1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 ’il eût été loisible d’attribuer comme objet à ma jubilation , non pas ce but peut-être dérisoire vers quoi je me portais, mais bie
2 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
2 s rapides de l’Europe centrale ; non pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une fièvre brève qui révélait la trouble densité
3 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 se insensiblement, c’est plutôt qu’une fièvre une jubilation bonhomique qui commence par le cœur et se contente de ralentir doucem
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
4 s rapides de l’Europe centrale ; non pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une fièvre brève qui révélait la trouble densité
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 se insensiblement, c’est plutôt qu’une fièvre une jubilation bonhomme qui commence par le cœur et se contente de ralentir doucemen
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — I. Le sentiment de l’Europe centrale
6 s rapides de l’Europe centrale ; non pas de cette jubilation nostalgique, mais d’une fièvre brève qui révélait la trouble densité
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
7 se insensiblement, c’est plutôt qu’une fièvre une jubilation bonhomique qui commence par le cœur et se contente de ralentir doucem