1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
1 ge, un essai remarquable de netteté et souvent, d’ indépendance . Il dégage le sujet de l’épopée qu’est Maldoror — la révolte de l’hom
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 mage par la crise — plutôt que par leur volonté d’ indépendance — dès qu’ils sont en assez grand nombre pour constituer un parti, pré
3 1937, Articles divers (1936-1938). Formons des Clubs de presse (30 janvier 1937)
3 x adhérents des clubs de vérifier le sérieux et l’ indépendance du bulletin. Toutefois les adhérents trouveront au départ une premièr
4 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
4 le capitalisme devait entraîner nécessairement l’ indépendance croissante des rythmes de production et de consommation.) Et c’est la
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
5 générosité française, c’est l’amour français de l’ indépendance , c’est ce sens français de l’universel, c’est l’humanisme français qu
6 l’auteur sur le procès Zinoviev (p. 11), sur « l’ indépendance financière absolue » du Parti (p. 16) — curieusement appuyées par ce
6 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
7 allemand ; Sparte ; Arndt (héros des guerres d’ indépendance .) Portraits d’empereurs allemands du Moyen Âge ; Histoire des Allem
7 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
8 ns pas conscience, je ne donne pas lourd de notre indépendance . Lt D. de Rougemont III/20. q. « Pourquoi nous sommes là », La DAC,
8 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
9 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-93, Espagnols de 1804-1814, Russes de
9 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
10 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-93, Espagnols de 1804-1814, Russes de 
10 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
11 t nationale au début pour conquérir et garantir l’ indépendance des peuples : Français de 1792-1793, Espagnols de 1804-1814, Russes d
11 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
12 ulement j’aurai des craintes sérieuses pour notre indépendance . Mais pourquoi la trahirions-nous ? Toute notre tradition civique et
12 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
13 té vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par d
14 ationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par des fortifications. C’est l’intérieur du pays qu’il nous faut mai
13 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
15 eutralité et l’inviolabilité de la Suisse, et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
14 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
16 ts qui entouraient la Suisse fut notre garantie d’ indépendance . Cet équilibre vient d’être rompu. La Suisse est réduite à elle-même.
17 nt un scandale humain, mais une menace pour notre indépendance , une proie facile pour certaines propagandes. À l’inverse, chaque occ
15 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
18 gouverner elle-même, comme lorsqu’on parle de « l’ indépendance  » de la Suisse. 10. Canton de Genève. e. « L’Église et la Suisse »,
16 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
19 out simplement renoncer à une belle part de notre indépendance . C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder s
20 c’est enfin céder sur un point décisif pour notre indépendance future, étant donnée la nature des guerres modernes, qui sont d’abord
21 qu’une pareille attitude peut compromettre notre indépendance  : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’armée est de garantir
22 est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance , et non pas seulement sa matérialité (le territoire). Le vrai patriot
23 estige moral. C’est la première condition de leur indépendance , même matérielle. Nos réalistes — toujours en retard d’une guerre, d’
17 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). I. Naissance de la Ligue
24 helvétique, et ce qui devait être rénové en toute indépendance , et selon nos coutumes. On se mit rapidement d’accord pour définir, c
25 ée la Suisse. 3. La défense à tout prix de notre indépendance et la lutte contre le défaitisme sont les tâches urgentes de l’heure.
