1 r de Dieu pour nous. C’est Dieu qui vient à nous, impies , non point nous qui le rencontrons au terme d’une pieuse « élévation 

2 a la présence réelle du Seigneur mort pour nous, impies  ? Peut-être le fidèle d’aujourd’hui n’a-t-il plus, comme ses pères, l

3 plus consolant de nos rêves. C’est une tentative impie pour substituer la conscience à la vocation personnelle, c’est-à-dire

4 rier de toutes parts à l’impiété. Le chrétien est impie en Asie, le musulman en Europe, le papiste à Londres, le calviniste à

5 nd du faubourg Saint-Médard. Qu’est-ce donc qu’un impie  ? Tout le monde l’est-il, ou personne ? » Cet argument de Diderot con

6 Nicolas (criant du plan 3). —  Marchand de vent ! Impie  ! Voyez qui l’a payé ! Il n’ouvre la bouche que pour mentir, et ne la

7 rier de toutes parts à l’impiété. Le chrétien est impie en Asie, le musulman en Europe, le papiste à Londres, le calviniste à

8 nd du faubourg Saint-Médard. Qu’est-ce donc qu’un impie  ? Tout le monde l’est-il, ou personne ? » Cet argument de Diderot con

9 our, la passion mystique de Tristan et la licence impie de Don Juan (l’une au-delà et l’autre en deçà du mariage) ne devait d

10 ersonnage de Casanova. Certes, Casanova n’est pas impie , n’est pas démon, ne provoque ni Dieu ni les hommes. Il n’est pas rév

11 our, la passion mystique de Tristan et la licence impie de Don Juan (l’une au-delà et l’autre en deçà du mariage), ne devait

12 ersonnage de Casanova. Certes, Casanova n’est pas impie , n’est pas démon, ne provoque ni Dieu ni les hommes. Il n’est pas rév

13 nte qu’elle subit, et, pour se laver du sacrifice impie de toute liberté publique et personnelle, l’esclave, à genoux, rêve l

14 dernier mot, emprunté à Segond. Autres versions : impies (Ostervald), crapules (TOB). 59. On a pris l’habitude d’appeler « gé