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e de quartiers de villes et de grands ensembles «
invivables
» et coûteux à détruire, construits dans l’anarchie et sur la seule n
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n quelques dizaines d’années, et voici nos villes
invivables
, le bétonnage universel, la nature défigurée, la morale quotidienne d
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n quelques dizaines d’années, et voici nos villes
invivables
, le bétonnage universel, la nature défigurée, la morale quotidienne e
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, populeuses, élevées, gigantesques et finalement
invivables
et non viables : dernier tiers du xxe siècle. La conclusion de l’ave
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t le contraire : un rendement minable, des villes
invivables
, et des embouteillages sans fin. Jean Kräyenbühl : Je pense qu’il fau
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es sont menacées d’extinction. 8. Les mégalopoles
invivables
de 2 à 13 millions d’habitants, livrées à la délinquance produite par
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ignifie que pendant dix ans on vit dans des lieux
invivables
. Je crois à la continuité de la tradition au moins sur deux génératio
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s, — entassements humains qualifiés aujourd’hui d’
invivables
par leurs habitants, d’ingouvernables par leurs magistrats, et dont l
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es sont menacées d’extinction. 6. Les mégalopoles
invivables
de 4 à 13 millions d’habitants, livrées à la délinquance produite par