18 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
26 e la Ligue les prépare dès maintenant et en toute indépendance vis-à-vis des partis politiques et des influences ou même des pressio
19 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
27 lement j’aurais des craintes sérieuses pour notre indépendance nationale. Mais pourquoi les trahirions-nous ? Toute notre tradition
20 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
28 eprésentent pratiquement des garanties pour notre indépendance , ou, au contraire, s’ils ne peuvent pas fournir certains prétextes à
29 té vis-à-vis de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par d
30 ationale. Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par des fortifications. C’est l’intérieur du pays qu’il nous faut mai
31 à dire en Suisse), le meilleur fondement de notre indépendance nationale, c’est encore notre foi personnelle. Car c’est elle qui res
32 eutralité et l’inviolabilité de la Suisse, et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
21 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
33 ui définit l’existence de la Suisse et assure son indépendance . La nécessité de s’entraider et le besoin d’indépendance des montagna
34 dance. La nécessité de s’entraider et le besoin d’ indépendance des montagnards existaient aussi bien dans le reste des Alpes : ce qu
35 erme d’une Europe nouvelle. Mais il y va de notre indépendance autant que de la paix occidentale. Si nous n’embrassons pas cette mis
22 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
36 out simplement renoncer à une belle part de notre indépendance . C’est renoncer à nous défendre intégralement. Et c’est enfin céder s
37 c’est enfin céder sur un point décisif pour notre indépendance future, étant donnée la nature des guerres modernes, qui sont d’abord
38 qu’une pareille attitude peut compromettre notre indépendance  : elle l’affirme au contraire ! Le devoir de l’armée est de garantir
39 est de garantir par la force l’intégrité de notre indépendance , et non pas seulement sa matérialité (le territoire). Le vrai patriot
40 estige moral. C’est la première condition de leur indépendance , même matérielle. Nos réalistes — toujours en retard d’une guerre, d’
23 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
41 et de sauver son avenir. Tel est le sens de notre indépendance , et telle est la mission spéciale qui justifie notre neutralité. aj
24 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
42 ourra survivre dans un État qui ne défend pas son indépendance . Mais au-delà de tout calcul de gain ou de perte, il y a des valeurs
25 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
43 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ Indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
26 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
44 sitions parfois les plus extrêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et de
27 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
45 ns pas conscience, je ne donne pas lourd de notre indépendance . Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.)
28 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
46 urait de se battre, et l’une des marques de cette indépendance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix ?4 L
47 mier) : « Vous avez pour mission de sauvegarder l’ indépendance du pays et de maintenir l’intégrité du territoire. » Or il est clair
48 t aussi des retraites nécessaires pour défendre l’ indépendance . Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bonheur elle n’a p
29 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
49 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
50 ons pas conscience, je ne donne pas cher de notre indépendance . Berne, fin novembre 1939. (Au retour d’un voyage en Hollande.)
51 urait de se battre, et l’une des marques de cette indépendance que l’armée justement se trouve chargée de défendre à tout prix80 ? L
52 mier) : « Vous avez pour mission de sauvegarder l’ indépendance du pays et de maintenir l’intégrité du territoire. » Or il est clair
53 t aussi des retraites nécessaires pour défendre l’ indépendance . Cela se discute. Ce fut la tendance de Vichy. Par bonheur elle n’a p
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
54 ançais : morts de Montcalm et morts des guerres d’ Indépendance . La liberté et la démocratie montrent ici plus d’un visage. Comme ail
32 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
55 s francs, nous dirions : la vraie menace contre l’ indépendance européenne, elle ne vient pas de l’Amérique, mais de nous-mêmes. La v
56 dans le cas de mériter pareil rappel à l’ordre. L’ indépendance économique des nations de l’Europe est une fiction. Tout le monde le
57 ut le monde le sait, n’en parlons plus. Quant à l’ indépendance morale et politique que nous devons affirmer ou regagner, c’est dans
33 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
58 sitions parfois les plus extrêmes, avec une belle indépendance vis-à-vis des critiques de l’extérieur. Renaissance du thomisme et de
34 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
59 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
