1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 me en qui s’équilibrent déjà l’enthousiasme d’une jeunesse saine et la retenue de l’âge mûr, cette « limitation » que lui ont en
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse . (« Nous sommes une génération de cobayes » remarque Paul Morand.) Il
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 ce dont nous avons vécu jusqu’à tel jour de notre jeunesse , il faudrait pouvoir sauter hors de soi. Seule, une méthode d’observa
4 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
4 » ; nous ne voulons pas être « l’expression de la jeunesse romande ». Nous sommes autre chose. (Belles-Lettres est toujours « au
5 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
5 capable de lui faire pardonner les erreurs de sa jeunesse . Le roi, « un niais en matière religieuse » au dire de sa belle-sœur,
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
6 roitement son rôle d’homme… « Captif de sa propre jeunesse . » C’est ici un autre sujet du roman, qui se mêle étroitement au prem
7 ésirée délivre Jacques d’un passé obsédant, d’une jeunesse trop complaisante à son tourment. ac. « Bernard Barbey : La Maladèr
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
8 lle leur laisse. Montclar est l’auteur de vers de jeunesse auxquels il ne tient guère, et l’on comprend que ce journal bientôt l
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
9 référer à une certitude trop vite atteinte, où sa jeunesse ne verrait qu’une abdication. Il décrit la « génération nouvelle » av
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
10 s qui ont mal tourné, on pensait bien, ah ! cette jeunesse , mais voyons des affaires plus sérieuses. Et tout est dit. Ah ! c’est
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
11 i-ci prit la parole sans plus de cérémonie : « La jeunesse , Monsieur…, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la vie. On s’y main
12 plus de cérémonie : « La jeunesse, Monsieur…, la jeunesse est l’âge où l’on atteint la vie. On s’y maintient cinq ans, dix ans
13 victime, ce vol de quelques joies parfaites de ma jeunesse … Mais il est trop tard, Monsieur, pour critiquer les modalités de ma
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
14 Conseils à la jeunesse (mai 1927)n « On a reproché bien des choses aux romantiques : le g
15 on, le satisfait artificiel. n. « Conseils à la jeunesse  », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 6,
12 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
16 homme moins grave et qui manifeste franchement sa jeunesse . (« Vous vous souciez vraiment trop peu des conséquences de ce que vo
17 s. Il y a des gens qui n’ont pas encore admis que jeunesse = révolution Tous les malentendus viennent de là. Nous sommes assez s
13 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
18 ‑il. Le plus mémorable événement de ces années de jeunesse , son « chemin de Damas » (comme il dit sans qu’on sache au juste quel
19 re une bonne machine routière. » Les étapes de sa jeunesse sont : la construction d’un moteur à vapeur, puis d’un moteur à explo
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
20 , où il décrit des scènes de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’art d’Anderson est étonnant d’apparente simplicité.
15 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
21 Souvenirs d’enfance et de jeunesse , par Philippe Godet (avril 1929)t Quand avec un air fin mais un to
22 et cornichons ? t. « Souvenirs d’enfance et de jeunesse , par Philippe Godet », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Ge
16 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
23 ment de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse , voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai
24 donne une petite fièvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux…
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
25 atique. Là-dessus, ces messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. Mais il y a les jérémiades et il y a
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
26 atique. Là-dessus, ces messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. Mais il y a les jérémiades et il y a
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
27 de non moindre valeur tragique : le conflit de la jeunesse d’après-guerre et des parents. Encore un sujet qui attend son maître.
