1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
1 e vertigineuse docilité dans les voies d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 e vertigineuse docilité dans les voies d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 pensée entre en contact avec tout le mobile et l’ ineffable du monde. Cure de sommeil, de rêves et de feuillages — et trois heure
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 e vertigineuse docilité dans les voies d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 pensée entre en contact avec tout le mobile et l’ ineffable du monde. Cure de sommeil, de rêves et de feuillages — et trois heure
6 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
6 out l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de son âme, dans une partie de
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
7 out l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de son âme, dans une partie de
8 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
8 enté les mêmes figures de langage pour traduire l’ ineffable qu’ils vivaient. Et ceci nous amène au problème central : celui de l’
9 eux, n’est que la « porte » ouvrant sur le monde ineffable , qui est proprement le domaine des mystiques. Toute expérience mystiq
10 nt est la source de tout ce que l’on dit. C’est l’ ineffable , l’indicible, le royaume du Silence absolu ; et pourtant — voici le p
11 au-devant d’une réalité invisible, divine, d’une ineffable splendeur ? Un indicible ravissement me souleva tout entier… » Peut-ê
12 te expérience mystique : c’est la « pure présence ineffable  », la « contemplation sans objet ». Je pense donc qu’il est légitime
9 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
13 s apte à traduire et à communiquer l’essence tout ineffable du sentiment que l’on vit. Là encore, les textes confirment l’exactit
14 . Déplorer que les mots trahissent le sentiment «  ineffable  » et qu’il faut pourtant dire. L’amour qui purifie et chasse toute pe
15 , quand un mystique veut exprimer ses expériences ineffables , il est contraint de se servir de métaphores. Il les prend où il les
10 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
16 auffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supérieure, germée au plus secret de l’âme. L’esprit déploi
17 nsolantes, l’amour ne sera pas longtemps félicité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann ; mais plutôt cet
11 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
18 s apte à traduire et à communiquer l’essence tout ineffable du sentiment que l’on vit. Là encore, les textes confirment l’exactit
19 . Déplorer que les mots trahissent le sentiment «  ineffable  » et qu’il faut pourtant dire. L’amour qui purifie et chasse toute pe
20 , quand un mystique veut exprimer ses expériences ineffables , il est contraint de se servir de métaphores. Il les prend où il les
12 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
21 auffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supérieure, germée au plus secret de l’âme. L’esprit déploi
22 nsolantes, l’amour ne sera pas longtemps félicité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann ; mais plutôt cet
13 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
23 s apte à traduire et à communiquer l’essence tout ineffable du sentiment que l’on vit. Là encore, les textes confirment l’exactit
24 . Déplorer que les mots trahissent le sentiment «  ineffable  » et qu’il faut pourtant dire. L’amour qui purifie et chasse toute pe
25 , quand un mystique veut exprimer ses expériences ineffables , il est contraint de se servir de métaphores. Il les prend où il les
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
26 auffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supérieure, germée au plus secret de l’âme. L’esprit déploi
27 nsolantes, l’amour ne sera pas longtemps félicité ineffable de la vie supérieure » dont parle E. T. A. Hoffmann ; mais plutôt cet
15 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
28 enté les mêmes figures de langage pour traduire l’ ineffable qu’ils vivaient86. Et ceci nous amène au problème central : celui de
29 eux, n’est que la « porte » ouvrant sur le monde ineffable qui est proprement le domaine des mystiques. Toute expérience mystiqu
30 nt est la source de tout ce que l’on dit. C’est l’ ineffable , l’indicible, le royaume du Silence absolu ; et pourtant — voici le p
31 au-devant d’une réalité invisible, divine, d’une ineffable splendeur. Un indicible ravissement me souleva tout entier… » Peut-êt
32 te expérience mystique : c’est « la pure présence ineffable  », la « contemplation sans objet ». Il est donc légitime de suivre Al
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
33 e vertigineuse docilité dans les voies d’un amour ineffable et se perd avec lui vers le désert et ses mirages. On ne sait d’où tu
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
34 pensée entre en contact avec tout le mobile et l’ ineffable du monde. Cure de sommeil, de rêves et de feuillages — et trois heure
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
35 out l’univers s’adresse à l’homme dans un langage ineffable qui se fait entendre dans l’intérieur de son âme, dans une partie de