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ne phrase, il justifie son livre : « Ranimons ces
horreurs
pour les vouloir éviter, et ces grandeurs pour n’en pas trop descendr
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inions nous menait naturellement à repousser avec
horreur
tout argument d’utilité, et bien que nous niions toute vérité, nous é
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cet amour tourne en adoration ou en une véritable
horreur
sacrée. Voici Alban devant une bête qu’il devra combattre le lendemai
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u en prononçant de séniles calembours… Pénétrés d’
horreur
, les bellettriens avaient fui. Au détour d’une ivresse, ils rencontrè
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t dit, ne fût-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai
horreur
de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fant
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aite pour y contribuer : si grande est en effet l’
horreur
que M. Nizan éprouve à contempler « ce résidu impitoyable, descriptib
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? Chateaubriand, devant le Mont-Blanc, clame son
horreur
de tant de démesure, et ses descriptions des Alpes constituent « le p
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dire, ne fut-ce qu’une fois en leur vie : « J’ai
horreur
de la sentimentalité ».) Nous voici donc en taxi, « nous deux le fant
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olutionnaires dont vous répudiez aujourd’hui avec
horreur
la prétendue « solidarité ». Je crois d’ailleurs avoir indiqué nettem
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rant sans crime… enfin qui, pour comble de toutes
horreurs
, remplit toutes les provinces du Royaume de parjures et de sacrilèges
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reste la seule angoisse. Etc., etc.) Nietzsche a
horreur
de toute dogmatique13 : il est par là le type le plus parfait du cler
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nglobe le personnalisme dans ce qu’il nomme, avec
horreur
, l’anti-Progrès. C’est sans doute qu’il estime, avec ses confrères Le
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ions ici ne sont pas « vides » — le vocabulaire a
horreur
du vide — mais ils ont été mal remplis, ou remplis au hasard, — et en
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rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’
horreur
sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
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aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec
horreur
. Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
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rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’
horreur
sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestatio
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pris en entendant le Führer ; par ce frisson de l’
horreur
sacrée. Si l’on n’a pas senti cela, je crains qu’on ne comprenne jama
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iscute pas. Mais le sacré est toujours ambigu : l’
horreur
toujours liée à l’attirance. En discutant Hitler, je le profane. C’es
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ser le Rhin pour ressentir, jusqu’au frisson de l’
horreur
sacrée, la réalité monstrueuse d’une de ces religions larvaires. On d
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terrain que je puis le défendre. Malgré toute mon
horreur
de Kant, je dirai même que j’en ressens l’obligation. Ma formation th
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lourd tumulte avant le jour — aveugle proie de l’
horreur
désirée — prêtant l’oreille au martelant galop du cheval roux de notr
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invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec
horreur
la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
23
une face immobile et fascinante, — ce nous-même d’
horreur
et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
24
eule pensée du crime y est regardée avec autant d’
horreur
que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
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fût dès ce moment condamnable — et « crime », «
horreurs
», « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
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aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec
horreur
. Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
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lourd tumulte avant le jour — aveugle proie de l’
horreur
désirée — prêtant l’oreille au martelant galop du cheval roux de notr
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invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec
horreur
la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
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une face immobile et fascinante — ce nous-même d’
horreur
et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
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eule pensée du crime y est regardée avec autant d’
horreur
que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
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l fût dès ce moment condamnable — et « crime », «
horreurs
», « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
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aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec
horreur
. Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
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invérifiable, injustifiable, dont il rejette avec
horreur
la connaissance. Il tient son excuse toute prête, et elle le trompe m
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une face immobile et fascinante — ce nous-même d’
horreur
et de divinité auquel s’adressent nos plus beaux poèmes ; ressuscité
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eule pensée du crime y est regardée avec autant d’
horreur
que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraie
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l fût dès ce moment condamnable — et « crime », «
horreurs
», « corruption », ce même amour après la possession. La faute qui co
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aintes sacrées et sociales, elle le repousse avec
horreur
. Car l’engagement religieux est pris « pour le temps et l’éternité »,
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est fasciné par l’obstacle qu’il veut éviter. Son
horreur
du malentendu l’entraîne à livrer au public treize cents pages d’expl
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néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son
