1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 x que son lyrisme cosmique. On est plus près de l’ infini au fond de soi qu’au fond du ciel. l. « Jules Supervielle : Gravita
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 usées ! — et si tu veux soudain le son grave de l’ infini , pour être seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau ciel du m
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 vous nous appelez encore hors de cette voix de l’ infini où chancellent parmi les éclairs nos premiers pas. Aragon, dans ces t
4 e un anathème sanglant. Louis Aragon, avocat de l’ infini , annonce l’entrée de l’éternelle anarchiste, la Poésie.   On dit : « 
5 us vous êtes assuré que la porte ferme bien sur l’ infini . Rien à craindre de ce côté. Retournez à vos amours. ................
6 ugements se rendaient sans cesse à l’échelle de l’ infini , et cet infini nous écrasait. Comment aurions-nous accepté le sort co
7 daient sans cesse à l’échelle de l’infini, et cet infini nous écrasait. Comment aurions-nous accepté le sort communément heure
8 tes encore, interceptant les messages égarés de l’ infini … Un tel homme, — est-ce encore Aragon, sinon qui ? — sa grandeur, c’
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 tenses que tout se fond catastrophiquement dans l’ infini de la seconde. Des peurs sans cause, plus vides que la mort. Toutes c
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
10 vie, désormais sans au-delà, sans relation avec l’ infini , se trouble et se complique ; le sentiment contredit à la pensée, la
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
11 ée. Oui, je sus que l’échange de deux regards est infini , est indéfiniment grandiose et musical. Ainsi coula cette nuit sans p
12 ils essaient encore le samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seulement une usure des nerfs
7 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
13 e prolongent jusque vers onze heures, en des jeux infinis sur les vastes ondulations des terres. À l’horizon, des ailes de moul
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
14 e prolongent jusque vers onze heures, en des jeux infinis sur les vastes ondulations des terres. À l’horizon, des ailes de moul
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
15 e. Oui, j’ai su que l’échange de deux regards est infini , est indéfiniment grandiose et musical. Ainsi coula cette nuit sans p
16 ils essaient encore le samedi soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais seulement une usure des nerfs
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
17 théâtre pur, où tout est sens, écho, dialogue à l’ infini . Ici la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre, la médit
11 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
18 de Fernandez : « Le chrétien est un embusqué de l’ infini . » a. « Humanisme et christianisme », Le Semeur, Paris, n° 5, mars 1
12 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
19 dditionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’ infini . Du peuple on a fait une masse, — comme de la personne un numéro. De
13 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
20 ui est adressée ; enfin, excitant en lui l’espoir infini au sein du désespoir et la joie de la Promesse invisible, — cette vis
14 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
21 nent dans une oscillation gigantesque, entre deux infinis contradictoires. On conçoit que le fidèle habitué à venir chaque dima
15 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
22 n pauvrette d’une âme flattée de s’admirer dans l’ infini d’un paysage. « Un paysage est un état d’âme », disait Amiel au combl
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
23 principale : « Il y a une différence qualitative infinie entre Dieu et l’homme. » Le sens réel et profond de toute son œuvre r
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
24 ans son âme ! — Kierkegaard a montré « le comique infini  ». Il faut risquer cette expression : le rire de la charité chrétienn
25 rquoi ce rire scandaleux ? Parce que « la crainte infinie d’un seul danger nous rendrait tous les autres inexistants ». Mais ce
26 n tu crois à la seule grâce de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, ou bien tu crois aussi à ce sérieux de l’existence sym
27 on péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce « croyant » qui tremble pour le sort de l’esprit dans le monde,
18 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
28 ités de la « chair », qui ne sont pas variées à l’ infini . D’autre part, on peut renverser l’objection. Les lois rigides, ratio
19 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
29 réaliser. 41. « Le chrétien est un embusqué de l’ infini  », écrivait Ramon Fernandez. 42. On sait que la secousse du 6 févrie
20 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
30 ider. Le croyant au contraire trouvera des forces infinies dans la foi qu’il aura au but — au but caché derrière sa mort. Il mar
31 tant en lui à chaque moment la mesure d’un effort infini . 64. Cela signifie : une vocation concrète, non pas une aventure a
21 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
32 dditionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’ infini . Du peuple on a fait une masse, — comme de la personne un numéro. De
22 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