35 1948, Articles divers (1948-1950). Pourquoi l’Europe ? (25 décembre 1948)
60 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
36 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
61 rement, il est né d’initiatives privées, en toute indépendance de nos gouvernements. Il parle au nom des peuples de l’Europe — on n’
62 ux que nous venons de définir. Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme aura pour tâches immédia
63 Centre européen de la culture. Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme aurait pour mission géné
64 universités européennes, et à la garantie de leur indépendance par rapport aux États et aux pressions politiques ; et de favoriser l
65 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
37 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
66 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance  ; aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pos
38 1949, La Vie protestante, articles (1938–1978). Printemps de l’Europe (29 avril 1949)
67 re à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance reconquise. Cette Europe inventant la paix, l’imposant au besoin par
39 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
68 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
40 1949, Articles divers (1948-1950). « Le promoteur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er juillet 1949)
69 re à personne, mais à défendre d’un seul cœur son indépendance reconquise. Paix, liberté, prospérité, tels ont été les grands motifs
70 entre européen de la culture ? Constitué en toute indépendance des contrôles gouvernementaux, cet organisme a pour tâche immédiate d
41 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
71 ter pour assurer sa survivance économique, et son indépendance politique et civique, déjà fortement compromise. Cette Europe sur la
72 Est et de l’Ouest. Rien d’autre ne peut assurer l’ indépendance européenne, qui est à son tour le seul moyen de prévenir une guerre l
42 1949, Articles divers (1948-1950). La liberté religieuse à l’école (2e semestre 1949)
73 epuis plus d’un siècle, sont la base même de leur indépendance nationale, de leur prospérité et de leur paix ? L’exemple des adventi
43 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
74 Est et de l’Ouest. Rien d’autre ne peut assurer l’ indépendance européenne, seul moyen de prévenir la guerre. Tels sont les buts conc
44 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
75 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
45 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
76 en une à l’échelle de l’Europe ! Il y va de notre indépendance , qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il
77 s qu’ils s’en doutent la force et les moyens de l’ indépendance  : une Autorité fédérale. Nous n’attendons rien de plus, ni rien de mo
46 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
78 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
47 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
79 iste pas ; car toute censure suppose une certaine indépendance de la production intellectuelle ou des sources d’information ; or cet
80 lectuelle ou des sources d’information ; or cette indépendance est exclue à priori dans les démocraties dites populaires. Cependant,
81 a vraie cause de notre puissance et donc de notre indépendance . De plus, si la culture accepte d’être privée théoriquement et pratiq
82 qui ait encore créé dans une nation privée de son indépendance . L’Europe est encore le foyer de la civilisation occidentale, la seul
48 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
83 ls. Rien d’autre, en vérité, ne pouvait assurer l’ indépendance du pays. Mais la Diète, les États et leurs experts voyaient dans le m
49 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
84 en une à l’échelle de l’Europe ! Il y va de notre indépendance , qui vaut mieux qu’elles, et qu’elles sabotent. Le peuple suisse, il
85 s qu’ils s’en doutent la force et les moyens de l’ indépendance  : une Autorité fédérale. Nous n’attendons rien de plus, ni rien de mo
50 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
86 — et aussi les préoccupations nouvelles nées de l’ indépendance , les soucis de la jeune intelligentsia… ses réactions en face de l’UR
51 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
87 vieux conflit franco-allemand, la nostalgie de l’ indépendance de nos pays. L’un des arguments que l’on invoque pour convaincre le g
52 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
88 eur culture, et en conséquence de tout cela, leur indépendance . Personne n’ayant pu ni même prétendre prouver que tel est bien le ca
53 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
89 fin de retrouver, avec leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’où vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que
54 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
90 fin de retrouver, avec leur fierté légitime, leur indépendance réelle. D’où vient, après tout, la puissance, non moins redoutée que
55 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
91 cher sur les billets mendiés : ils appellent cela indépendance d’esprit et même Souveraineté nationale, insistant sur la majuscule.
