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ine et vraie, nous le trouverons chez les anciens
Hébreux
. Le Moyen Âge à son déclin nous donnera l’occasion de saisir d’un cou
2
drai par deux définitions que l’exemple du peuple
hébreu
me semble propre à bien concrétiser. Encore, n’est-il pas superflu de
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», c’est l’histoire des gestes de Dieu, dont les
Hébreux
ne furent que les instruments. C’est l’histoire des victoires diffici
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ternel, la Loi est la conscience finale du peuple
hébreu
. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en elle la règle per
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même garantit la fidélité de la culture du peuple
hébreu
. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
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s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’
Hébreu
, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
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a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple
hébreu
, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
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ée. On revient à la conception ancienne : un chef
hébreu
— celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
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e d’Israël, t. II, p. 265. 22. « L’embarras de l’
hébreu
pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
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ine et vraie, nous le trouverons chez les anciens
Hébreux
. Le Moyen Âge à son déclin nous donnera l’occasion de saisir d’un cou
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drai par deux définitions que l’exemple du peuple
hébreu
me semble propre à bien concrétiser. Et d’abord, je dirai qu’une mesu
12
», c’est l’histoire des gestes de Dieu, dont les
Hébreux
ne furent que les instruments. C’est l’histoire des victoires diffici
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ternel, la Loi est la conscience finale du peuple
hébreu
. Et parce qu’elle est la loi de Dieu, elle porte en elle la règle per
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même garantit la fidélité de la culture du peuple
hébreu
. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
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s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’
Hébreu
, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
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a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple
hébreu
, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
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ée. On revient à la conception ancienne : un chef
hébreu
— celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
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e d’Israël, t. II, p. 265. 22. « L’embarras de l’
hébreu
pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
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fut jamais immanente aux conditions médiocres des
Hébreux
. Ce que nous connaissons de leur « histoire » — mais le mot prend ici
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uelque chose de visible et de tangible. Ainsi les
Hébreux
se rebellent, ils fuient dans le culte des faux dieux, rassurants par
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ternel, la Loi est la conscience finale du peuple
hébreu
. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle
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interprétation de la Loi, comme mesure du peuple
hébreu
, qu’un texte que je trouve dans le plus grand des historiens profanes
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même garantit la fidélité de la culture du peuple
hébreu
. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
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s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’
Hébreu
, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
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a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple
hébreu
, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
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ée. On revient à la conception ancienne : un chef
hébreu
— celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
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e d’Israël, t. II, p. 265. 69. « L’embarras de l’
hébreu
pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
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eigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux
Hébreux
(chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Révélation. C’
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En 1556, Matthias Flacius Illyricus, professeur d’
hébreu
à Wittenberg, et parfois nommé le père de l’histoire des églises prot
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. Jésus est demeuré quarante jours au Désert. Les
Hébreux
ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre promise. Le
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. Jésus est demeuré quarante jours au Désert. Les
Hébreux
ont erré pendant quarante ans entre l’Égypte et la Terre promise. Le
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ython, il représente le Devin, et sous le vocable
hébreu
de ’VB, l’esprit de la lumière descendante, pouvoir prophétique et ma
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ython, il représente le Devin, et sous le vocable
hébreu
de ‘VB, l’esprit de la lumière descendante, pouvoir prophétique et ma
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bre 21 appartient à la lettre Schin de l’alphabet
hébreu
… Le véritable 21 est aussi 22, ainsi que nous le verrons. Etteilla pl
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un signe du zodiaque 3. une lettre de l’alphabet
hébreu
(sens exotérique et sens ésotérique) 4. un nombre (interprété par la
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te des 22 atouts majeurs une lettre de l’alphabet
hébreu
… Ces lettres ont apporté avec elles les signatures célestes. Il y a 7
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te autour du col les lettres du grand tétragramme
hébreu
, le nom imprononçable de Dieu, J H V H. Par-dessus cette robe, il por
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nsidérations sur la tolérance chez les Grecs, les
Hébreux
, les Romains et les premiers chrétiens, des digressions sur la magie,
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r toutes » qui sert de leitmotiv à l’Épître « aux
Hébreux
» précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux retours éterne
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l’affirment avec force saint Paul et l’Épître aux
Hébreux
, s’est opérée « une fois pour toutes ». Ce centre du Credo est donc s
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t décision de Dieu quant au salut de chacun. 18.
