passe-passe religieux. En somme, tout son ef
40 orcé de s’asseoir au culte de famille. Sa gêne. L’ horreur du geste qui puisse dépasser son sentiment… » Kierkegaard, lui aussi,
33 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
41 ance à l’endroit de la véritable culture. Ils ont horreur de tout ce qui leur paraît « compliqué ». Ils jugent suspect tout ce
34 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
42 sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
35 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
43 ance à l’endroit de la véritable culture. Ils ont horreur de tout ce qui leur paraît compliqué. Ils jugent suspect tout ce qui
36 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
44 prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’ horreur sacrée, qu’il est le siège d’une « domination », d’un « trône » ou d’
37 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
45 ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une horreur extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
38 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
46 Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon horreur des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
39 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
47 prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’ horreur sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
40 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
48 ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une horreur extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
41 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
49 Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon horreur des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
42 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
50 prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’ horreur sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
43 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
51 ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une horreur extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
44 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
52 Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon horreur des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
45 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
53 impose aux amants leur silence, fascination de l’ horreur sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la po
46 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
54 sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
47 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
55 est fasciné par l’obstacle qu’il veut éviter. Son horreur du malentendu l’entraîne à livrer au public 1300 pages d’explications
56 néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son horreur congénitale des tours de passe-passe religieux. En somme, tout son ef
57 orcé de s’asseoir au culte de famille. Sa gêne. L’ horreur du geste qui puisse dépasser son sentiment… » Kierkegaard, lui aussi,
48 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
58 hommes poursuivre leur discours, pénétrant dans l’ horreur sans mémoire ? Il faut croire, aujourd’hui, que cela se peut. Cela s’
49 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
59 sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
50 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
60 ette rue. C’est tout, mais c’est l’enfer, c’est l’ horreur absolue. Il faut fuir, et je me réveille8. Je n’ai rien d’autre à dir
61 démarche des passants, et voilà l’épouvante et l’ horreur . Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manqu
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
62 rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’ horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
63 pris en entendant le Führer ; par ce frisson de l’ horreur sacrée. Si l’on n’a pas senti cela, je crains qu’on ne comprenne jama
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
64 discute pas. Mais le sacré est toujours ambigu, l’ horreur toujours liée à l’attirance. En discutant Hitler, je le profane. C’es
65 ser le Rhin pour ressentir, jusqu’au frisson de l’ horreur sacrée, la réalité monstrueuse d’une de ces religions larvaires. On d
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
66 sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué, horreur et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
55 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
67 ette rue. C’est tout, mais c’est l’enfer, c’est l’ horreur absolue. Il faut fuir, et je me réveille89. Je n’ai rien d’autre à di
68 démarche des passants, et voilà l’épouvante et l’ horreur . Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manqu
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
69 l’éducation des masses américaines, déplorant les horreurs de la guerre et buvant beaucoup de cocktails. Marcel, charmant et pol
57 1947, Doctrine fabuleuse. Angérone
70 impose aux amants leur silence, fascination de l’ horreur sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la p
58 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
71 hommes poursuivre leur discours, pénétrant dans l’ horreur sans mémoire ? Il faut croire, aujourd’hui, que cela se peut. Cela s’
59 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est encore un espoir (8 décembre 1949)
72 de souffrance. Vous avez trop souffert la longue horreur des camps pour croire au sursaut de l’humain qui pourrait seul sauver
60 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
73 qu’un de ces vides dont l’Histoire n’a pas moins horreur que la Nature. De plus, elle se voit amputée, pour le moment, d’un qu
61 1952, Articles divers (1951-1956). Prototype T.E.L. (janvier 1952)
74 que de lui-même. Son pouvoir sur autrui lui fait horreur , il l’avoue à plusieurs reprises. Il n’en use qu’avec répugnance (pou
62 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
75 n du monde soviétique se doit de rejeter avec une horreur officielle l’idée non scientifique, bourgeoise et individualiste de l
63 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
76 re d’esprit positive et volontiers simpliste, une horreur congénitale de la rhétorique sous toutes ses formes, un égalitarisme
64 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
77 discipline, sont ici arrachées de leur place ; l’ horreur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours
78 reur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours celui qui respecte en l’homme un noyau de liberté au
