1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
1 dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelations possibles. Et puis il y a le jardin des formes littéraires — que ce s
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
2 elle du présent, vidé de toutes les connexions et interrelations nécessaires qui déterminent son existence actuelle. Et c’est pourquoi
3 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
3 dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelations possibles64. b) Les formes, procédés rhétoriques, structures. — Là,
4 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
4 constituées, et que le tissu, le réseau de leurs interrelations devienne si solide, que dans beaucoup de cas, trois régions, mettons
5 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
5 dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelations possibles14. b) Les formes, procédés rhétoriques, structures. — Là,
6 1971, Articles divers (1970-1973). L’héritage culturel de l’Europe (1971)
6 iment elles-mêmes que toutes ensemble, dans leurs interrelations . Aucune ne sera jamais une « culture nationale », ou un microcosme de
7 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. III. L’environnement
7 de l’homme, de la Nature, des villes, et de leurs interrelations équilibrées, excluent absolument le recours automatique à la « souver
8 1980, Articles divers (1978-1981). L’Europe et l’environnement (28 juin 1980)
8 de l’homme, de la nature, des villes, et de leurs interrelations équilibrées, excluent absolument le recours automatique à la « souver