56 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
92 sse pour redevenir une force, capable d’assurer l’ indépendance et la prospérité de ses habitants. Le vrai danger qui doit nous fédér
93 aient également de sérieux. Il n’est qu’une seule indépendance imaginable, et elle ne peut avoir qu’un seul sujet dans notre Europe
94 attend de la fédération, c’est qu’elle instaure l’ indépendance européenne. C’est qu’elle crée une force nouvelle. Et non point qu’el
57 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
95 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
58 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
96 anticléricalisme, une volonté presque insolente d’ indépendance , avaient fait du nom de « Suisse » un synonyme d’esprit subversif, de
97 tes religieuses, mais suffisamment assurée de son indépendance par les victoires qu’elle avait remportées sur les Français, les Impé
98 ats nouveaux — ils réaffirmèrent solennellement l’ indépendance , l’inviolabilité et la neutralité de la Confédération comme étant « d
59 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
99 en si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’ indépendance des cantons, en un siècle qui allait voir surgir deux nouvelles puiss
60 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
100 aissent que « l’inviolabilité de la Suisse et son indépendance de toute influence étrangère, sont dans les vrais intérêts de la poli
101 s civilisations » devient la raison même de son «  indépendance de toute influence étrangère ». On voit maintenant comment la neutra
102 te époque (de 1864 à 1918) offrir des garanties d’ indépendance à ces organismes naissants. En 1919, Genève fut choisie comme siège d
103 garantir à la longue ses libertés civiques et son indépendance que si l’Europe vient à se fédérer, comme surent le faire il y a cent
61 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
104 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique et peut-être morale. Et certes, nous perdrons t
62 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales : trois questions, trois réponses (mai-juillet 1954)
105 s6). — Trouverez-vous les fonds nécessaires ? — L’ indépendance morale de l’Europe doit se payer. E — Le Centre est-il, ou veut
63 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
106 rait comprendre que son élan irrépressible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais peut bien être détou
64 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
107 rait comprendre que son élan irrépressible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais peut bien être détou
65 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
108 vrait comprendre que son élan irrésistible vers l’ indépendance nationale ne sera plus arrêté par l’Europe, mais qu’au contraire une
66 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
109 tés concrètes à sa liberté abstraite, qu’il nomme indépendance nationale. Le nationalisme a réussi à faire croire aux masses et aux
110 re croire aux masses et aux élites modernes que l’ indépendance nationale est la suprême valeur humaine, puisqu’en fait on lui sacrif
111 ointain Mossadegh, ruinant son peuple au nom de l’ indépendance . Ajoutons que l’autarcie économique est irréalisable au xxe siècle,
112 umilier, il suscitait un esprit de révolte et d’«  indépendance nationale » qui allait se dresser contre lui au nom de ses propres pr
67 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
113 près nos dernières positions dans le monde, notre indépendance politique, économique, et par suite morale. Tout ce qui fait le sens
114 eler, et sur les slogans qu’elles accréditent : «  indépendance nationale », « danger allemand », « offensive de paix russe », « impé
115 moral de l’Europe, en restaurant le sens de notre indépendance et de notre vocation particulière. ⁂ Un groupe restreint, discret, s
68 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
116 iser » peut prendre aux yeux de certains un air d’ indépendance  : ne serait-ce pas le seul moyen « concret » d’obtempérer à l’ordre h
69 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
117 la souveraineté de son pays, mais bien celle de l’ indépendance de toute l’Europe. La vraie réponse ne sera donc pas de forcer milita
70 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
118 s, mais simplement le résultat de l’automation. L’ indépendance d’un peuple ou d’un groupe de nations ne se défendra plus sur ses fro
71 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
119 ses nations n’est qu’un mythe et que, dès lors, l’ indépendance du continent doit être recouvrée au niveau de l’Union. L’aventure fra
120 ditions à la fois de notre prospérité et de notre indépendance énergétique. L’atmosphère a changé Il est certain que la cause
72 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
121 sur notre dos, au prix de nos libertés, de notre indépendance et de notre rôle dans l’histoire. L’idée de neutralité résulte ici de