79 té la guerre totale ! D’où provient alors cette «  horreur  » et ce « plus violent des refus » qu’éprouve l’Européen, selon Jünge
65 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
80 discipline, sont ici arrachées de leur place ; l’ horreur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours
81 reur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours celui qui respecte en l’homme un noyau de liberté au
82 té la guerre totale ! D’où provient alors cette «  horreur  » et ce « plus violent des refus » qu’éprouve l’Européen, selon Jünge
66 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
83 venture, au lieu de les enfermer dans l’apaisante horreur d’un Sacré hiératique ou cyclique. Quelle est l’autre culture ou civi
67 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
84 qu’à la dernière extrémité. C’est dire qu’ils ont horreur de la vraie politique, qui est l’art des compromis heureux. Il en rés
68 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
85 espèce entière : tout ce qui est humain leur fait horreur , elles aiment les chiens et les surhommes. » Si donc les Français veu
69 1959, Preuves, articles (1951–1968). Sur une phrase du « Bloc-notes » (mars 1959)
86 ce qui devait rester profane est sacralisé par l’ horreur . Tout est faux, insondablement faux, perd son sens et tourne au cauch
70 1961, Preuves, articles (1951–1968). Dialectique des mythes : Le carrefour fabuleux (I) (avril 1961)
87 crate — cette attaque frontale : Le philosophe a horreur du mariage, et de tout ce qui pourrait l’y conduire, — du mariage en
71 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
88 crate — cette attaque frontale : Le philosophe a horreur du mariage et de tout ce qui pourrait l’y conduire, — du mariage en t
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
89 le vaste tombeau qui recouvre avec eux toutes les horreurs de la violence. Aux yeux de la raison, il n’y a pas, pour des États e
90 utrichienne. Le mot d’Europe m’est devenu objet d’ horreur  » ; ou encore : « … j’ai perdu toute envie d’être un Européen. » Ce q
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
91 t innombrable, irrésistible, immense, autant il a horreur des divisions, des scissions, des minorités. Son idéal, son rêve le p
74 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
92 sur tous les efforts et aspirations, s’étendra l’ horreur livide de la mort, parce qu’une fois de plus la force nue aura le des
75 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
93 regardaient leurs ennemis vaincus comme étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des crimes, ce qui rendait la cruau
94 iques du national-socialisme, et de la réaction d’ horreur universelle à la découverte des crimes que ces doctrines prétendaient
76 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
95 re d’esprit positive et volontiers simpliste, une horreur congénitale de la rhétorique sous toutes ses formes, et aussi une pud
77 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
96 l’éducation des masses américaines, déplorant les horreurs de la guerre et buvant beaucoup de cocktails. Marcel, charmant et pol
78 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
97 on de la Croix-Rouge. Mais vouloir « diminuer les horreurs de la guerre » qui est son intention déclarée à toutes fins d’efficac
98 avec les bien-pensants de tous les temps, que ces horreurs sont fatales et voulues par les dieux ; c’est encore admettre la guer
99 admettre la guerre. (Que serait une guerre sans «  horreurs  » ?) J’avoue qu’à ma première lecture du Souvenir, j’avais achoppé su
79 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
100 qu’un de ces vides dont l’Histoire n’a pas moins horreur que la Nature. Les raisons immédiates de cette décadence sont claires
80 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
101 n du monde soviétique se doit de rejeter avec une horreur officielle l’idée non scientifique, bourgeoise et individualiste de l
81 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
102 beau plaider que je n’ai rien inventé, que ces «  horreurs  » sont dans les textes218, cette dame n’admet pas que l’on tienne com
82 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
103 i. C’est grâce à Abetz que j’ai pu voir de près l’ horreur hitlérienne à ses commencements. Bien sûr, en m’offrant ce poste à Fr
104 re politique en France. De plus, j’ai toujours eu horreur des partis. Ce qui ne m’a pas empêché de militer un peu partoutap afi
83 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
105 ts qui s’en prenaient au dogme d’amateurs (quelle horreur  ), d’idéalistes (pire encore), ou même d’autodidactes (on irait jusqu
84 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Deuxième histoire de fous : Hitler
106 r l’avoir éprouvé en sa présence par un frisson d’ horreur sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
85 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
107 rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’ horreur sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
86 1979, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Avez-vous lu Jérôme Deshusses ? (16 mars 1979)
108 e humaine n’aura bientôt plus le choix qu’entre l’ horreur de son propre tintamarre et la voie des aveux… Depuis que l’homme exi
87 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
109 population soit corrigé par la nature ». (Voyez l’ horreur à laquelle on arrive !) Ou, à moins que des quantités énormes de nour
88 1980, Réforme, articles (1946–1980). Les Nations unies des animaux (13 décembre 1980)
110 les Nations unies des animaux mais je recule avec horreur devant l’idée d’une Unesco des animaux ! Car les mots que nous pouvon
89 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
111 tour à la féodalité ; et cela représentait donc l’ horreur complète pour le Français moyen, mais qui n’en a aucune idée exacte :
90 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
112 de l’Enfer, le rictus effrayant du démon, et les horreurs du péché rendues sensibles par celles du châtiment. Je ne me suis att
91 1983, Articles divers (1982-1985). Hitler, l’anti-prophète de notre siècle (10 février 1983)
113 r l’avoir éprouvé en sa présence par un frisson d’ horreur sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône », d’
92 1984, Articles divers (1982-1985). L’agora, condition première de la démocratie réelle (décembre 1984-janvier 1985)
114 époque en 1968. Ce jour-là, j’ai vécu jusqu’à l’ horreur sacrée la réalité de l’anti-agora, de la dimension monstrueuse, massi