1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot . La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un co
2 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
2 écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot . La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un co
3 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
3 moi. Eh oui ! des verdures proches défilaient au hublot  ! Couru sur le pont. Nous sommes dans les passes de l’Hudson. Une bru
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 moi. Eh oui ! des verdures proches défilaient au hublot  ! Couru sur le pont. Nous sommes dans les passes de l’Hudson. Une bru
5 ts, pendant deux heures au ralenti, à travers les hublots du petit salon où siégeaient ces messieurs d’Ellis Island. Ils palpen
5 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
6 écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot . La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un co
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
7 moi. Et oui ! des verdures proches défilaient au hublot  ! Couru sur le pont. Nous sommes dans les passes de l’Hudson. Une bru
8 ts, pendant deux heures au ralenti, à travers les hublots du petit salon où siégeaient ces messieurs d’Ellis Island. Ils palpen
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
9 écrivent, d’autres déjeunent. Je regarde par mon hublot . La mer est blanche, un peu houleuse et cotonneuse. Mais tout d’un co