horreur
congénitale des tours de passe-passe religieux. En somme, tout son ef
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orcé de s’asseoir au culte de famille. Sa gêne. L’
horreur
du geste qui puisse dépasser son sentiment… » Kierkegaard, lui aussi,
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ance à l’endroit de la véritable culture. Ils ont
horreur
de tout ce qui leur paraît « compliqué ». Ils jugent suspect tout ce
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sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué,
horreur
et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
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ance à l’endroit de la véritable culture. Ils ont
horreur
de tout ce qui leur paraît compliqué. Ils jugent suspect tout ce qui
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prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’
horreur
sacrée, qu’il est le siège d’une « domination », d’un « trône » ou d’
45
ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une
horreur
extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
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Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon
horreur
des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
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prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’
horreur
sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
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ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une
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extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
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Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon
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des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
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prouvé en sa présence par une espèce de frisson d’
horreur
sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
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ar, dit-elle avec naïveté, « j’avais moi-même une
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extrême pour le mensonge ». Jalousie, injustice, état de mensonge con
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Dirai-je maintenant mon idéal et ma vision ? Mon
horreur
des programmes n’a d’égale que l’étendue de mon scepticisme quant aux
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impose aux amants leur silence, fascination de l’
horreur
sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la po
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sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué,
horreur
et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
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est fasciné par l’obstacle qu’il veut éviter. Son
horreur
du malentendu l’entraîne à livrer au public 1300 pages d’explications
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néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son
horreur
congénitale des tours de passe-passe religieux. En somme, tout son ef
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orcé de s’asseoir au culte de famille. Sa gêne. L’
horreur
du geste qui puisse dépasser son sentiment… » Kierkegaard, lui aussi,
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hommes poursuivre leur discours, pénétrant dans l’
horreur
sans mémoire ? Il faut croire, aujourd’hui, que cela se peut. Cela s’
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sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué,
horreur
et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
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ette rue. C’est tout, mais c’est l’enfer, c’est l’
horreur
absolue. Il faut fuir, et je me réveille8. Je n’ai rien d’autre à dir
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démarche des passants, et voilà l’épouvante et l’
horreur
. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manqu
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rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’
horreur
sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
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pris en entendant le Führer ; par ce frisson de l’
horreur
sacrée. Si l’on n’a pas senti cela, je crains qu’on ne comprenne jama
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discute pas. Mais le sacré est toujours ambigu, l’
horreur
toujours liée à l’attirance. En discutant Hitler, je le profane. C’es
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ser le Rhin pour ressentir, jusqu’au frisson de l’
horreur
sacrée, la réalité monstrueuse d’une de ces religions larvaires. On d
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sus un livre vrai, un livre où tout serait avoué,
horreur
et charme, à travers la vision d’un saint qui vivrait sa vie consacré
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ette rue. C’est tout, mais c’est l’enfer, c’est l’
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absolue. Il faut fuir, et je me réveille89. Je n’ai rien d’autre à di
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démarche des passants, et voilà l’épouvante et l’
horreur
. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manqu
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l’éducation des masses américaines, déplorant les
horreurs
de la guerre et buvant beaucoup de cocktails. Marcel, charmant et pol
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impose aux amants leur silence, fascination de l’
horreur
sacrée, attirance de l’effroi mortel. Dans le silence du désir, la p
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hommes poursuivre leur discours, pénétrant dans l’
horreur
sans mémoire ? Il faut croire, aujourd’hui, que cela se peut. Cela s’
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de souffrance. Vous avez trop souffert la longue
horreur
des camps pour croire au sursaut de l’humain qui pourrait seul sauver
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qu’un de ces vides dont l’Histoire n’a pas moins
horreur
que la Nature. De plus, elle se voit amputée, pour le moment, d’un qu
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que de lui-même. Son pouvoir sur autrui lui fait
horreur
, il l’avoue à plusieurs reprises. Il n’en use qu’avec répugnance (pou
75
n du monde soviétique se doit de rejeter avec une
horreur
officielle l’idée non scientifique, bourgeoise et individualiste de l
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re d’esprit positive et volontiers simpliste, une
horreur
congénitale de la rhétorique sous toutes ses formes, un égalitarisme