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
28 ure de demain ». Concession un peu hâtive à une «  jeunesse  » déjà démodée… Je crois que la jeunesse d’aujourd’hui s’éloigne plut
29 à une « jeunesse » déjà démodée… Je crois que la jeunesse d’aujourd’hui s’éloigne plutôt de la grandiloquence « antilittéraire 
21 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
30 tous les possibles, qu’on appelle, je crois bien, jeunesse … Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres,
31 ine jalouse que l’on réserve aux égarements d’une jeunesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs. — Vous êtes, m
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
32 spiritualité un peu grave, on touchait avec notre jeunesse le tragique ou le merveilleux, on mettait notre volonté aimante, entr
33 ts, il s’agit de manifester les préférences d’une jeunesse . À cet égard particulièrement, ce salon fut une réussite. La curiosit
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
34 sé le romantisme. Ou plutôt, le romantisme fut la jeunesse , le passé de « l’Isolé ». Et l’expression la plus caractéristique de
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
35 teur lui-même, le récit de l’adolescence et de la jeunesse de notre héros ; mais ce récit prend fin au moment où Kagawa débouche
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
36 tion. Gide saura-t-il rester un maître pour cette jeunesse qui aimait sa ferveur, mais que le monde de demain va contraindre, co
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
37 ne espèce de somme romanesque des errements de la jeunesse d’après-guerre. La Claire de M. Chardonne a rallié tous les suffrages
27 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
38 ut être reprise sans trop de mauvais goût par une jeunesse qu’on dit outrecuidante, — qui surtout n’a pas envie de se faire assa
39 l’État souverain, par exemple. Elles préparent la jeunesse au communisme, en généralisant le principe de l’action collective. 4
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
40 ce à la magie, et se tait. Goethe, initié dans sa jeunesse , commence d’écrire vers ce temps, mais, la fièvre tombée, poursuivra
41 t-il provoquée chez Goethe ? Il est un fait de sa jeunesse dont on ne saurait exagérer l’importance à la fois historique et symb
29 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
42 s définissent suffisamment la cause commune de la jeunesse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le péril q
30 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
43 tit purisme est un danger permanent au sein de la jeunesse intellectuelle bourgeoise théoriquement acquise à la Révolution. On r
31 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
44 le ses origines politiques, et peut-être aussi sa jeunesse . Il critique des erreurs au nom d’une vérité toute statique, au nom d
32 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
45 hie. Il faut tout de même que nos camarades de la jeunesse allemande, qui s’en inquiètent à juste titre, sachent ce que nous pen
33 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
46 grandeur, et comblée de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « exis
47 a menace et contre-attaquent. Et alors, toute une jeunesse va se dresser ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut
34 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
48 st-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il semble que la s
35 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
49 tous les possibles, qu’on appelle, je crois bien, jeunesse … Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres,
50 ine jalouse que l’on réserve aux égarements d’une jeunesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs. — Vous êtes, m
36 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
51 rément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse , voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et j
52 donne une petite fièvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux…
37 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
53 servi au seul climat de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte ainsi tour à tour. Entre l’âge de mes h
54 té de mon regard avec les choses que je mesure ma jeunesse  : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’apr
55 qu’il les prisait fort, ainsi que Boehme, dans sa jeunesse . Il m’y ramène par un tour moins imprudent de la réflexion, avec ce m
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
56 tous les possibles, qu’on appelle, je crois bien, jeunesse … Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres,
57 ine jalouse que l’on réserve aux égarements d’une jeunesse démodée se peignirent sur les traits de mes auditeurs. — Vous êtes, m
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
58 rément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse , voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et j
59 donne une petite fièvre, — cette semaine de leur jeunesse où ils ont cru pressentir de grandes choses généreuses autour d’eux…
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
60 servi au seul climat de l’âme. Pour moi, c’est ma jeunesse et ma vieillesse que je porte ainsi tour à tour. Entre l’âge de mes h
61 té de mon regard avec les choses que je mesure ma jeunesse  : dans ces campagnes solitaires, je promène un adolescent. Tout l’apr
62 qu’il les prisait fort, ainsi que Boehme, dans sa jeunesse . Il m’y ramène par un tour moins imprudent de la réflexion, avec ce m
41 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