122 e jeu d’ambitions étrangères, au détriment de son indépendance . Il doit alors se mettre en mesure d’assurer tout seul sa défense. Au
123 oïsme cynique et l’indifférence de l’autruche. Indépendance et neutralité L’idée d’étendre à toute l’Europe une neutralité « à
124 er son épingle du jeu, et d’un besoin plus fier d’ indépendance . Je ne sais qui a pu écrire que « seul un État neutre est vraiment in
73 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
125 ans sa partie est. Elle est menacée de perdre son indépendance . 3. L’idée d’union européenne fait son chemin Pour réagir contr
126 e résister aux pressions extérieures, assurer son indépendance politique et retrouver sa prospérité économique. Si l’Europe s’unissa
74 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
127 ies — mais alors c’en sera fait de l’espoir d’une indépendance reconquise. Et qui se laissera convaincre de « désengager » les États
128 n s’aperçoit que la seule question concrète est l’ indépendance de l’Europe. Car il faut être indépendant pour rester neutre ou pouvo
129 aussi de leur offrir le grand risque commun de l’ indépendance reconquise, leur paraîtrait sans doute plus attirante que le service
75 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle des festivals dans la vie culturelle de l’Europe [Commentaires] (mai 1957)
130 éen », l’autre a des craintes (bizarres) pour son indépendance , un troisième est encore un peu jeune, etc. L’Association n’est rien
76 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
131 u’elle soit capable de défendre et d’affirmer son indépendance politique à l’échelle planétaire, seule valable aujourd’hui, — bref,
132 s qui se trouvent en jeu neutralisme, neutralité, indépendance et interdépendance… Essayant de repérer pour ma part les résultantes
133 , appliqué à l’Europe unie, n’est rien d’autre qu’ indépendance . c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à
134 ’est rien d’autre qu’indépendance. c) Mais cette indépendance n’existerait vraiment que par rapport à l’URSS et aux États-Unis. Ell
77 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
135 matériel d’un effort humainement abrutissant) ; l’ indépendance assurément (si elle est le pouvoir de ne pas subir la loi d’une puiss
78 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la pluralité des satellites (II) (décembre 1957)
136 nt le catalogue de Sears Robuck, la Déclaration d’ indépendance , Walter Winchell et Billy Graham comme reporters : elle ne rattrapera
79 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
137 en même temps il s’agit de l’amener au maximum d’ indépendance individuelle, c’est-à-dire de le préparer à vivre à sa façon. Dans la
138 a vie politique, voici l’antinomie : le maximum d’ indépendance d’une nation quelconque exclut le maximum de prospérité pour ses habi
80 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur la prétendue décadence de l’Occident (avril 1958)
139 ue, démographique) faisant présager la perte de l’ indépendance , suivie de l’imposition d’un système de valeurs étranger. Regardons a
81 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
140 res l’imposeront à nos dépens et au prix de notre indépendance . Ceci posé, les principaux groupes de faits qu’une information europé
82 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une université européenne [Introduction] (juillet 1958)
141 it que vous vous prononciez sur ce sujet en toute indépendance et objectivité, bien moins au nom des intérêts de vos instituts et de
83 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
142 nsi nous courons l’immense danger de perdre notre indépendance , nation après nation, ce qui entraînerait la désagrégation du foyer m
84 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). L’Europe de l’énergie
143 triompher, certes, mais c’est au détriment de son indépendance . Et dans aucun domaine, notre dépendance n’est plus sensible, plus ex
144 ors sa balance de paiements ? Que deviendrait son indépendance  ? Elle serait proprement colonisée, financièrement, politiquement et
85 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
145 ut prétendre, seul, à une défense sérieuse de son indépendance . Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose
86 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
146 nnée suivante, l’Acte de Médiation rétablissait l’ indépendance des cantons. Au lendemain de la chute de l’empereur, en 1815, un nouv
147 résentait en vérité qu’une faible garantie pour l’ indépendance des cantons, en un siècle qui allait voir surgir deux nouvelles grand
87 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
148 u tiers-monde, n’est guère qu’une revendication d’ indépendance , proclamée contre l’Occident colonialiste. Dans notre Europe, qui l’i
149 ie. Les Italiens, qui se sentent au seuil de leur indépendance , prennent une vue beaucoup moins pessimiste de l’Europe. Ainsi, Vince
150 ont des nationalités opprimées et qui ont perdu l’ indépendance  ; l’Allemagne et l’Italie sont des nations encore à naître. On conçoi
88 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
