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icienne, le sourire en coin des intellectuels, la
jobardise
de la grande presse, la solennelle et tatillonne stupidité des « réso
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tandis que Spaak serait resté « superficiel ». La
jobardise
est-elle seulement le fait des jeunes ou du public bourgeois en génér
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ns-nous. J’appelle ainsi le complexe formé par la
jobardise
des foules, leur intoxication par le sensationnel, et les fausses déd
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imulé de le rouler, traduit toujours une certaine
jobardise
comme l’a très bien marqué Georges Bataille dans son livre sur Gilles