1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
1 ge, un essai remarquable de netteté et souvent, d’ indépendance . Il dégage le sujet de l’épopée qu’est Maldoror — la révolte de l’hom
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 mage par la crise — plutôt que par leur volonté d’ indépendance — dès qu’ils sont en assez grand nombre pour constituer un parti, pré
3 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
3 le capitalisme devait entraîner nécessairement l’ indépendance croissante des rythmes de production et de consommation.) Et c’est la
4 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
4 x adhérents des clubs de vérifier le sérieux et l’ indépendance du bulletin. Toutefois les adhérents trouveront au départ une premièr
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
5 générosité française, c’est l’amour français de l’ indépendance , c’est ce sens français de l’universel, c’est l’humanisme français qu
6 l’auteur sur le procès Zinoviev (p. 11), sur « l’ indépendance financière absolue » du Parti (p. 16) — curieusement appuyées par ce
6 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
7 allemand ; Sparte ; Arndt (héros des guerres d’ indépendance .) Portraits d’empereurs allemands du Moyen Âge ; Histoire des Allem
7 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
8 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-93, Espagnols de 1804-1814, Russes de
8 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
9 ns pas conscience, je ne donne pas lourd de notre indépendance . Lt D. de Rougemont III/20. x. Rougemont Denis de, « Pourquoi nous
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
10 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-93, Espagnols de 1804-1814, Russes de 
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
11 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-1793, Espagnols de 1804-1814, Russes d
11 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
12 et de sauver son avenir. Tel est le sens de notre indépendance , et telle est la mission spéciale qui justifie notre neutralité. av
12 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
13 ts qui entouraient la Suisse fut notre garantie d’ indépendance . Cet équilibre vient d’être rompu. L’immense révolution totalitaire a
14 évident qu’un pays comme le nôtre, en perdant son indépendance , perdrait tout. Il est évident qu’un peuple qui a été formé par six s
15 nt un scandale humain, mais une menace pour notre indépendance . Chaque occasion de travail créée et utilisée comblera une lacune dan
16 il la néglige ou la trahit, il démissionne de son indépendance . Que ceux qui, tranquillement, refusent cette démission viennent avec
13 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
17 ulement j’aurai des craintes sérieuses pour notre indépendance . Mais pourquoi la trahirions-nous ? Toute notre tradition civique et
14 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
18 té vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par d
19 ationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par des fortifications. C’est l’intérieur du pays qu’il nous faut mai
15 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
20 eutralité et l’inviolabilité de la Suisse, et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
16 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
21 lement j’aurais des craintes sérieuses pour notre indépendance nationale. Mais pourquoi les trahirions-nous ? Toute notre tradition
17 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
22 eprésentent pratiquement des garanties pour notre indépendance , ou, au contraire, s’ils ne peuvent pas fournir certains prétextes à
23 té vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par d
24 ationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par des fortifications. C’est l’intérieur du pays qu’il nous faut mai
25 à dire en Suisse), le meilleur fondement de notre indépendance nationale, c’est encore notre foi personnelle. Car c’est elle qui res
26 eutralité et l’inviolabilité de la Suisse, et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
18 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
27 ui définit l’existence de la Suisse et assure son indépendance . La nécessité de s’entraider et le besoin d’indépendance des montagna
28 dance. La nécessité de s’entraider et le besoin d’ indépendance des montagnards existaient aussi bien dans le reste des Alpes : ce qu
29 erme d’une Europe nouvelle. Mais il y va de notre indépendance autant que de la paix occidentale. Si nous n’embrassons pas cette mis
19 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
30 out simplement renoncer à une belle part de notre indépendance . C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder s
31 c’est enfin céder sur un point décisif pour notre indépendance future, étant donnée la nature des guerres modernes, qui sont d’abord
32 qu’une pareille attitude peut compromettre notre indépendance  : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’armée est de garantir
33 est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance , et non pas seulement sa matérialité (le territoire). Le vrai patriot
34 estige moral. C’est la première condition de leur indépendance , même matérielle. Nos réalistes — toujours en retard d’une guerre, d’
20 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
35 gouverner elle-même, comme lorsqu’on parle de « l’ indépendance  » de la Suisse. 10. Canton de Genève. g. Rougemont Denis de, « L’É
21 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
36 helvétique, et ce qui devait être rénové en toute indépendance , et selon nos coutumes. On se mit rapidement d’accord pour définir, c
37 ée la Suisse. 3. La défense à tout prix de notre indépendance et la lutte contre le défaitisme sont les tâches urgentes de l’heure.