151 cette faiblesse matérielle est la rançon de notre indépendance de tous partis, intérêts nationaux, groupements d’États ou même super
89 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
152 istence, contribuerait à restaurer le sentiment d’ indépendance morale de notre continent, à rendre aux chercheurs et créateurs de no
90 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
153 « Comme je voudrais que la Pologne ait enfin son indépendance  ! Parce qu’alors je ne serais plus obligé d’être avant tout un patrio
154 iques pour ses premières campagnes en faveur de l’ indépendance polonaise. On le devine brillant et séduisant, snob et capable d’inso
155 e commune, surtout lorsqu’il s’agit de regagner l’ indépendance non point contre une puissance mais contre trois ! Personne ne parle
156 et l’Angleterre, pour y représenter la cause de l’ indépendance polonaise « sans aucun esprit de parti et avec toute la hardiesse don
157 séduit. La situation du Mexique luttant pour son indépendance réelle contre le « colosse du Nord » s’identifia très vite pour lui a
158 ses revenus annuels, mais le privait aussi de son indépendance , et ne cessait de provoquer des révolutions locales, grèves, meurtres
159 R. ait vécu dans la misère, rançon de son extrême indépendance d’esprit et d’un désintéressement presque provocant… La guerre de 193
160 Autriche. Pour l’Europe La guerre finie, l’ indépendance polonaise reconquise sur les Allemands mais presque aussitôt reperdue
161 es étaient réunis pour agir au nom d’une idée — l’ indépendance polonaise et l’action syndicaliste aux débuts, l’union européenne ou
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
162 ns lequel les différentes nations garderaient une indépendance absolue quoad temporalia. Cependant, il ne croit pas la paix possible
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
163 ets, renoncèrent à l’espoir et même au désir de l’ indépendance , et se trouvèrent honorés du titre de citoyens romains. Forcées de cé
164 rogrès de leurs colonies, ne produisent bientôt l’ indépendance du Nouveau Monde ; et dès-lors, la population européenne, prenant des
165 er de ceux des autres peuples, respecteront cette indépendance , qu’ils ont jusqu’ici violée avec tant d’audace. Leurs établissements
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
166 familles et leurs fortunes, dès que la paix et l’ indépendance y seront assurées, de sorte que l’on peut généralement escompter que
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
167 rofond mépris les sauvages, dans leur amour d’une indépendance sans règle, préférer se battre sans cesse, plutôt que se soumettre à
95 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
168 admiration qu’elle s’accompagne d’une très grande indépendance et d’une absence presque complète de relations réciproques. Si nombre
169 ’ils furent en leur patrie scythe, dans un état d’ indépendance sauvage, armés pour l’attaque et la défense, disséminés dans tous ces
96 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
170 ir l’équilibre en Europe, d’assurer le repos et l’ indépendance des puissances et de prévenir les envahissements qui, depuis tant d’a
171 seul corps politique, en conservant à chacun son indépendance nationale. Sans même tenir compte de l’influence que Saint-Simon dev
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
172 ie. Les Italiens, qui se sentent au seuil de leur indépendance , prennent une vue beaucoup moins pessimiste de l’Europe. Ainsi Vincen
173 des nationalités opprimées et qui ont perdu leur indépendance politique ; l’Allemagne et l’Italie sont des nations encore à naître.
174 pour mort l’empire de la foi, et en proclamant l’ indépendance de la raison et de la volonté de l’homme, elle a rendu absolu, univer
175 laisser de côté l’élément divin et à proclamer l’ indépendance et la souveraineté de l’élément humain… Du reste ce grand retour en a
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
176 isque toute inégalité entraîne une violation de l’ indépendance , et que toute violation d’indépendance empêche la liberté du consente
177 ation de l’indépendance, et que toute violation d’ indépendance empêche la liberté du consentement ; Que la Liberté, l’Égalité, l’Hum
178 l faudra remplir sera le maintien scrupuleux de l’ indépendance et de la liberté des États associés. Les États européens se considère
179 er toutes les questions concernant l’existence, l’ indépendance et la liberté des États, dont dépendent les conditions de vie, la séc
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
180 goïsmes galeux ? Et cela au moment où l’absence d’ indépendance intellectuelle et la déchéance des nationalismes sautent aux yeux, où
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
181 planète qui a atteint sa majorité et conquis son indépendance et, en outre, se retourne contre elle avec une énergie et des forces
182 que chaque nation se réclame d’une unité et d’une indépendance de culture qu’elle ne possède point et que chacune considère son lot