1
, avec ses personnages un peu conventionnels et l’
invraisemblance
assez piquante de ses péripéties. Quel dommage que l’auteur l’ait alo
2
à. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’
invraisemblance
de petites réformes. Mais j’en ai assez dit pour éviter ce malentendu
3
à. Et c’est ainsi qu’on peut imaginer sans trop d’
invraisemblance
de petites réformes. Mais j’en ai assez dit pour éviter ce malentendu
4
icanes. On serait tenté de soupçonner ici quelque
invraisemblance
psychologique si l’on ne s’apercevait que M. Baring, lui-même, manife
5
ussitôt mise en pratique par le héros, sans nulle
invraisemblance
, il faut que ce héros soit un croyant d’une certaine trempe. Derrière
6
aire cette volonté toute pure, il n’y aura plus d’
invraisemblance
possible : c’est le cas du conte. Entre ces deux extrêmes, il est aut
7
bstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une
invraisemblance
que le désir de romantisme rend insensible. Ainsi, pendant une heure
8
aire cette volonté toute pure, il n’y aura plus d’
invraisemblance
possible : c’est le cas du conte. Entre ces deux extrêmes, il est aut
9
bstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une
invraisemblance
que le désir de romantisme rend insensible. Ainsi, pendant une heure
10
aire cette volonté toute pure, il n’y aura plus d’
invraisemblance
possible : c’est le cas du conte. Entre ces deux extrêmes, il est aut
11
bstacles. On les multiplie donc, sans souci d’une
invraisemblance
que le désir de romantisme rend insensible. Ainsi, pendant une heure