33 ici de Kierkegaard, « une différence qualitative infinie  » entre Dieu et l’homme. Le tout de l’homme est négation de Dieu. C’e
23 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
34 ités de la « chair », qui ne sont pas variées à l’ infini . D’autre part, on peut renverser l’objection. Les lois rigides, ratio
24 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
35 réaliser. 34. « Le chrétien est un embusqué de l’ infini  », écrivait Ramon Fernandez. 35. On sait que la secousse du 6 févrie
25 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
36 er. Le croyant, au contraire, trouvera des forces infinies dans la foi qu’il aura au but — au but caché derrière sa mort. Il mar
37 tant en lui à chaque moment la mesure d’un effort infini . 56. Cela signifie : une vocation concrète, non pas une aventure a
26 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
38 dditionnés, soustraits, multipliés et divisés à l’ infini . Du peuple on a fait une masse, — comme de la personne un numéro. De
27 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
39 t concevoir et souhaiter une « personnalisation » infinie de l’humanité. Principe de la véritable « démocratie » culturelle : u
28 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
40 que de la voir, et qui se perd dans un bavardage infini , dans ce vide ou cette « profondeur » ou plus rien n’arrête la parole
29 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
41 ros du monde bourgeois. Il incarne à la puissance infinie le goût du néant — le refus de la vocation — qui caractérisera le mon
30 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
42 ations les plus artificielles, aux découpages à l’ infini de la « matière » vivante et organique, à la multiplication des point
31 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
43 bien propice aux interprétations, aux distinguos infinis par où le pire subjectivisme, celui de la prudence opportuniste, s’in
44 évéler une simple méconnaissance des possibilités infinies d’interprétation dont dispose leur apologétique, s’ils me convainquen
32 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
45 lle, et celle-ci une autre, et ainsi de suite à l’ infini , de sorte que pour finir on est chacun tout seul sur son petit bout d
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
46 es de la vie sexuelle, la vision d’une jouissance infinie , tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substi
34 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
47  ? Les conséquences de l’un et l’autre choix sont infinies . Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus important pou
48 ais seulement un geste de doute, une allusion à l’ infinie complexité de nos problèmes ; tous ceux qui cherchent un refuge dans
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 e cet acte, règne l’absence. Et cette absence est infinie . Car elle est le temps même, le mauvais temps qui me sépare du monde
50 et angélisme « démoniaque », cette nostalgie de l’ infini ou des passions sauvages que rêvent les faibles, mais un acte de prés
51 l’axe du concret ? Elles lui sont parallèles à l’ infini . Elles restent séparées de l’être en chacun de leurs points, à chaque
36 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
52  ? Les conséquences de l’un et l’autre choix sont infinies . Elles sont infiniment contradictoires. Rien n’est plus important pou
53 ais seulement un geste de doute, une allusion à l’ infinie complexité de nos problèmes ; tous ceux qui cherchent un refuge dans
37 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
54 e cet acte, règne l’absence. Et cette absence est infinie . Car elle est le temps même, le mauvais temps qui me sépare du monde
55 et angélisme « démoniaque », cette nostalgie de l’ infini ou des passions sauvages que rêvent les faibles, mais un acte de prés
56 l’axe du concret ? Elles lui sont parallèles à l’ infini . Elles restent séparées de l’être en chacun de leurs points, à chaque
38 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
57 ades, les miliciens, qui jouent avec lui avec une infinie gentillesse. Ne donne-t-on pas au canari de la duchesse chaque jour s
39 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
58 s’en aperçoit, on commence à comprendre la portée infinie de cette parole si simple : « Ne jugez pas. » On est déjà tout près d
40 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
59 t que de poser un regard vague et passionné sur l’ infini néant des eaux, je considère à mes pieds les dessins du sable qui s’é
41 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
60 … la marche verticale, signe de notre verticalité infinie ou du sublime de notre spiritualité ». 10 octobre 1934 (Suite e
42 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
61 sède une signification métaphysique et religieuse infinie . C’est parce qu’il existe que nous savons encore que l’homme est né p
43 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
62 du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’ infini , c’est l’éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse
63  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’ infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de prendre co
44 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
64 promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie m
65 e plus qu’elle est salutaire. Cela se discute à l’ infini . Et cela nous sera des plus utile dès que les hommes se régleront sur
