1 ’importe quelle attitude politique. Aux yeux d’un incroyant , ceci peut sembler vague. Mais le sens chrétien primitif n’est-il pas

2 Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’ incroyants , de sceptiques ou même d’adversaires. Mais il y a d’autres dieux pour

3 Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’ incroyants , et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse, auxquelles

4 avec la Nature », telle que la chante un lyrique incroyant , n’est rien que l’abandon égoïste, et parfois voluptueux, d’un moi qu

5 ’une façon précise et autorisée aux questions des incroyants ou des catholiques ; mais il se soucie peu d’examiner « librement »,

6 ste du régime. « Littérature », opium des peuples incroyants . Notre troisième espèce est plus rare, et vaut un peu mieux, si l’on

7 role que Dieu lui adresse comme un ordre ; pour l’ incroyant , c’est la mission dont il se sent responsable envers lui-même. f. « 

8 et comme tels se voir adoptés par des clercs même incroyants . Plusieurs, que je connais, les jugent suffisants, et n’éprouvent auc

9 Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’ incroyants , de sceptiques ou même d’adversaires. Mais il y a d’autres dieux pour

10 Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’ incroyants , et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse, auxquelles

11 ne réalité chrétienne, qui n’a pas de sens pour l’ incroyant . Je ne puis l’accorder sans de fortes réserves. L’Évangile nous appre

12 hommes, croyants ou non. Je pense que beaucoup d’ incroyants acceptent cet appel, obscurément — inconsciemment, diraient les psych

13 s l’impulsion d’un absolu17. Je connais plusieurs incroyants qui croient très fermement à la mission de leur vie : ils l’appellent

14 quel on obéit est qualifié humainement, dès que l’ incroyant cesse d’être un homme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un fa

15 mettre en question. Il n’en va pas de même pour l’ incroyant qui joue tout sur la politique, et se voit de la sorte contraint d’ac

16 même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’ incroyant du moins, que les prétentions du fascisme, fondées sur une notion dis

17 ue l’intellectuel d’aujourd’hui est avant tout un incroyant . Il n’y a donc pas lieu de s’agiter. Je me méfie toujours des théorie

18 toujours des théories d’action que proposent les incroyants . Benda est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autr

19 e but ! (Ce but étant caché dans la mort même.) L’ incroyant — celui qui ne croit pas au but — refusera de partir, ou tentera de s

20 t. Curieux aussi de voir avec quelle facilité des incroyants ont fait grief à Kierkegaard de n’avoir pas incarné sa doctrine. Mais

21 et comme tels se voir adoptés par des clercs même incroyants . Plusieurs, que je connais, les jugent suffisants, et n’éprouvent auc

22 Vous jouez, vis-à-vis de ces divinités, le rôle d’ incroyants , de sceptiques ou même d’adversaires. Mais il y a d’autres dieux pour

23 Mais il y a d’autres dieux pour cette espèce-là d’ incroyants , et ce sont, par exemple, l’opinion publique et la presse, auxquelles

24 ne réalité chrétienne, qui n’a pas de sens pour l’ incroyant . Je ne puis l’accorder sans de fortes réserves. L’Évangile nous appre

25 hommes, croyants ou non. Je pense que beaucoup d’ incroyants acceptent cet appel, obscurément — inconsciemment, diraient les psych

26 s l’impulsion d’un absolu12. Je connais plusieurs incroyants qui croient très fermement à la mission de leur vie : ils l’appellent

27 quel on obéit est qualifié humainement, dès que l’ incroyant cesse d’être un homme qui ne connaît pas son Dieu, pour devenir un fa

28 mettre en question. Il n’en va pas de même pour l’ incroyant qui joue tout sur la politique, et se voit de la sorte contraint d’ac

29 même, elles sont mieux justifiées, aux yeux de l’ incroyant du moins, que les prétentions du fascisme, fondées sur une notion dis

30 ue l’intellectuel d’aujourd’hui est avant tout un incroyant . Il n’y a donc pas lieu de s’agiter. Je me méfie toujours des théorie

31 toujours des théories d’action que proposent les incroyants . Benda est plus honnête, dans sa théorie de l’inaction. Tous les autr

32 e but ! (Ce but étant caché dans la mort même.) L’ incroyant — celui qui ne croit pas au but — refusera de partir, ou tentera de s

33 en quoi le chrétien se distinguera-t-il donc de l’ incroyant  ? En rien d’autre qu’en ceci : qu’il est appelé à rendre témoignage «

34 il pas fort étrange et humiliant, qu’il faille un incroyant pour nous rappeler que le salut, pour le chrétien, n’est pas dans le