22 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
38 e la Ligue les prépare dès maintenant et en toute indépendance vis-à-vis des partis politiques et des influences ou même des pressio
23 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
39 out simplement renoncer à une belle part de notre indépendance . C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder s
40 c’est enfin céder sur un point décisif pour notre indépendance future, étant donnée la nature des guerres modernes, qui sont d’abord
41 qu’une pareille attitude peut compromettre notre indépendance  : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’armée est de garantir
42 est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance , et non pas seulement sa matérialité (le territoire). Le vrai patriot
43 estige moral. C’est la première condition de leur indépendance , même matérielle. Nos réalistes — toujours en retard d’une guerre, d’
24 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
44 ts qui entouraient la Suisse fut notre garantie d’ indépendance . Cet équilibre vient d’être rompu. La Suisse est réduite à elle-même.
45 nt un scandale humain, mais une menace pour notre indépendance , une proie facile pour certaines propagandes. À l’inverse, chaque occ
25 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
46 ui définit l’existence de la Suisse et assure son indépendance . La nécessité de s’entraider et le besoin d’indépendance des montagna
47 dance. La nécessité de s’entraider et le besoin d’ indépendance des montagnards existaient aussi bien dans le reste des Alpes : ce qu
48 erme d’une Europe nouvelle. Mais il y va de notre indépendance autant que de la paix occidentale. Si nous n’embrassons pas cette mis
26 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
49 ourra survivre dans un État qui ne défend pas son indépendance . Mais au-delà de tout calcul de gain ou de perte, il y a des valeurs
27 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
50 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ Indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
28 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
51 sitions parfois les plus extrêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et de
29 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
52 ns pas conscience, je ne donne pas lourd de notre indépendance . Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.)
30 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
53 urait de se battre, et l’une des marques de cette indépendance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix ?4 L
54 mier) : « Vous avez pour mission de sauvegarder l’ indépendance du pays et de maintenir l’intégrité du territoire. » Or il est clair
55 t aussi des retraites nécessaires pour défendre l’ indépendance . Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bonheur elle n’a p
31 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
56 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
57 ons pas conscience, je ne donne pas cher de notre indépendance . Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.)
58 urait de se battre, et l’une des marques de cette indépendance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix80 ? L
59 mier) : « Vous avez pour mission de sauvegarder l’ indépendance du pays et de maintenir l’intégrité du territoire. » Or il est clair
60 t aussi des retraites nécessaires pour défendre l’ indépendance . Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bonheur elle n’a p
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
61 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ Indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
34 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
62 sitions parfois les plus extrêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et de
35 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
63 s francs, nous dirions : la vraie menace contre l’ indépendance européenne, elle ne vient pas de l’Amérique, mais de nous-mêmes. La v
64 dans le cas de mériter pareil rappel à l’ordre. L’ indépendance économique des nations de l’Europe est une fiction. Tout le monde le
65 ut le monde le sait, n’en parlons plus. Quant à l’ indépendance morale et politique que nous devons affirmer ou regagner, c’est dans
36 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
66 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
37 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
67 rement, il est né d’initiatives privées, en toute indépendance de nos gouvernements. Il parle au nom des peuples de l’Europe — on n’
68 ux que nous venons de définir. Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme aura pour tâches immédia
69 Centre européen de la culture. Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme aurait pour mission géné
70 universités européennes, et à la garantie de leur indépendance par rapport aux États et aux pressions politiques ; et de favoriser l
71 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
38 1948, {Title}. « Cher lecteur britannique, je connais bien votre prudence… » (automne 1948)
72 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
39 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
73 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
40 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
74 epuis plus d’un siècle, sont la base même de leur indépendance nationale, de leur prospérité et de leur paix ? L’exemple des adventi
41 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
75 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance  ; aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pos