66 voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini , devra marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait p
67 urgeois. Et pourtant « il a tout renoncé dans une infinie résignation, et s’il a tout ressaisi par la suite, c’est en vertu de
68 ire de la foi). Il fait sans cesse le saut dans l’ infini , mais avec une telle correction et une telle certitude qu’il retombe
45 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 (étudiant de l’Université) planait à une hauteur infinie au-dessus de l’ouvrier d’usine, et où n’importe quelle ridicule tête
46 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
70 et qu’elle prie, et vers lequel elle s’ouvre à l’ infini . « Et l’Esprit et l’Épouse disent : Viens ! Et que celui qui entend d
47 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
71 ’auteur, sa patiente intrépidité, la « volubilité infinie  » de l’esprit que suppose son entreprise ? Car l’étude des poètes her
72 le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’homme, capable de refaire avec ses mains le Paradis perdu et les
48 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
73 mbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou moins analogues. Le mythe permet de saisir d’un
74 ’annulation. À ces abus, générateurs de querelles infinies et de guerres, l’amour courtois oppose une fidélité indépendante du m
75 et le consacre dans leur cœur, pour l’exalter à l’ infini dans l’instant de l’obstacle absolu, qui est la mort. Tristan aime se
76 ue les amants veulent prolonger et renouveler à l’ infini . D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du cheva
49 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
77 veut embrasser que le Tout. C’est le dépassement infini , l’ascension de l’homme vers son dieu. Et ce mouvement est sans retou
78 qui n’admet point cette impensable confusion de l’ infini et du fini, mais surtout pour l’esprit religieux naturel. Toutes les
79 transformation. Éros cherchait le dépassement à l’ infini . L’amour chrétien est obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’e
80 veau symbole de l’Amour, ce n’est plus la passion infinie de l’âme en quête de lumière, mais c’est le mariage du Christ et de l
81 le dira Kierkegaard « une différence qualitative infinie  ». Donc point de fusion possible, ni d’union substantielle. Mais seul
82 quins dont les froides aventures s’enchaînent à l’ infini  », nous dit de ces légendes l’un de leurs meilleurs adapteurs moderne
50 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
83 voises colportées et reprises, avec des variantes infinies , par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comiqu
84 es de la vie sexuelle, la vision d’une jouissance infinie , tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substi
85 t nocturne, l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manque ce que l’on pourrait appeler, symétriquement,
86 re, tandis que dans un être unique et possédé à l’ infini se concentre le monde entier. Tristan n’a plus besoin du monde, — par
87 amour qui repousse tout objet pour s’élancer à l’ infini . C’est, dit-il, « le désir de quelque chose d’entièrement inconnu, qu
88 réelle que l’autre, qu’il voulait détruire ! À l’ infini , jusqu’à la consomption de toute vie et de tout esprit. Voilà ce que
51 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
89 du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’ infini , c’est l’éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse
90  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’ infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de prendre co
52 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
91 promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie m
92 e plus qu’elle est salutaire. Cela se discute à l’ infini . Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se régleront su
93 voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini , devra marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait p
94 urgeois. Et pourtant « il a tout renoncé dans une infinie résignation, et s’il a tout ressaisi par la suite, c’est en vertu de
95 ire de la foi). Il fait sans cesse le saut dans l’ infini , mais avec une telle correction et une telle certitude qu’il retombe
53 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
96 passer du zéro de l’homme devant Dieu à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoi
97 t la valeur varie si curieusement entre zéro et l’ infini , et dont tant d’auteurs non protestants ou incroyants nous font une g
54 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
98 mbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou moins analogues. Le mythe permet de saisir d’un
99 ’annulation. À ces abus, générateurs de querelles infinies et de guerres, l’amour courtois oppose une fidélité indépendante du m
100 et le consacre dans leur cœur, pour l’exalter à l’ infini dans l’instant de l’obstacle absolu, qui est la mort. Tristan aime se
101 ue les amants veulent prolonger et renouveler à l’ infini . D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du cheva
55 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
102 veut embrasser que le Tout. C’est le dépassement infini , l’ascension de l’homme vers son dieu. Et ce mouvement est sans retou
