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ce de wagon-restaurant, un Valais de plus en plus
industrialisé
juchant sur le sommet des plus petites mottes de cailloutis glaciaire
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t du commerce. La Suisse est un des pays les plus
industrialisés
du monde. Cependant, près d’un quart de son territoire est improducti
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e vue. Siegfried nous montre une Suisse prospère,
industrialisée
, démocrate à l’extrême, jalouse de ses diversités, unie par le refus
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uvent aujourd’hui confrontés les pays de l’Europe
industrialisée
: continuer la course effrénée et suicidaire au niveau de vie ou se m
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de se libérer par la science et par la technique
industrialisée
des grandes contraintes naturelles, cependant que ce succès même fais
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opulation quatre fois supérieure à celle des pays
industrialisés
, le tiers-monde — il faut oser le dire ! — n’a aucune possibilité mat
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lent tant d’intellectuels dans les pays hautement
industrialisés
. S’il pouvait être renversé — ce que sa nature même exclut — il nous
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’un luxe de nantis ? Après tout, le club des pays
industrialisés
est plutôt restreint et les deux tiers de l’humanité n’en font pas pa
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z, si le tiers-monde continue à croître, le monde
industrialisé
sans exception, pays du rideau de fer compris, voit sa population sta
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ès agricoles, comme la Hongrie, ou très fortement
industrialisés
, comme la Suisse (l’agriculture n’y occupe plus que 8 % de la populat
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es gagneraient toutes les élections dans nos pays
industrialisés
. En fait, ils n’ont jamais gagné que des majorités comme les nazis pr
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and un seul suffirait pour cette région hautement
industrialisée
et de population très dense. Chacun des projets nationaux se voit for
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es de l’Amérique latine, tandis que dans les pays
industrialisés
de l’Europe le taux de croissance est en baisse, approchant parfois d
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es de l’Amérique latine, tandis que dans les pays
industrialisés
de l’Europe, le taux de croissance est en baisse, approchant parfois
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néreuse jusqu’ici consentie par un groupe de pays
industrialisés
à un groupe de pays en voie de développement : non seulement la Commu
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industriel et le bien-être humain. Dans les pays
industrialisés
, la pression sociale de plus en plus forte et impatiente a modifié su
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. Le deuxième (cancer) intéresse surtout le monde
industrialisé
(Occident et Japon). Quant aux troisième et quatrième (perte de sols,
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s des besoins énergétiques (surtout dans le monde
industrialisé
, tant communiste que capitaliste) et des besoins alimentaires (surtou
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opulation quatre fois supérieure à celle des pays
industrialisés
, le tiers-monde — il faut oser le dire ! — n’a aucune possibilité mat
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novembre 1971 D’un coup, dans le monde occidental
industrialisé
(l’Europe, les États-Unis et le Canada, l’URSS, le Japon), non seulem