Hébreux
, 1, 1 et 8. 19. I Cor. 10, 29. Des déclarations analogues ne manquen
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r toutes » qui sert de leitmotiv à l’Épître « aux
Hébreux
» précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux retours éterne
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quipée vers l’ouest. Il se peut également que les
Hébreux
— Palestiniens et Phéniciens — nous aient transmis leur inquiétude va
44
nce traditionnelle que le nom d’Europe vient de l’
hébreu
et que notre continent fut la part de Japhet. (Il s’agit donc, comme
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t grec, puis une définition géographique — l’Ereb
hébreux
, le pays du couchant, part de Japhet, l’Asie étant à Sem, l’Afrique à
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us les prêtres séculiers. Parce qu’il fut dit aux
Hébreux
d’il y a trois millénaires : « Croissez et multipliez ! », nombre de
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ommeront Phéniciens et qui sont des Sémites : les
Hébreux
de la mer. Or, Keret est le nom de la Crète ; les Keretites que menti
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tois. D’autre part, le dieu El, père du Jahwé des
Hébreux
, est un dieu-taureau qui a coutume d’enlever des filles sur les rives
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nce traditionnelle que le nom d’Europe vient de l’
hébreu
et que notre continent fut la part de Japhet. (Il s’agit donc, comme
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mmédiatement tiré de la phonétique. On sait qu’en
hébreu
, ce sont les consonnes qui comptent, les voyelles étant variables et
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et B désignent régulièrement le couchant, tant en
hébreu
qu’en arabe. L’Algarve est la province la plus occidentale du Portuga
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consonnes se retrouvent dans Maghreb = ereb ; en
hébreu
dans M’arab, maarab et maarabah, aspects divers du même nom. La série
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n, en latin et traduit les Saintes Écritures de l’
hébreu
et du grec en arabe.) Postel croit à la Monarchie universelle, mais n
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aux mythes et à l’histoire des Phéniciens et des
Hébreux
l’épopée homérique, et qui décèle une parenté formelle entre les Chro
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é, de pureté et de simplicité… Les Romains et les
Hébreux
se sont crus les uns et les autres soustraits à la commune misère hum
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nt les tragédies par les jeux de gladiateurs. Les
Hébreux
voyaient dans le malheur le signe du péché et par suite un motif légi
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leurs inspirations modernes dans les vieux textes
hébreux
et grecs ; la Révolution française emprunta ses symboles et les titre
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fut jamais immanente aux conditions médiocres des
Hébreux
. Ce que nous connaissons de leur « histoire » — mais le mot prend ici
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uelque chose de visible et de tangible. Ainsi les
Hébreux
se rebellent, ils fuient dans le culte des faux dieux, rassurants par
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ternel, la Loi est la conscience finale du peuple
hébreu
. Et parce qu’elle est la loi de Dieu — qui définit la vérité —, elle
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interprétation de la Loi, comme mesure du peuple
hébreu
, qu’un texte que je trouve dans le plus grand des historiens profanes
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même garantit la fidélité de la culture du peuple
hébreu
. C’est une ascèse : il s’agit de détruire en germe tout ce qui comble
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s une certaine mesure, douter… Ainsi donc, pour l’
Hébreu
, se borner au concret, c’est rester fidèle à la Loi. D’ailleurs son l
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a culture la plus pauvre, qui fut celle du peuple
hébreu
, fut aussi la plus convenable aux fins suprêmes de l’esprit. Toutefoi
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ée. On revient à la conception ancienne : un chef
hébreu
— celui que la Bible appelle Moïse — aurait bel et bien donné les rud
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e d’Israël, t. II, p. 265. 13. « L’embarras de l’
hébreu
pour expliquer les notions philosophiques les plus simples, dans le L
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eigneur ». Saint Paul et l’auteur de l’Épître aux
Hébreux
(chap. II) insistent fortement sur cette unicité de la Révélation. C’
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re, à ce propos, que le mot désignant le péché en
hébreu
signifie littéralement « ce qui manque le but » ; et en grec : « ce q
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t grec, puis une définition géographique — l’Ereb
hébreux
, le pays du couchant, part de Japhet, l’Asie étant à Sem, l’Afrique à
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rands mythes, des tragiques, de Platon ; l’apport
hébreu
des psaumes et du Cantique, à travers le culte chrétien ; l’apport de
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e ? 22. La Loi interdisait toute « culture » aux
Hébreux
: arts figuratifs, spéculation philosophique, littérature profane, sc
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n sémitique : elle est double : les Phéniciens, «
Hébreux
de la Mer », colonisent tout d’abord la Méditerranée, Grèce comprise,
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t grec, plus une définition géographique — l’Ereb
hébreux
, le pays du couchant, part de Japhet — comme l’Asie fut celle de Sem,
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de celles qu’on ne voit pas », selon l’Épître aux
Hébreux
. L’avenir du personnalisme ? Eh bien, j’ose dire qu’il se confond dés
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st sans conteste le premier — Satan signifiant en
hébreu
l’Adversaire par excellence —, je me sens incapable non seulement de
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uve cela chez les Chinois aussi bien que chez les
Hébreux
, chez les Babyloniens, les Égyptiens, les Hindous, les Pygmées d’Afri