35 z de moi ! semble-t-il dire. Et c’est ainsi que l’ incroyant se juge chaque fois qu’il prononce une vérité. En quoi l’on pourra di

36 avail. La forme mauvaise du monde, ce sera pour l’ incroyant l’ensemble des abus et des désordres dont il souffre ; — pour le chré

37 e religion, même la morale de ceux qui se croient incroyants . Or c’est précisément cette tâche écrasante mais aussi enthousiasmant

38 t douter de leur croyance à cause du mal, que des incroyants apprennent à douter de leur incroyance, à cause du Bien. D’une part,

39 rituel ».) Il s’agit de confondre les philosophes incroyants au moyen de leurs propres arguments, et les théologiens trop rigides

40 amatique ont bien de quoi retenir le lecteur même incroyant ou ignorant de ces débats. Wilfred Monod nous apparaît ici comme une

41 mme. Mais ceci dit, et maintenu, — j’admire qu’un incroyant ait su donner à notre position personnaliste sa plus solide justifica

42 s des psychologues, non pas des moralistes. » Ces incroyants nous ont peuplé le monde de divinités impuissantes, et pourtant propr

43 nal, celle du roman — qui est l’opium des peuples incroyants . La mauvaise qualité de la langue des auteurs à succès — pour nous bo

44 s des psychologues, non pas des moralistes. » Ces incroyants nous ont peuplé le monde de divinités impuissantes, et pourtant propr

45 nal, celle du roman — qui est l’opium des peuples incroyants . La mauvaise qualité de la langue des auteurs à succès — pour nous bo

46 dit que la différence entre les chrétiens et les incroyants , ce n’est que pas les chrétiens se conduisent mieux que les autres, m

47 craint pas Dieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants , tout en s’imaginant qu’il n’est pas un des leurs… Je voudrais défini

48 dans ce Traité, pour heurter de front le lecteur incroyant , ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord,

49 ise, entre croyants de confessions différentes et incroyants personnalistes. 71. Cf. Vers une cosmologie, Éditions F. Aubier. 7

50 sposerait sur le plan de l’« esprit », car il est incroyant . D’ailleurs, ce n’est pas l’« esprit » qu’il veut sauver, mais l’homm

51 ités « purement théologiques » comme le dirait un incroyant . Que servirait à l’homme, tel que le voit le chrétien, de sauver sa v

52 dit que la différence entre les chrétiens et les incroyants , ce n’est pas que les chrétiens se conduisent mieux que les autres, m

53 craint pas Dieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants , tout en s’imaginant qu’il n’est pas un des leurs… Je voudrais défini

54 ns notre Traité, pour heurter de front le lecteur incroyant , ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des Apôtres. D’abord,

55 se posent différemment pour un croyant et pour un incroyant . Non pas que leurs données soient différentes. Mais elles n’ont pas l

56 n chrétien !) Et comment réfuter ce furieux ? Les incroyants sont renvoyés aux arguments des romantiques, qui valent contre leur m

57 st pas le corps physique, mais le tout de l’homme incroyant , corps, raison, facultés, désirs… ⁂ La croisade des albigeois, condui

58 du « puritanisme » embourgeoisé d’un xixe siècle incroyant . Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de péné

59 n chrétien !) Et comment réfuter ce furieux ? Les incroyants sont renvoyés aux arguments des romantiques, qui valent contre leur m

60 infini, et dont tant d’auteurs non protestants ou incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Le problème est, je cro

61 tre le monde chrétien, beaucoup, jusque parmi les incroyants , sentent le besoin de reprendre pied sur les vieilles bases spirituel

62 Suisse chrétienne quand beaucoup de Suisses sont incroyants , cela mène tout simplement, dans la pratique, à l’utilisation de l’Ég

63 st pas le corps physique, mais le tout de l’homme incroyant , corps, raison, facultés, désirs — donc l’âme aussi. ⁂ La croisade de

64 du « puritanisme » embourgeoisé d’un xixe siècle incroyant . Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de péné

65 n chrétien !) Et comment réfuter ce furieux ? Les incroyants sont renvoyés aux arguments des romantiques, qui valent contre leur m

66 du « puritanisme » embourgeoisé d’un xixe siècle incroyant . Saint Jean de la Croix, qui décrivit en une page remarquable de péné

67 n chrétien !) Et comment réfuter ce furieux ? Les incroyants sont renvoyés aux arguments des romantiques, qui valent contre leur m

68 s, qui ne sait rien du protestantisme, ou qui est incroyante . Vous réussissez à l’amener, un beau dimanche, au culte d’une de nos

69 nt entre zéro et l’infini, et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Le problème est, je cro