63 l’Église, le désordre se trouve « établi ». Notre jeunesse s’éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux
42 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
64 « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)e
65 ommes de 40 ans, c’est-à-dire par les chefs de la jeunesse révolutionnaire, en face d’une Russie dont le dynamisme juvénile est
66 désuet : droite-gauche, gauche-droite… En face de jeunesses bottées, nu-tête, chemise ouverte, dont notre presse aime à railler l
67 t le fait. Elle souffre d’une carence aiguë de la jeunesse . C’est pourquoi le problème de son destin se confond avec le problème
68 la puissance révolutionnaire, c’est-à-dire sur la jeunesse de la nation. Mais la jeunesse française existe-t-elle ? On put le cr
69 ’est-à-dire sur la jeunesse de la nation. Mais la jeunesse française existe-t-elle ? On put le croire vers 1925. C’était, l’on s
70 ittéraires et de coups de pied au derrière. Cette jeunesse a terriblement vieilli : elle est déjà jeune-radicale. On dit aussi,
71 décomposition spirituelle. Non, le problème de la jeunesse française, le problème de notre révolution est ailleurs. Il est préci
72 is s’adresseront ceux qui veulent s’adresser à la jeunesse d’un pays. Ils trouveront enfin à qui parler. Le problème de notre at
73 its nécessaires. e. « [Réponse à l’enquête « La jeunesse française devant l’Allemagne »] », La Revue du siècle, n° 2, mai 1933
43 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
74 après les fiches, le patriotisme maintenu dans la jeunesse par des congrégations interdites, ou les lois sociales les plus honor
44 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
75 donne, aux trois régimes, la prépondérance de la jeunesse , dans leurs cadres directeurs aussi bien que dans leur allure général
76 très significative du nouvel état d’esprit de la jeunesse française. En effet, tandis qu’il nous venait d’Allemagne et de Russi
77 rés que comme des moyens ». Et c’est ainsi que la jeunesse s’est trouvée embrigadée, avec tout son élan, avec toute sa passion r
78 an quinquennal par exemple, l’ardeur qui anime la jeunesse russe malgré les sacrifices qu’on lui demande — ou à cause d’eux — ne
79 ne des observations capitales de nos auteurs, les jeunesses soviétique et fasciste sont bien moins révolutionnaires, dans le sens
80 més essaient, par ailleurs, de le réveiller. À la jeunesse française, à la jeunesse anglaise aussi, d’édifier maintenant, dans l
81 s, de le réveiller. À la jeunesse française, à la jeunesse anglaise aussi, d’édifier maintenant, dans le calme et l’audace spiri
45 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
82 ce et le charme de ce roman sont ceux mêmes d’une jeunesse fruste, innocente jusque dans ses cruautés ; tout jugement serait ici
83 e plus qu’ils ne devraient. Ils nous montrent une jeunesse russe assez peu marxiste, mais encore moins révolutionnaire. Saine, o
46 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
84 oût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, cependant, les politiciens de tous
85 uerre, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à serv
47 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
86 t paru dans une espèce de silence. Il a vu qu’une jeunesse avait compris, venait à lui comme il savait qu’elle y viendrait. Quel
48 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
87 ives, qui se soient manifestées jusqu’ici dans la jeunesse protestante. À droite, je distingue deux tendances : celle de l’Assoc
88 ec les principes directeurs de deux mouvements de jeunesse  : Esprit et l’Ordre nouveau. L’originalité de ces deux équipes tient
89 r les littérateurs. Rien non plus pour flatter la jeunesse , mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait êtr
90 . Rien non plus pour flatter la jeunesse, mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait être flattée. Et ce n
91 e politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fait siens depuis un an ont été lancés par l’ON qui a eu l’
92 vaillons avec ceux que nous pouvons aider. 15. Jeunesses ouvrières catholiques (JOC) ; Démocrates populaires ; Équipes sociale
93 l’ON. Sur la position du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plo
49 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
94 emple. Un récit autobiographique et romancé de sa jeunesse a paru en français, il y a deux ansf. Aujourd’hui, l’un de ses collab
50 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
95 t moins à lui-même qu’à nos ombres, et moins à sa jeunesse incomparable qu’au souvenir récent de nos décrépitudes. Si la préface
96 e. Le voilà justifié dans sa mauvaise conscience. Jeunesse se passe, anarchie se passe, rougeole se passe, — mais rien de grave
51 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
97 s en Allemagne » et ailleurs ; échec auprès de la jeunesse « parce que nous n’avons pas dans notre action ce dynamisme qui pourr
98 olutions des « néos ». S’ils veulent entraîner la jeunesse , qu’ils se disent bien que la condition nécessaire, c’est d’abord d’o
52 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
99 Jeunesse déracinée (novembre 1934)m On s’étonne de la facilité avec laquell
100 mène citadin et l’expression incompressible d’une jeunesse déracinée… La crise précipite sous nos yeux un processus depuis, long
101 e moins théorique. Essayons d’en indiquer une. La jeunesse déracinée cherche une nouvelle communauté. Or, on s’unit toujours pou
102 qu’à ce prix. C’est là son vrai problème. m. «  Jeunesse déracinée », La Revue du xxe siècle, Paris, n° 1, novembre 1934, p. 
