1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
1 ine et vraie, nous le trouverons chez les anciens Hébreux . Le Moyen Âge à son déclin nous donnera l’occasion de saisir d’un cou
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
2 drai par deux définitions que l’exemple du peuple hébreu me semble propre à bien concrétiser. Encore, n’est-il pas superflu de
3  », c’est l’histoire des gestes de Dieu, dont les Hébreux ne furent que les instruments. C’est l’histoire des victoires diffici
4 ternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu . Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en elle la règle per
5 même garantit la fidélité de la culture du peuple hébreu . C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
6 s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’ Hébreu , se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
7 a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu , fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
8 ée. On revient à la conception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
9 e d’Israël, t. II, p. 265. 22. « L’embarras de l’ hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
3 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
10 ine et vraie, nous le trouverons chez les anciens Hébreux . Le Moyen Âge à son déclin nous donnera l’occasion de saisir d’un cou
4 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
11 drai par deux définitions que l’exemple du peuple hébreu me semble propre à bien concrétiser. Et d’abord, je dirai qu’une mesu
12  », c’est l’histoire des gestes de Dieu, dont les Hébreux ne furent que les instruments. C’est l’histoire des victoires diffici
13 ternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu . Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en elle la règle per
14 même garantit la fidélité de la culture du peuple hébreu . C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
15 s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’ Hébreu , se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
16 a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu , fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
17 ée. On revient à la conception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
18 e d’Israël, t. II, p. 265. 22. « L’embarras de l’ hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
5 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
19 fut jamais immanente aux conditions médiocres des Hébreux . Ce que nous connaissons de leur « histoire » — mais le mot prend ici
20 uelque chose de visible et de tangible. Ainsi les Hébreux se rebellent, ils fuient dans le culte des faux dieux, rassurants par
21 ternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu . Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle
22 interprétation de la Loi, comme mesure du peuple hébreu , qu’un texte que je trouve dans le plus grand des historiens profanes
23 même garantit la fidélité de la culture du peuple hébreu . C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
24 s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’ Hébreu , se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
25 a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu , fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
26 ée. On revient à la conception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
27 e d’Israël, t. II, p. 265. 69. « L’embarras de l’ hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
28 eigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux Hébreux (chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Révélation. C’
6 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
29 En 1556, Matthias Flacius Illyricus, professeur d’ hébreu à Wittenberg, et parfois nommé le père de l’histoire des églises prot
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
30 . Jésus est demeuré quarante jours au Désert. Les Hébreux ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre promise. Le
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
31 . Jésus est demeuré quarante jours au Désert. Les Hébreux ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre promise. Le
9 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
32 ython, il représente le Devin, et sous le vocable hébreu de ’VB, l’esprit de la lumière descendante, pouvoir prophétique et ma
10 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
33 ython, il représente le Devin, et sous le vocable hébreu de ‘VB, l’esprit de la lumière descendante, pouvoir prophétique et ma
11 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
34 bre 21 appartient à la lettre Schin de l’alphabet hébreu … Le véritable 21 est aussi 22, ainsi que nous le verrons. Etteilla pl
35 un signe du zodiaque 3. une lettre de l’alphabet hébreu (sens exotérique et sens ésotérique) 4. un nombre (interprété par la
36 te des 22 atouts majeurs une lettre de l’alphabet hébreu … Ces lettres ont apporté avec elles les signatures célestes. Il y a 7
37 te autour du col les lettres du grand tétragramme hébreu , le nom imprononçable de Dieu, J H V H. Par-dessus cette robe, il por
12 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
38 nsidérations sur la tolérance chez les Grecs, les Hébreux , les Romains et les premiers chrétiens, des digressions sur la magie,
13 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
39 r toutes » qui sert de leitmotiv à l’Épître « aux Hébreux  » précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux retours éterne
14 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
40 l’affirment avec force saint Paul et l’Épître aux Hébreux , s’est opérée « une fois pour toutes ». Ce centre du Credo est donc s