70 tre le monde chrétien, beaucoup, jusque parmi les incroyants , sentent le besoin de reprendre pied sur les vieilles bases spirituel

71 beaucoup de Suisses, et des plus influents, sont incroyants , cela mène tout simplement, dans la pratique, à l’utilisation de l’Ég

72 lle s’y ajoute. Notre foi l’y ajoute. Pourquoi un incroyant devient-il chrétien, et se met-il un beau jour à vivre en chrétien, a

73 nt entre zéro et l’infini, et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Depuis une dizaine d’an

74 que le régime qui permet aux croyants, comme aux incroyants , de se manifester sans être massacrés6. Oui, mais encore faut-il qu’i

75 que le régime qui permet aux croyants, comme aux incroyants , de se manifester sans être massacrés13. Oui, mais encore faut-il qu’

76 t que le régime qui permet aux croyants comme aux incroyants , de se manifester sans être massacrés15. Oui, mais encore faut-il qu’

77 ans notre Traité pour heurter de front le lecteur incroyant , ou celui qui ne partage pas la foi de Paul et des apôtres. D’abord l

78 dit que la différence entre les chrétiens et les incroyants , ce n’est pas que les chrétiens se conduisent mieux que les autres, m

79 craint pas Dieu, mais qu’il croit au jugement des incroyants , tout en s’imaginant qu’il n’est pas un des leurs… Je voudrais défini

80 it son église se remplir subitement d’une foule d’ incroyants répétant avec lui les mêmes paroles, se sentirait fort mal à l’aise :

81 l’on est chrétien, qu’on croie cela, laissant aux incroyants le droit de mieux savoir. Et qu’est-ce que cela peut bien nous faire 

82 otestants qu’aux catholiques, aux orthodoxes, aux incroyants de toutes nuances. À l’isolement relatif du protestant en France, il

83 ne saurait conclure en poussant à l’absurde que l’ incroyant moderne est plus « chrétien » que ne pouvait l’être un paroissien naï

84 sait naguère dans l’âme de nos contemporains même incroyants , et ne cesse de s’étendre à des régions nouvelles de notre existence

85 saurait conclure, en poussant à l’absurde, que l’ incroyant moderne est plus « chrétien » que ne pouvait l’être un paroissien naï

86 sait naguère dans l’âme de nos contemporains même incroyants , et ne cesse de s’étendre à des régions nouvelles de notre existence

87 au bond retiennent autant d’esprits, croyants et incroyants , de faire face à leurs vrais problèmes ou de souffrir seulement qu’on

88 l’on est chrétien, qu’on croie cela, laissant aux incroyants le droit de mieux savoir. Et qu’est-ce que cela peut bien nous faire 

89 s communes sont exigées pour la guerre contre les incroyants et que l’on y fait régner la justice entre les princes, de même nous

90 oir les pessimistes catholiques et les optimistes incroyants  : Le fait incontestable que, par suite des diversités individuelles,

91 que nous ne sommes pas liés totalement, comme les incroyants , à la forme présente de ce monde, mais bien plutôt à sa transformatio

92 sposerait sur le plan de l’« esprit », car il est incroyant . D’ailleurs, ce n’est pas l’« esprit » qu’il veut sauver, mais l’homm

93 ités « purement théologiques » comme le dirait un incroyant . Que servirait à l’homme, tel que le voit le chrétien, de sauver sa v

94 de commun entre anciens et modernes, croyants et incroyants , conservateurs et progressistes, bourgeois et prolétaires ? Ou pire e

95 a le droit de condamner à mort ses hérétiques et incroyants , droit que n’a plus aucune Église, Dieu merci ! Refus de servir et on

96 as qu’il se soit jamais dit croyant, encore moins incroyant , d’ailleurs. Ce n’est pas avec des traces « d’éducation chrétienne »

97 i, dans chacun vous trouverez des croyants et des incroyants , des hommes de gauche et des hommes de droite, des romantiques-surréa

98  : dans chacun vous trouverez des croyants et des incroyants , des hommes de gauche et des hommes de droite, des romantiques et des

99 os pays a un nord et un midi, des croyants et des incroyants , des hommes de gauche et des hommes de droite, des romantiques et des

100 di, dans chacun l’on trouvera des croyants et des incroyants , des hommes de gauche et des hommes de droite, des romantiques-surréa

101 religion chrétienne et son empreinte même sur les incroyants . Mais la religion chrétienne n’est pas plus uniforme que ne le sont l

102 it réunir chrétiens et non-chrétiens, croyants et incroyants , sans porter atteinte à leurs convictions, sans obliger les uns ou le