103 qui n’admet point cette impensable confusion de l’ infini et du fini, mais surtout pour l’esprit religieux naturel. Toutes les
104 transformation. Éros cherchait le dépassement à l’ infini . L’amour chrétien est obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’e
105 veau symbole de l’Amour, ce n’est plus la passion infinie de l’âme en quête de lumière, mais c’est le mariage du Christ et de l
106 le dira Kierkegaard « une différence qualitative infinie  ». Donc point de fusion possible, ni d’union substantielle. Mais seul
107 ces » ? Ce doute et cette question renaissent à l’ infini . Est-ce pure coïncidence, si les troubadours comme les cathares glori
108 quins dont les froides aventures s’enchaînent à l’ infini  », nous dit de ces légendes l’un de leurs meilleurs adaptateurs moder
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
109 voises colportées et reprises, avec des variantes infinies , par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comiqu
110 es de la vie sexuelle, la vision d’une jouissance infinie , tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substi
111 t nocturne, l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manque ce que l’on pourrait appeler, symétriquement,
112 re, tandis que dans un être unique et possédé à l’ infini se concentre le monde entier. Tristan n’a plus besoin du monde — parc
113 amour qui repousse tout objet pour s’élancer à l’ infini . C’est, dit-il, « le désir de quelque chose d’entièrement inconnu, qu
114 réelle que l’autre, qu’il voulait détruire ! À l’ infini , jusqu’à la consomption de toute vie et de tout esprit. Voilà ce que
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
115 « créatures » — alors que le seul but de l’amour infini ne peut être que le divin : Dieu, notre idée de Dieu, ou le Moi déifi
116 du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’ infini , c’est l’éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse
117  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’ infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de prendre co
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
118 promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie m
119 e plus qu’elle est salutaire. Cela se discute à l’ infini … Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se régleront su
120 voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini , devra marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait p
121 urgeois. Et pourtant « il a tout renoncé dans une infinie résignation, et s’il a tout ressaisi par la suite, c’est en vertu de
122 ire de la foi). Il fait sans cesse le saut dans l’ infini , mais avec une telle correction et une telle certitude qu’il retombe
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
123 mbolique, simple et frappante, résumant un nombre infini de situations plus ou moins analogues. Le mythe permet de saisir d’un
124 ’annulation. À ces abus, générateurs de querelles infinies et de guerres, l’amour courtois oppose une fidélité indépendante du m
125 et le consacre dans leur cœur, pour l’exalter à l’ infini dans l’instant de l’obstacle absolu, qui est la mort. Tristan aime se
126 ue les amants veulent prolonger et renouveler à l’ infini . D’où les périls nouveaux qu’ils vont défier. Mais la valeur du cheva
60 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
127 veut embrasser que le Tout. C’est le dépassement infini , l’ascension de l’homme vers son dieu. Et ce mouvement est sans retou
128 qui n’admet point cette impensable confusion de l’ infini et du fini, mais surtout pour l’esprit religieux naturel. Toutes les
129 transformation. Éros cherchait le dépassement à l’ infini . L’amour chrétien est obéissance dans le présent. Car aimer Dieu, c’e
130 uveau symbole de l’Amour ce n’est plus la passion infinie de l’âme en quête de lumière, mais c’est le mariage du Christ et de l
131 le dira Kierkegaard « une différence qualitative infinie  ». Donc point de fusion possible, ni d’union substantielle. Mais seul
132 ces » ? Ce doute et cette question renaissent à l’ infini . Est-ce pure coïncidence, si les troubadours comme les cathares glori
133 quins dont les froides aventures s’enchaînent à l’ infini  », nous dit de ces légendes l’un de leurs meilleurs adaptateurs moder
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
134 voises colportées et reprises, avec des variantes infinies , par toute l’Europe médiévale. Les fabliaux annoncent le roman comiqu
135 es de la vie sexuelle, la vision d’une jouissance infinie , tout cela ne fait que donner satisfaction au besoin humain de substi
136 t nocturne, l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manque ce que l’on pourrait appeler, symétriquement,
137 re, tandis que dans un être unique et possédé à l’ infini se concentre le monde entier. Tristan n’a plus besoin du monde — parc
138 amour qui repousse tout objet pour s’élancer à l’ infini . C’est, dit-il, « le désir de quelque chose d’entièrement inconnu, qu
139 réelle que l’autre, qu’il voulait détruire ! À l’ infini , jusqu’à la consomption de toute vie et de tout esprit. Voilà ce que
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
140 « créatures » — alors que le seul But de l’amour infini ne peut être que le divin : Dieu, notre idée de Dieu, ou le Moi déifi
141 du désir charnel ; mais tandis que pour Tristan l’ infini , c’est l’éternité sans retour où s’évanouit la conscience douloureuse
