1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites ), mais aussi chez les hérétiques des Églises réformées : Schwenckfeld
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
2 chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites ), mais aussi chez les hérétiques des Églises réformées : Schwenckfeld
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
3 chez les premiers frères moraves (sinon chez les hussites ), mais aussi chez les hérétiques des Églises réformées : Schwenckfeld
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
4 , s’était battu avec l’armée des « taborites » ou hussites radicaux, n’étant d’ailleurs lui-même qu’un hussite modéré ou « utraq
5 sites radicaux, n’étant d’ailleurs lui-même qu’un hussite modéré ou « utraquiste ». Élu roi de Bohême en 1458, il se met à pers
5 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
6 nte ans plus tard, en 1462, un pauvre gentilhomme hussite , Georges Podiebrad, devenu roi de Bohême, reprend le flambeau. Il pro
6 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
7 u plus grand poète du Moyen Âge, Dante, ou du roi hussite Podiebrad, et ensuite du ministre déchu qu’était le duc de Sully, ou
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
8 hisme entre Rome et Byzance, cathares et vaudois, hussites , anti-papes, Réforme, et la suite. by. Le manuscrit indique « hors d
8 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
9 du Christ, et par exemple au xve siècle l’Église hussite de Bohême contre l’Église catholique de Rome. L’affrontement va se pr
10 tilhomme tchèque qui s’est battu avec l’armée des hussites , est élu roi de Bohême en 1457 — l’année même où Æneas Sylvius est él