53 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
103 êts de quelques milliers d’arrivés. Déjà certaine jeunesse française cesse de confondre réalisme et combine ; cesse de croire pa
104 découvrir dans les couloirs de la Chambre. Cette jeunesse ne veut pas de ce genre d’action là. Elle n’a plus le moindre respect
54 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
105 oût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, cependant, les politiciens de tous
106 uerre, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à serv
55 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
107 l’Église, le désordre se trouve « établi ». Notre jeunesse s’éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux
56 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
108 tasier devant « le magnifique élan qui soulève la jeunesse russe et la porte au-delà d’elle-même », comme si cet élan manifestai
57 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
109 e le prouve l’exemple italien. La dictature de la jeunesse n’est pas non plus le fait du seul fascisme : l’URSS et les USA sont
58 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
110 st-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il semble que la s
111 grandeur, et comblée de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « exis
112 a menace et contre-attaquent. Et alors, toute une jeunesse va se dresser ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut
59 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
113 de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas attendu pour vivre la permission du marxisme ort
114 ère vision d’un style de vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a
115 a plus de dureté et plus de chaleur d’âme que la jeunesse bourgeoise d’après-guerre. Elle ne va plus à la recherche du bonheur,
116 Un trait peut-être résume tous les autres : cette jeunesse reste sobre devant la mort, à la mesure de sa violence devant la vie.
60 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
117 ateurs. Devant cette impuissance, que va faire la jeunesse  ? Elle voit bien qu’il faudrait agir. Elle voit aussi qu’il faut d’ab
118 nette, particulièrement propre à leur rallier une jeunesse en révolte contre la bourgeoisie, mais dégoûtée par avance du marxism
119 r les littérateurs. Rien non plus pour flatter la jeunesse , mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait êtr
120 . Rien non plus pour flatter la jeunesse, mais la jeunesse qu’ils ont atteinte n’est pas celle qui voulait être flattée. Et ce n
121 e politicienne. Plusieurs des mots d’ordre que la jeunesse française fait siens depuis un an ont été lancés par l’ON qui a eu l’
122 . 76. Sur la position du groupe relativement aux jeunesses russes et fascistes, voir R. Dupuis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plo
61 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
123 êts de quelques milliers d’arrivés. Déjà certaine jeunesse française cesse de confondre réalisme et combine ; cesse de croire, p
124 découvrir dans les couloirs de la Chambre. Cette jeunesse ne veut pas de ce genre d’action là. Elle n’a plus le moindre respect
62 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
125 oût à y vivre. Les villes se congestionnent et la jeunesse y traîne une misère fiévreuse. Et, cependant, les politiciens de tous
126 uerre, reparaître le fameux « mal du siècle ». La jeunesse découvrait avec angoisse qu’elle n’avait plus rien ni personne à serv
63 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
127 l’Église, le désordre se trouve « établi ». Notre jeunesse s’éveille au milieu des statuts de cette confusion. C’est contre eux
64 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
128 tasier devant « le magnifique élan qui soulève la jeunesse russe et la porte au-delà d’elle-même », comme si cet élan manifestai
65 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
129 e le prouve l’exemple italien. La dictature de la jeunesse n’est non plus le fait du seul fascisme : l’URSS et les USA sont auss
66 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
130 st-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il semble que la s
131 grandeur, et comblée de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « exis
132 a menace et contre-attaquent. Et alors, toute une jeunesse va se dresser ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut
67 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
133 de sacrifices et de police. Nous connaissons une jeunesse d’Europe qui n’a pas attendu pour vivre la permission du marxisme ort
134 ère vision d’un style de vie personnaliste. Cette jeunesse est pauvre par goût de la force et du risque. Elle rit bien. Elle n’a
135 a plus de dureté et plus de chaleur d’âme que la jeunesse bourgeoise d’après-guerre. Elle ne va plus à la recherche du bonheur,
136 Un trait peut-être résume tous les autres : cette jeunesse reste sobre devant la mort, à la mesure de sa violence devant la vie.