142  ; et rien ne le flatte davantage que le mirage d’ infini dépassement entretenu par le souvenir du mythe. Essayer de prendre co
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
143 promesse éternellement trahie : eritis sicut dei. Infinie naïveté du moraliste qui prétendait détourner l’homme de cette voie m
144 e plus qu’elle est salutaire. Cela se discute à l’ infini . Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se régleront su
145 voici : cet homme mort au monde, tué par l’amour infini , devra marcher maintenant et vivre dans le monde comme s’il n’avait p
146 urgeois. Et pourtant « il a tout renoncé dans une infinie résignation, et s’il a tout ressaisi par la suite, c’est en vertu de
147 ire de la foi). Il fait sans cesse le saut dans l’ infini , mais avec une telle correction et une telle certitude qu’il retombe
64 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
148 veau et la main. Les résultats de ce divorce sont infinis . Mais le plus décisif, sans doute, est celui-ci : la culture apparaît
65 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
149 idienne, celle qui se manifeste dans la diversité infinie des manières de penser et de vivre, nos libertés politiques ne pourro
66 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
150 désordonnées, de phrases entendues au passage, d’ infinis croisements d’existences étrangères. Paris propose une liberté et un
67 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
151 passer du zéro de l’homme devant Dieu à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoi
152 t la valeur varie si curieusement entre zéro et l’ infini , et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être int
68 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
153 veau et la main. Les résultats de ce divorce sont infinis . Mais le plus décisif, sans doute, est celui-ci : la culture apparaît
69 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
154 idienne, celle qui se manifeste dans la diversité infinie des manières de penser et de vivre, nos libertés politiques ne pourro
70 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
155 s simple et des plus quotidiennes : la différence infinie qui existe entre « faire de l’ordre » sur une table de travail et « a
71 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
156 passer du zéro de l’homme devant Dieu à la valeur infinie de la personnalité ? Comment passer de notre théologie à notre histoi
157 t la valeur varie si curieusement entre zéro et l’ infini , et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être int
72 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La route américaine (18 février 1941)
158 s-mêmes comprendront-elles qu’il n’est qu’un seul infini véritable : celui que chacun porte en soi, celui de l’âme inépuisable
73 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
159 nt double, triple, centuple, l’agent multiple à l’ infini . Bornons-nous à ses tours les plus simples, ceux qui prennent à coup
74 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
160 e dans le monde. Tombé de l’éternel, Satan veut l’ infini . Tombé de l’Être, il veut l’Avoir. Mais le problème est insoluble à t
161 e qu’on voit, quitte à se fermer l’invisible et l’ infini du possible divin. Saisissant la proie, l’on perd l’ombre, mais l’omb
75 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
162 outes choses est leur autorité. Il s’autorise à l’ infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et
163 ’alourdisse et s’arrête à l’image créée. Le désir infini de l’âme souffre alors des limitations d’un objet qui résiste et qui
164 Vérone. La contradiction torturante que souffre l’ infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dans
165 ions parfois simultanées de présence et d’absence infinie , créent chez tout être passionné l’illusion d’un transport mystique d
76 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
166 nt double, triple, centuple, l’agent multiple à l’ infini . Bornons-nous à ses tours les plus simples, ceux qui prennent à coup
77 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
167 e dans le monde. Tombé de l’éternel, Satan veut l’ infini . Tombé de l’Être, il veut l’Avoir. Mais le problème est insoluble à t
168 e qu’on voit, quitte à se fermer l’invisible et l’ infini du possible divin. Saisissant la proie, l’on perd l’ombre, mais l’omb
78 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
169 raire la fixation d’une réalité temporelle dans l’ infini ou dans l’inquestionnable : l’idée de succès en soi, de puissance ou
79 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
170 outes choses est leur autorité. Il s’autorise à l’ infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et
171 ’alourdisse et s’arrête à l’image créée. Le désir infini de l’âme souffre alors des limitations d’un objet qui résiste et qui
172 Vérone. La contradiction torturante que souffre l’ infini désir séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dans
173 ions parfois simultanées de présence et d’absence infinie , créent chez tout être passionné l’illusion d’un transport mystique d
80 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
174 nt double, triple, centuple, l’agent multiple à l’ infini . Bornons-nous à ses tours les plus simples, ceux qui prennent à coup
81 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
175 e dans le monde. Tombé de l’éternel, Satan veut l’ infini . Tombé de l’Être, il veut l’Avoir. Mais le problème est insoluble à t