42 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Europe en marche (21 février 1949)
76 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
43 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — « La paix, la paix ! » (7 mars 1949)
77 fédération de l’Europe peut seule garantir notre indépendance réelle à l’égard des États-Unis. Car, si nous ne savons pas nous fédé
78 ation européenne, qui serait la garantie de notre indépendance . Si toutefois ils persistent à mettre en doute nos intentions, nous s
44 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le pacte de l’Atlantique et la fédération européenne (21 mars 1949)
79 prospérité, qui est le seul gage d’une véritable indépendance . Le grand bruit que fait dans le monde la signature prochaine du pact
45 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
80 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
46 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Pâques européennes (18 avril 1949)
81 re à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance reconquise. Cette Europe inventant la paix, l’imposant au besoin par
47 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’union de l’Europe et l’Amérique (25 avril 1949)
82 que l’Europe unie sauvera la paix en sauvant son indépendance . Par la fédération de tous ses peuples, elle formera une troisième gr
83 ? Oui, c’est un fait… Les États-Unis souhaitent l’ indépendance de l’Europe… J’insiste sur ce mot indépendance, car une idée assez ré
84 l’indépendance de l’Europe… J’insiste sur ce mot indépendance , car une idée assez répandue semble exister — ou tout au moins une pr
85 ue c’est seulement si l’Europe ne regagne pas son indépendance , en se fédérant, que le Pacte Atlantique restera l’alliance dangereus
48 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
86 re à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance reconquise. Cette Europe inventant la paix, l’imposant au besoin par
49 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Suisse 1848-Europe 1949 (30 mai 1949)
87 nent, si elle veut éviter la guerre et garder son indépendance . Secondement, parce que les cantons suisses, à la veille de leur fédé
50 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La Suisse et l’Europe (IV) (20 juin 1949)
88 s de se fédérer très rapidement, pour sauver leur indépendance économique et politique. Au terme de plusieurs siècles de vains effor
51 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (27 juin 1949)
89 ndre pour assurer sa survivance économique et son indépendance politique. Cette Europe sur la défensive, comment allons-nous la sauv
52 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
90 Est et de l’Ouest. Rien d’autre ne peut assurer l’ indépendance européenne, seul moyen de prévenir la guerre. Tels sont les buts conc
53 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
91 re à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance reconquise. Paix, liberté, prospérité, tels ont été les grands motifs
92 entre européen de la culture ? Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme a pour tâche immédiate d
54 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
93 ter pour assurer sa survivance économique, et son indépendance politique et civique, déjà fortement compromise. Cette Europe sur la
94 Est et de l’Ouest. Rien d’autre ne peut assurer l’ indépendance européenne, qui est à son tour le seul moyen de prévenir une guerre l
55 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Les deux raisons de fédérer l’Europe (13 février 1950)
95 e rester libres à notre guise, entre nous, dans l’ indépendance , cela vaudrait peut-être mieux… Et nous ne le pourrons [que] si nous
96 ici : « Européens, fédérez-vous pour sauver votre indépendance  ! Si vous ne faites pas demain l’Europe, l’Amérique vous laissera tom
56 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Neutralité européenne (6 mars 1950)
97 ission, mais au contraire une fière affirmation d’ indépendance . Voilà qui me paraît simple à concevoir, évident, et irréfutable. Je
57 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Lenteurs et progrès (15 mai 1950)
98 nfin les communistes partir en guerre au nom de l’ indépendance et de la souveraineté nationale de leur pays, sur un ordre reçu d’un
58 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Le Centre européen de la culture (19 juin 1950)
99 à l’état de colonie décadente. Si elle les a, son indépendance est assurée. Nous allons donc convoquer nos savants : et ils vont voi
59 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
100 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
60 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
101 en une à l’échelle de l’Europe ! Il y va de notre indépendance , qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il
102 s qu’ils s’en doutent la force et les moyens de l’ indépendance  : une Autorité fédérale. Nous n’attendons rien de plus, ni rien de mo
61 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
103 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
62 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
104 en une à l’échelle de l’Europe ! Il y va de notre indépendance , qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il
105 s qu’ils s’en doutent la force et les moyens de l’ indépendance  : une Autorité fédérale. Nous n’attendons rien de plus, ni rien de mo
63 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
106 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
64 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