41 t décision de Dieu quant au salut de chacun. 18. Hébreux , 1, 1 et 8. 19. I Cor. 10, 29. Des déclarations analogues ne manquen
15 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
42 r toutes » qui sert de leitmotiv à l’Épître « aux Hébreux  » précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux retours éterne
16 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience de l’espace
43 quipée vers l’ouest. Il se peut également que les Hébreux — Palestiniens et Phéniciens — nous aient transmis leur inquiétude va
17 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
44 nce traditionnelle que le nom d’Europe vient de l’ hébreu et que notre continent fut la part de Japhet. (Il s’agit donc, comme
18 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
45 t grec, puis une définition géographique — l’Ereb hébreux , le pays du couchant, part de Japhet, l’Asie étant à Sem, l’Afrique à
19 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Annexes — Post-scriptum
46 us les prêtres séculiers. Parce qu’il fut dit aux Hébreux d’il y a trois millénaires : « Croissez et multipliez ! », nombre de
20 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
47 ommeront Phéniciens et qui sont des Sémites : les Hébreux de la mer. Or, Keret est le nom de la Crète ; les Keretites que menti
48 tois. D’autre part, le dieu El, père du Jahwé des Hébreux , est un dieu-taureau qui a coutume d’enlever des filles sur les rives
49 nce traditionnelle que le nom d’Europe vient de l’ hébreu et que notre continent fut la part de Japhet. (Il s’agit donc, comme
50 mmédiatement tiré de la phonétique. On sait qu’en hébreu , ce sont les consonnes qui comptent, les voyelles étant variables et
51 et B désignent régulièrement le couchant, tant en hébreu qu’en arabe. L’Algarve est la province la plus occidentale du Portuga
52 consonnes se retrouvent dans Maghreb = ereb ; en hébreu dans M’arab, maarab et maarabah, aspects divers du même nom. La série
21 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
53 n, en latin et traduit les Saintes Écritures de l’ hébreu et du grec en arabe.) Postel croit à la Monarchie universelle, mais n
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
54 aux mythes et à l’histoire des Phéniciens et des Hébreux l’épopée homérique, et qui décèle une parenté formelle entre les Chro
55 é, de pureté et de simplicité… Les Romains et les Hébreux se sont crus les uns et les autres soustraits à la commune misère hum
56 nt les tragédies par les jeux de gladiateurs. Les Hébreux voyaient dans le malheur le signe du péché et par suite un motif légi
57 leurs inspirations modernes dans les vieux textes hébreux et grecs ; la Révolution française emprunta ses symboles et les titre
23 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
58 fut jamais immanente aux conditions médiocres des Hébreux . Ce que nous connaissons de leur « histoire » — mais le mot prend ici
59 uelque chose de visible et de tangible. Ainsi les Hébreux se rebellent, ils fuient dans le culte des faux dieux, rassurants par
60 ternel, la Loi est la conscience finale du peuple hébreu . Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle
61 interprétation de la Loi, comme mesure du peuple hébreu , qu’un texte que je trouve dans le plus grand des historiens profanes
62 même garantit la fidélité de la culture du peuple hébreu . C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
63 s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’ Hébreu , se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
64 a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple hébreu , fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
65 ée. On revient à la conception ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
66 e d’Israël, t. II, p. 265. 13. « L’embarras de l’ hébreu pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
67 eigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux Hébreux (chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Révélation. C’
24 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
68 re, à ce propos, que le mot désignant le péché en hébreu signifie littéralement « ce qui manque le but » ; et en grec : « ce q
25 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC
69 t grec, puis une définition géographique — l’Ereb hébreux , le pays du couchant, part de Japhet, l’Asie étant à Sem, l’Afrique à
26 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
70 rands mythes, des tragiques, de Platon ; l’apport hébreu des psaumes et du Cantique, à travers le culte chrétien ; l’apport de
27 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
71 e ? 22. La Loi interdisait toute « culture » aux Hébreux  : arts figuratifs, spéculation philosophique, littérature profane, sc
28 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
72 n sémitique : elle est double : les Phéniciens, «  Hébreux de la Mer », colonisent tout d’abord la Méditerranée, Grèce comprise,
29 1979, Articles divers (1978-1981). Considérations sur une charte culturelle européenne : mémorandum (17 décembre 1979)
73 t grec, plus une définition géographique — l’Ereb hébreux , le pays du couchant, part de Japhet — comme l’Asie fut celle de Sem,
30 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
74 de celles qu’on ne voit pas », selon l’Épître aux Hébreux . L’avenir du personnalisme ? Eh bien, j’ose dire qu’il se confond dés
31 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
75 st sans conteste le premier — Satan signifiant en hébreu l’Adversaire par excellence —, je me sens incapable non seulement de
32 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
76 uve cela chez les Chinois aussi bien que chez les Hébreux , chez les Babyloniens, les Égyptiens, les Hindous, les Pygmées d’Afri