176 e qu’on voit, quitte à se fermer l’invisible et l’ infini du possible divin. Saisissant la proie, l’on perd l’ombre, mais l’omb
82 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
177 raire la fixation d’une réalité temporelle dans l’ infini ou dans l’inquestionnable : l’idée de succès en soi, de puissance ou
83 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
178 outes choses est leur autorité. Il s’autorise à l’ infini dans Sa Création déployée. Il s’y raconte à lui-même sa grandeur « et
179 ’alourdisse et s’arrête à l’image créée. Le désir infini de l’âme souffre alors des limitations d’un objet qui résiste et qui
180 Vérone. La contradiction torturante que souffre l’ infini désir, séduit et arrêté par un être fini, ne peut se résoudre que dan
181 ions parfois simultanées de présence et d’absence infinie , créent chez tout être passionné l’illusion d’un transport mystique d
84 1943, Articles divers (1941-1946). Angérone (mars 1943)
182 noir imaginent. Une étreinte qui s’égalerait à l’ Infini . Se fondre en un seul être, mais que cet être accède ensuite au comme
183 ans le vertige de nous détruire au contact de cet infini , plus puissant que la joie et la douleur. Dans le vertige de revenir
184 ccomplit, c’est le signe physique, originel, de l’ infinie contradiction que nous souffrons. Le désir divinise, l’acte rend à l’
85 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
185 désordonnées, de phrases entendues au passage, d’ infinis croisements d’existences étrangères. Paris propose une liberté et un
86 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
186 le : l’affirmation d’une « différence qualitative infinie entre Dieu et l’homme ». Le sens réel et profond de toute son œuvre r
187 x — Kierkegaard peut enfin parler avec ce sérieux infini dont le seul Nietzsche, dans notre ère, paraît avoir gardé le sens. E
188 s de son âme — Kierkegaard en décrit « le comique infini  ». Il faut risquer cette expression : le rire de la charité. « Le chr
189 rquoi ce rire scandaleux ? Parce que « la crainte infinie d’un seul danger nous rendrait tous les autres inexistants. » Mais ce
190 n tu crois à la seule grâce de Dieu, dans l’abîme infini où tu te vois, — ou bien tu crois aussi à ce sérieux de l’existence s
191 on péché ou de celui des autres ? Comique amer et infini de ce « croyant » qui tremble pour le sort de l’esprit dans le monde,
87 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
192 disait Kierkegaard, « une différence qualitative infinie entre Dieu et l’homme », de telle sorte que nulle communication ne pe
88 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
193 lle, et celle-ci une autre, et ainsi de suite à l’ infini , de sorte que pour finir on est chacun tout seul sur son petit bout d
89 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
194 mes ; c’est limiter et ils aspirent à l’expansion infinie  ; c’est définir par la parole et l’acte, et ils recherchent le silenc
90 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
195 ations kaléidoscopiques. Celles-ci sont en nombre infini , ainsi qu’on en pourra juger par l’examen du tableau suivant. En effe
91 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
196 disent les partis. Ainsi l’on peut « causer » à l’ infini , mais sans trop de chances de se former une opinion plausible ou réal
197 jor et un personnel gigantesques, spécialisés à l’ infini  ; des pages de publicité aussi chères qu’abondantes ; ou un propriéta
92 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Pour la suppression des visas (23 avril 1946)
198 n mesure de les imaginer. Cela se discuterait à l’ infini . Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’essayer le pays
93 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
199 giques, cette intrication sans espoir, ces replis infinis qui défient le calcul. Car une coupe transversale pratiquée dans un n
94 1946, Articles divers (1941-1946). Faut-il rentrer ? (4 mai 1946)
200 n mesure de les imaginer. Cela se discuterait à l’ infini . Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’« essayer » le
95 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
201 iolence sans précédent. À travers les complexités infinies de nos difficultés économiques, sociales, politiques et religieuses,
96 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
202 s-mêmes comprendront-elles qu’il n’est qu’un seul infini véritable : celui que chacun porte en soi, celui de l’âme inépuisable
97 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
203 désordonnées, de phrases entendues au passage, d’ infinis croisements d’existences étrangères. Paris propose une liberté et un
98 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
204 rgement déployé sur de hauts escaliers évoquant l’ infini , dans la nuée des plumages, et l’éclat des costumes, et la joie rayon
99 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
205 été de Buenos Aires. Elles possèdent des domaines infinis , peuplés de bœufs qui nourrissent l’Angleterre, et dont elles vivaien
206 x. Je ne pouvais m’en éloigner. C’est un marécage infini , coupé de rivières et d’îlots, et les oiseaux par milliers s’y rassem
100 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
207 n mesure de les imaginer. Cela se discuterait à l’ infini . Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’essayer le pays