107 iste pas ; car toute censure suppose une certaine indépendance de la production intellectuelle ou des sources d’information ; or cet
108 lectuelle ou des sources d’information ; or cette indépendance est exclue à priori dans les démocraties dites populaires. Cependant,
109 a vraie cause de notre puissance et donc de notre indépendance . De plus, si la culture accepte d’être privée théoriquement et pratiq
110 qui ait encore créé dans une nation privée de son indépendance . L’Europe est encore le foyer de la civilisation occidentale, la seul
65 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Équiper l’Europe (18 décembre 1950)
111 as sauver longtemps ses libertés concrètes et son indépendance . De plus, elle voit l’élite de ses savants tourner les yeux vers l’Am
66 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Peut-on fabriquer un Européen ? (15 janvier 1951)
112 , sans l’aide de ses voisins. Les vrais amis de l’ indépendance de leur nation, ce sont ceux qui réclament et préparent la fédération
67 1951, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — L’Europe et la paix (19 février 1951)
113 suisses l’an dernier. Autant de gagné pour notre indépendance . Autant de perdu pour tout impérialisme supposé. D’autre part, je con
114 fédérale de l’Europe, seul gage sérieux de notre indépendance militaire, et par suite politique, à l’égard de l’Ouest autant que de
115 ’égard de l’Ouest autant que de l’Est. Sans notre indépendance , il n’y aura pas de paix. Si vous voulez la paix, il faut vouloir l’E
68 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
116 — et aussi les préoccupations nouvelles nées de l’ indépendance , les soucis de la jeune intelligentsia… ses réactions en face de l’UR
69 1952, {Title}. La vie religieuse aux États-Unis (1942-1945) (1952)
117 ’en reçoit pas d’argent, et garde donc une totale indépendance de jugement à l’égard de la politique nationale. Il en résulte deux c
118 ar l’esprit chrétien. La seconde conséquence de l’ indépendance des Églises en Amérique, c’est que ces Églises restent en mesure de c
70 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
119 vieux conflit franco-allemand, la nostalgie de l’ indépendance de nos pays. L’un des arguments que l’on invoque pour convaincre le g
71 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
120 eur culture, et en conséquence de tout cela, leur indépendance . Personne n’ayant pu ni même prétendre prouver que tel est bien le ca
72 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
121 fin de retrouver, avec leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’où vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que
73 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
122 fin de retrouver, avec leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’où vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que
74 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
123 cher sur les billets mendiés : ils appellent cela indépendance d’esprit et même Souveraineté nationale, insistant sur la majuscule.
75 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
124 sse pour redevenir une force, capable d’assurer l’ indépendance et la prospérité de ses habitants. Le vrai danger qui doit nous fédér
125 aient également de sérieux. Il n’est qu’une seule indépendance imaginable, et elle ne peut avoir qu’un seul sujet dans notre Europe
126 attend de la fédération, c’est qu’elle instaure l’ indépendance européenne. C’est qu’elle crée une force nouvelle. Et non point qu’el
76 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
127 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
77 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
128 anticléricalisme, une volonté presque insolente d’ indépendance , avaient fait du nom de « Suisse » un synonyme d’esprit subversif, de
129 tes religieuses, mais suffisamment assurée de son indépendance par les victoires qu’elle avait remportées sur les Français, les Impé
130 ats nouveaux — ils réaffirmèrent solennellement l’ indépendance , l’inviolabilité et la neutralité de la Confédération comme étant « d
78 1953, La Confédération helvétique. Chapitre II. Les institutions politiques
131 en si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’ indépendance des cantons, en un siècle qui allait voir surgir deux nouvelles puiss
79 1953, La Confédération helvétique. Chapitre VI. Le peuple suisse et le monde
132 aissent que « l’inviolabilité de la Suisse et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
133 s civilisations » devient la raison même de son «  indépendance de toute influence étrangère ». On voit maintenant comment la neutra
134 te époque (de 1864 à 1918) offrir des garanties d’ indépendance à ces organismes naissants. En 1919, Genève fut choisie comme siège d
135 garantir à la longue ses libertés civiques et son indépendance que si l’Europe vient à se fédérer, comme surent le faire il y a cent
80 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
136 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
81 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
137 s6). — Trouverez-vous les fonds nécessaires ? — L’ indépendance morale de l’Europe doit se payer. E — Le Centre est-il, ou veut
82 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
138 rait comprendre que son élan irrépressible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais peut bien être détou
83 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
139 vrait comprendre que son élan irrésistible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais qu’au contraire une
