1
n un mot c’est l’aimer. Réinventer son jeu. Tâche
impossible
, si les œuvres de cet homme, et en particulier son œuvre écrite, ne v
2
t la secrète, l’inavouable joie de la libération.
Impossible
d’isoler ces deux composantes dans l’aventure de Rimbaud. Mais chez G
3
dité de l’existence ; toute une vie tendue vers l’
impossible
, toute une œuvre de sarcasme précis contre les innombrables tentation
4
ue que je la voudrais. Pourquoi ? Parce qu’il est
impossible
qu’un homme ne se pose jamais la question du but dernier de sa vie. I
5
depuis un siècle pour nous prouver que l’acte est
impossible
et que le tout de l’homme est soumis au calcul, tout cet effort des s
6
as, — c’est là le destin du chrétien. C’est son «
impossible
» destin, le seul acte possible à l’homme. Et c’est l’acte que Dieu i
7
eine que ses idées sont faites pour rendre la vie
impossible
, puisqu’elles impliquent le martyre des braves chrétiens, comme si la
8
est réel pour un seul. Maintenant, il faut être l’
impossible
: il faut être le solitaire. Kierkegaard peut-il nous aider ? Ou bien
9
s intendants ; et comme cela se révèle à peu près
impossible
, pour s’acquérir certaines complicités parmi ceux qu’il croit être en
10
ela signifie et suppose autre chose ? Mais il est
impossible
de savoir quoi : personne n’a traversé le voile et les messages inter