68 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
137 ateurs. Devant cette impuissance, que va faire la jeunesse  ? Elle voit bien qu’il faudrait agir. Elle voit aussi qu’il faut d’ab
138 nette, particulièrement propre à leur rallier une jeunesse en révolte contre la bourgeoisie, mais dégoûtée par avance du marxism
69 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
139 trop belle, nous la réserverons pour une nouvelle jeunesse . Mais si vous n’aimez pas ça, si vous voulez en sortir, réfléchissez,
70 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
140 le secret de l’espérance insensée qui possède la jeunesse hitlérienne. Leurs épreuves ne seraient-elles pas comme le signe de l
71 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
141 n âge, j’en ai même le devoir, vis-à-vis de cette jeunesse  ! J’étais un homme religieux, et c’est cela que je suis resté. Je l’a
72 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
142 — furent traduits par lui-même du latin. D’où la jeunesse de cette langue et sa sobriété monumentale. Là encore, la leçon de Ca
73 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
143 rice et régulatrice ; vu les revendications de la jeunesse qui repousse à l’unanimité un spiritualisme complice d’intérêts deven
144 a, est-ce bien le même homme qui écrivait dans sa jeunesse  : « La science maîtresse, le souverain… ce sera la philosophie, c’est
74 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
145 ue. Le fascisme, en effet, est une mystique de la jeunesse  ; Service public nous propose, au contraire, une mystique d’anciens c
146 faits l’appel à la doctrine personnaliste que la jeunesse française se doit de donner en exemple à l’Europe. 27. Et aussi su
75 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
147 eunes Russes communistes. Je voudrais bien que la jeunesse française se montre un peu plus héroïque, moins exclusivement passion
76 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
148 é. » On ignore trop ces choses. Surtout dans la «  jeunesse  » qui perd son temps à chômer alors qu’il y avait tant à faire dans l
77 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
149 que la mode n’est pas à l’autorité ? Notre belle jeunesse réclame l’autorité dans tous les domaines. M. Tardieu lui-même… » Jus
78 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
150 trop belle, nous la réserverons pour une nouvelle jeunesse . — Mais si vous n’aimez pas ça, si vous voulez en sortir, réfléchisse
151 n Europe ; il y a l’Allemagne qui dresse toute sa jeunesse au service de l’État le mieux « entraîné » qu’on ait vu dans l’histoi
79 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
152 oliloques dans la nuit, fragments d’un journal de jeunesse qui remplissent 200 pages du premier tome, témoignent d’une véritable
153 intérieure et abstraite, où je crains bien que la jeunesse d’aujourd’hui ne voie plus qu’une fièvre morbide. Mais la forme exces
80 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
154 se garder d’une certaine facilité sénile, dont la jeunesse française n’est pas toujours indemne, facilité qui consiste à assimil
155 ni vieillards cramponnés aux commandes, mais une jeunesse disciplinée, fanatisée, toute puissante et toute dévouée aux seuls in
156 st cette angoisse encore qui explique pourquoi la jeunesse bourgeoise hésite à s’engager dans une révolution spirituelle dont el
81 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
157 .) Trois thèmes : la biographie (milieu, enfance, jeunesse , professions exercées de journaliste ou de fonctionnaire) ; une longu
82 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
158 sous Robespierre ; fête des Moissons, fête de la jeunesse ou du Solstice d’été, culte des morts de la Révolution, sous Hitler.