84 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
140 rait comprendre que son élan irrépressible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais peut bien être détou
85 1954, {Title}. L’Europe en crise : décadence ou progrès ? (fin août 1954)
141 conomique qui s’en suivra, et par la perte de son indépendance . Derrière le refus obstiné de voir en face ces réalités, il y a cent
86 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
142 tés concrètes à sa liberté abstraite, qu’il nomme indépendance nationale. Le nationalisme a réussi à faire croire aux masses et aux
143 re croire aux masses et aux élites modernes que l’ indépendance nationale est la suprême valeur humaine, puisqu’en fait on lui sacrif
144 ointain Mossadegh, ruinant son peuple au nom de l’ indépendance . Ajoutons que l’autarcie économique est irréalisable au xxe siècle,
145 umilier, il suscitait un esprit de révolte et d’«  indépendance nationale » qui allait se dresser contre lui au nom de ses propres pr
87 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
146 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique, et par suite morale. Tout ce qui fait le sens
147 eler, et sur les slogans qu’elles accréditent : «  indépendance nationale », « danger allemand », « offensive de paix russe », « impé
148 moral de l’Europe, en restaurant le sens de notre indépendance et de notre vocation particulière. ⁂ Un groupe restreint, discret, s
88 1955, {Title}. L’avenir de la liberté (17 septembre 1955)
149 doivent puiser leur courage dans une tradition d’ indépendance individuelle. Fort bien. Mais sur quelles traditions d’indépendance i
150 iduelle. Fort bien. Mais sur quelles traditions d’ indépendance individuelle vivons-nous actuellement dans le monde libre ? J’en vois
89 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
151 iser » peut prendre aux yeux de certains un air d’ indépendance  : ne serait-ce pas le seul moyen « concret » d’obtempérer à l’ordre h
90 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
152 la souveraineté de son pays, mais bien celle de l’ indépendance de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera donc pas de forcer milita
91 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
153 s, mais simplement le résultat de l’automation. L’ indépendance d’un peuple ou d’un groupe de nations ne se défendra plus sur ses fro
92 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
154 en même temps il s’agit de l’amener au maximum d’ indépendance individuelle, c’est-à-dire de le préparer à vivre à sa façon. Dans la
155 a vie politique, voici l’antinomie : le maximum d’ indépendance d’une nation quelconque exclut le maximum de prospérité pour ses habi
93 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
156 ses nations n’est qu’un mythe et que, dès lors, l’ indépendance du continent doit être recouvrée au niveau de l’Union. L’aventure fra
157 ditions à la fois de notre prospérité et de notre indépendance énergétique. L’atmosphère a changé Il est certain que la cause
94 1957, {Title}. [Préface] Europe and the Europeans, édité par Max Beloff (21 février 1957)
158 matériel d’un effort humainement abrutissant) ; l’ indépendance assurément (si elle est le pouvoir de ne pas subir la loi d’une puiss
95 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
159 sur notre dos, au prix de nos libertés, de notre indépendance et de notre rôle dans l’histoire. L’idée de neutralité résulte ici de
160 e jeu d’ambitions étrangères, au détriment de son indépendance . Il doit alors se mettre en mesure d’assurer tout seul sa défense. Au
161 oïsme cynique et l’indifférence de l’autruche. Indépendance et neutralité L’idée d’étendre à toute l’Europe une neutralité « à
162 er son épingle du jeu, et d’un besoin plus fier d’ indépendance . Je ne sais qui a pu écrire que « seul un État neutre est vraiment in
96 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
163 ans sa partie est. Elle est menacée de perdre son indépendance . 3. L’idée d’union européenne fait son chemin Pour réagir contr
164 e résister aux pressions extérieures, assurer son indépendance politique et retrouver sa prospérité économique. Si l’Europe s’unissa
97 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
165 ies — mais alors c’en sera fait de l’espoir d’une indépendance reconquise. Et qui se laissera convaincre de « désengager » les États
166 n s’aperçoit que la seule question concrète est l’ indépendance de l’Europe. Car il faut être indépendant pour rester neutre ou pouvo
167 aussi de leur offrir le grand risque commun de l’ indépendance reconquise, leur paraîtrait sans doute plus attirante que le service
98 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
168 éen », l’autre a des craintes (bizarres) pour son indépendance , un troisième est encore un peu jeune, etc. L’Association n’est rien
99 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
169 u’elle soit capable de défendre et d’affirmer son indépendance politique à l’échelle planétaire, seule valable aujourd’hui, — bref,
170 s qui se trouvent en jeu neutralisme, neutralité, indépendance et interdépendance… Essayant de repérer pour ma part les résultantes
171 , appliqué à l’Europe unie, n’est rien d’autre qu’ indépendance . c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à
172 ’est rien d’autre qu’indépendance. c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à l’URSS et aux États-Unis. Ell
100 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
173 matériel d’un effort humainement abrutissant) ; l’ indépendance assurément (si elle est le pouvoir de ne pas subir la loi d’une puiss