77
discipline, sont ici arrachées de leur place ; l’
horreur
d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours
78
reur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette
horreur
saisira toujours celui qui respecte en l’homme un noyau de liberté au
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té la guerre totale ! D’où provient alors cette «
horreur
» et ce « plus violent des refus » qu’éprouve l’Européen, selon Jünge
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discipline, sont ici arrachées de leur place ; l’
horreur
d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette horreur saisira toujours
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reur d’un monde étranger lui monte au cœur. Cette
horreur
saisira toujours celui qui respecte en l’homme un noyau de liberté au
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té la guerre totale ! D’où provient alors cette «
horreur
» et ce « plus violent des refus » qu’éprouve l’Européen, selon Jünge
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venture, au lieu de les enfermer dans l’apaisante
horreur
d’un Sacré hiératique ou cyclique. Quelle est l’autre culture ou civi
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qu’à la dernière extrémité. C’est dire qu’ils ont
horreur
de la vraie politique, qui est l’art des compromis heureux. Il en rés
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espèce entière : tout ce qui est humain leur fait
horreur
, elles aiment les chiens et les surhommes. » Si donc les Français veu
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ce qui devait rester profane est sacralisé par l’
horreur
. Tout est faux, insondablement faux, perd son sens et tourne au cauch
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crate — cette attaque frontale : Le philosophe a
horreur
du mariage, et de tout ce qui pourrait l’y conduire, — du mariage en
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crate — cette attaque frontale : Le philosophe a
horreur
du mariage et de tout ce qui pourrait l’y conduire, — du mariage en t
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le vaste tombeau qui recouvre avec eux toutes les
horreurs
de la violence. Aux yeux de la raison, il n’y a pas, pour des États e
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utrichienne. Le mot d’Europe m’est devenu objet d’
horreur
» ; ou encore : « … j’ai perdu toute envie d’être un Européen. » Ce q
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t innombrable, irrésistible, immense, autant il a
horreur
des divisions, des scissions, des minorités. Son idéal, son rêve le p
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sur tous les efforts et aspirations, s’étendra l’
horreur
livide de la mort, parce qu’une fois de plus la force nue aura le des
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regardaient leurs ennemis vaincus comme étant en
horreur
à Dieu même et condamnés à expier des crimes, ce qui rendait la cruau
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iques du national-socialisme, et de la réaction d’
horreur
universelle à la découverte des crimes que ces doctrines prétendaient
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re d’esprit positive et volontiers simpliste, une
horreur
congénitale de la rhétorique sous toutes ses formes, et aussi une pud
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l’éducation des masses américaines, déplorant les
horreurs
de la guerre et buvant beaucoup de cocktails. Marcel, charmant et pol
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on de la Croix-Rouge. Mais vouloir « diminuer les
horreurs
de la guerre » qui est son intention déclarée à toutes fins d’efficac
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avec les bien-pensants de tous les temps, que ces
horreurs
sont fatales et voulues par les dieux ; c’est encore admettre la guer
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admettre la guerre. (Que serait une guerre sans «
horreurs
» ?) J’avoue qu’à ma première lecture du Souvenir, j’avais achoppé su
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qu’un de ces vides dont l’Histoire n’a pas moins
horreur
que la Nature. Les raisons immédiates de cette décadence sont claires
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n du monde soviétique se doit de rejeter avec une
horreur
officielle l’idée non scientifique, bourgeoise et individualiste de l
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beau plaider que je n’ai rien inventé, que ces «
horreurs
» sont dans les textes218, cette dame n’admet pas que l’on tienne com
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i. C’est grâce à Abetz que j’ai pu voir de près l’
horreur
hitlérienne à ses commencements. Bien sûr, en m’offrant ce poste à Fr
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re politique en France. De plus, j’ai toujours eu
horreur
des partis. Ce qui ne m’a pas empêché de militer un peu partoutap afi
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ts qui s’en prenaient au dogme d’amateurs (quelle
horreur
), d’idéalistes (pire encore), ou même d’autodidactes (on irait jusqu
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r l’avoir éprouvé en sa présence par un frisson d’
horreur
sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône » ou
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rouve maintenant, c’est cela qu’on doit appeler l’
horreur
sacrée. Je me croyais à un meeting de masses, à quelque manifestation
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e humaine n’aura bientôt plus le choix qu’entre l’
horreur
de son propre tintamarre et la voie des aveux… Depuis que l’homme exi
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population soit corrigé par la nature ». (Voyez l’
horreur
à laquelle on arrive !) Ou, à moins que des quantités énormes de nour
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les Nations unies des animaux mais je recule avec
horreur
devant l’idée d’une Unesco des animaux ! Car les mots que nous pouvon
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tour à la féodalité ; et cela représentait donc l’
horreur
complète pour le Français moyen, mais qui n’en a aucune idée exacte :
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de l’Enfer, le rictus effrayant du démon, et les
horreurs
du péché rendues sensibles par celles du châtiment. Je ne me suis att
113
r l’avoir éprouvé en sa présence par un frisson d’
horreur
sacrée, qu’il était le siège d’une « domination », d’un « trône », d’
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époque en 1968. Ce jour-là, j’ai vécu jusqu’à l’
horreur
sacrée la réalité de l’anti-agora, de la dimension monstrueuse, massi