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cheront les artères principales de Manhattan, bel
infarctus
! Comment les déplacer ? Il y faudra des semaines, et après ? Découra
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le des nations » comme on dirait « l’année de mon
infarctus
» ? Autre chose est de constater que la réalité politique de notre te
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bien sûr, d’autant plus tyrannique. L’anxiété, l’
infarctus
et l’ulcère d’estomac se développent parmi nous au rythme même des dé
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able par des embouteillages qui ressemblent à des
infarctus
; irrespirable par ses émanations asphyxiantes qui forment 69 % de la
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« maladies de civilisation » comme le cancer et l’
infarctus
. C’est surtout par la crainte des effets possibles de l’énergie nuclé