83 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
159 r… tout cela compose une description exacte de la jeunesse de Kafka. Quelques faits et deux ou trois dates suffiront désormais à
84 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
160 tature, sa production industrielle, son armée, sa jeunesse , ses métros, et ses diverses « réalisations ». Mais que sait-on de l’
161 militude d’ignorance. La France, j’allais dire la jeunesse de la France, aurait pourtant tout intérêt à suivre d’aussi près qu’i
162 ple, je suis à la fois le porteur des idées de la jeunesse et de celles des anciens combattants, je suis enfin l’annonciateur de
163 présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse , qui assure le futur automatisme du régime. « Nos expériences actuell
85 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
164 se garder d’une certaine facilité sénile, dont la jeunesse française n’est pas toujours indemne, facilité qui consiste à assimil
86 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
165 ni vieillards cramponnés aux commandes ; mais une jeunesse disciplinée, fanatisée, toute-puissante et toute dévouée aux seuls in
166 st cette angoisse encore qui explique pourquoi la jeunesse bourgeoise hésite à s’engager dans une révolution spirituelle dont el
87 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
167 ec une précision que la publication des écrits de jeunesse du prophète vient de confirmer. Que l’esprit pur, chez les marxistes,
88 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
168 Quand un homme se dressait dans l’exigence de la jeunesse injuste et franche, ils n’avaient rien à lui donner que ces systèmes
89 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
169 tature, sa production industrielle, son armée, sa jeunesse , ses métros, et ses diverses « réalisations ». Mais que sait-on de l’
170 ilitude d’ignorance. La France, j’allais dire la jeunesse de la France, aurait pourtant tout intérêt à suivre d’aussi près qu’i
171 ple, je suis à la fois le porteur des idées de la jeunesse et de celles des anciens combattants, je suis enfin l’annonciateur de
172 présents deviennent légers ; c) l’éducation de la jeunesse , qui assure le futur automatisme du régime. « Nos expériences actuell
90 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
173 se garder d’une certaine facilité sénile, dont la jeunesse française n’est pas toujours indemne, facilité qui consiste à assimil
91 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
174 ni vieillards cramponnés aux commandes ; mais une jeunesse disciplinée, fanatisée, toute-puissante et toute dévouée aux seuls in
175 st cette angoisse encore qui explique pourquoi la jeunesse bourgeoise hésite à s’engager dans une révolution spirituelle dont el
92 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
176 ec une précision que la publication des écrits de jeunesse du prophète vient de confirmer. Que l’esprit pur, chez les marxistes,
93 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
177 Quand un homme se dressait dans l’exigence de la jeunesse injuste et franche, ils n’avaient rien à lui donner que ces systèmes
94 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
178 t la culture qu’il représente, on comprend que la jeunesse actuelle ne marche plus pour les défendre. La crise du livre, dont to
95 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
179 aux générations d’avant-guerre : le temps de leur jeunesse , remarque Thibaudet. Et il attribue ce phénomène de « refoulement de
96 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
180 ’avaient appris que cette ville, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des
181 une Europe que l’on croyait en proie aux brutales jeunesses bottées ? » 25 avril 1935 Communisme. — Dans la petite librairie gra
182 sir. On n’est plus fier d’en être, on approuve la jeunesse qui délaisse la terre pour la ville. (« C’est mort, ici ! » — phrase
97 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
183 donne-t-elle pour première tâche de tuer dans la jeunesse toute velléité de violence spirituelle. L’éducation fasciste ou stali
98 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
184 réunis, leur façon d’être ensemble, et surtout la jeunesse , d’ordinaire invisible, au point que je doutais même qu’elle existât.
99 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
185 ’avaient appris que cette ville, au moins pour la jeunesse sans argent, est la ville des gérants ignobles et des concierges, des
186 le et de ces vies ?   3 avril La solitude est une jeunesse . Elle nous apprend cette chose nouvelle que nous savions déjà, c’est
187 et l’imagine nécessairement sur fond de mort. (La jeunesse qui est l’âge de l’attente la plus ardente de la vie est aussi l’âge
100 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
188 défendu les thèses que M. Benda attribue à notre jeunesse « malheureuse », — M. Benda refusa de répondre. La génération des anc
189 ction, carence ou simonie, M. Benda ou Barrès. La jeunesse personnaliste, déclara notre ami, repousse l’une et l’autre de ces tr
190 la majorité des traits que M. Benda attribue à la jeunesse , convient en fait à la génération des « anciens ». À cette erreur tot
191 attache ces divers traits au « malheur » de notre jeunesse , lequel ne saurait, en bonne logique, expliquer les doctrines d’un Ba