1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
1 i-même appelle « cette vague poésie involontaire, intermittente , un peu émiettée, éventée, que je trouve dans une ancienne réalité re
2 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
2 vec les surnaturelles. Il en ressent une vague et intermittente détresse, — qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurast
3 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
3 ité qui fait nécessairement défaut à la chronique intermittente d’une existence. Malgré les pages plus élaborées que Gide a groupées
4 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
4 ité qui fait nécessairement défaut à la chronique intermittente d’une existence. Malgré les pages plus élaborées que Gide a groupées
5 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
5 , dans la cité, aux proportions d’un chuchotement intermittent  ? L’ignorance réciproque dans laquelle théologiens et écrivains se so
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
6 , dans la cité, aux proportions d’un chuchotement intermittent  ? L’ignorance réciproque dans laquelle théologiens et écrivains se so
7 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Première histoire de fous : l’auto
7 vec les surnaturelles. Il en ressent une vague et intermittente détresse — qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue. Neurasth
8 1980, Articles divers (1978-1981). Actualité de Benjamin Constant (1980)
8 lgique, jusqu’au retour à Paris en avril. Travail intermittent sur des écrits politiques. Mais, à partir de l’été, les femmes domine