1
Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10
juillet
1926)g Je ferme les Bestiaires, et me tirant hors de ce « long son
3
Le Dépaysement oriental (16
juillet
1926)a Il y a dans le monde intellectuel une « Question d’Orient »
5
Ramon Fernandez, Messages (
juillet
1926)w Je ne crois pas exagéré de dire qu’en publiant ce recueil d
7
erre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (
juillet
1927)am Quand vous avez fermé ce petit livre, vous partez en chant
9
du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (
juillet
1927)o I Parler littérature Si je prononce le nom de tel de v
15
La tour de Hölderlin (15
juillet
1929)n « Je lui ai raconté qu’il habite une chaumière au bord d’un
17
… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (
juillet
1930)q I Vos fantômes ne sont pas les miens, et qui saura jamais s
18
es vrais fantômes »], Raison d’être, Paris, n° 7,
juillet
1930, p. 7-8. Les réponses à cette enquête, par Raoul Benveniste, Car
19
Littérature alpestre (
juillet
1931)i Mlle Claire-Éliane Engel, qui a conquis maint sommet du mas
21
Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (
juillet
1932)f Traduit du chien par Kipling, et adapté, voire recréé par J
23
les pas de la servante au corridor.) Début de
juillet
1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gé
24
rois bien que je sens la vie tout le temps… 15
juillet
1929 Le père Reinecke me félicite de ma bonne mine, résultat selon
25
sont pauvres de n’avoir que ce qu’ils ont. 19
juillet
1929 Ces mois de Souabe m’apparaissent de plus en plus comme une r
26
ente redevient une conquête de la sagesse. Fin
juillet
1929 Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit patie
27
notre âme et la retiennent, la captivent. Fin
juillet
1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esprit inca
28
s, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et
juillet
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus vivre. Il y ava
29
qui se laissera peut-être approcher. Début de
juillet
1929 « Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de
30
rois bien que je sens la vie tout le temps… 15
juillet
1929 Le père Reinecke me félicite sur ma bonne mine, résultat selo
31
sont pauvres de n’avoir que ce qu’ils ont. 19
juillet
1929 Ces mois de Souabe m’apparaissent de plus en plus comme une r
32
ciente redevient une conquête de la sagesse. Fin
juillet
. Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit patient et f
33
notre âme et la retiennent, la captivent. Fin
juillet
1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esprit inca
38
Dialectique des fins dernières (
juillet
1933)d L’honnêteté la plus élémentaire oblige à reconnaître que no
41
pirituel d’abord », L’Ordre nouveau, Paris, n° 3,
juillet
1933, p. 13-17. Texte rédigé avec Daniel-Rops.
42
Pourquoi ils sont socialistes (
juillet
1933)c « Toujours à gauche, mais pas plus loin ! » Il y a des ge
46
s nous rejoindront… peut-être. 2. Le Plan du 9
Juillet
Changeons-nous ici d’atmosphère ? On peut le croire, lorsqu’on lit
47
ent révolutionnaire, qui fait défaut au Plan du 9
juillet
et le condamne à n’aboutir, pratiquement, et si justes que soient les
48
urs du président sont tirés en effet du Plan du 9
juillet
. Emprunts timides à un plan trop prudent pour être honnête. Emplâtres
49
us ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14
juillet
(15 juillet 1935)q Certains voudraient nous voir prendre position
50
ns pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15
juillet
1935)q Certains voudraient nous voir prendre position dans la lutt
51
ous ne mangeons pas de ce pain-là (à propos du 14
juillet
) », Bulletin de liaison des groupes Ordre nouveau, Paris, n° 4, 15 ju
53
Trois traités de Jean Calvin (20
juillet
1935)j On nous montre un Calvin maigre et sec, et l’on conclut inc
56
l’heure de L’Ordre nouveau. n. « À propos du 14
juillet
», L’Ordre nouveau, Paris, n° 22-23, juillet-août 1935, p. ii. Le tex
57
hambre des communes. (Gazette de Francfort, du 31
juillet
). On dirait une « histoire idiote ». Tout y est faux. C’est incroyabl
58
que nous avons tirée des confuses excitations de
juillet
, c’est qu’en dépit de la carence et des pataquès doctrinaux qui carac
59
anger de confondre la bonne foi et le stalinisme (
juillet
1936)v À propos de la Crise du Progrès, de M. Georges Friedmann (G
61
la Chanson de Béranger : « Elle est la colonne de
Juillet
de la poésie française : une suite de tableautins sentimentaux, liber
62
e tout un quartier d’histoire populaire, celui de
Juillet
1789 et de Juillet 1830. » De tels passages — et ils foisonnent — don
63
d’histoire populaire, celui de Juillet 1789 et de
Juillet
1830. » De tels passages — et ils foisonnent — donnent la mesure de l
64
ieux, hommes et femmes, âgés de 60 ans au mois de
juillet
1930 29 . Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances s
65
tervention (avril 1937)ab Première figure. —
Juillet
. La rébellion militaire éclate en Espagne. Victorieuse au Maroc, elle
66
N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (
juillet
1937)ae Je revois, je revis si bien la traversée, cette étrange co
67
maine, elle ne pose plus de questions utiles. 2
juillet
La sécheresse a été la plus forte : malgré nos arrosages, les salades
68
ites choses pour la première fois mesquines… 10
juillet
Tout est bouclé, ficelé, cloué. Il me reste à peu près deux heures, a
69
l) », La Nouvelle Revue française, Paris, n° 286,
juillet
1937, p. 63-87. af. Il s’agit de Penser avec les mains .
70
Selma Lagerlöf, conteur de légende (3
juillet
1937)o L’art de conter pour le plaisir se perd. Et peut-être, avec
71
de », Les Nouvelles littéraires, Paris, n° 768, 3
juillet
1937, p. 8. p. Rougemont en fait la recension dans la NRF de novemb
72
Journal d’un intellectuel en chômage (25
juillet
1937)o Début de novembre 1933 Mon domaine, c’est ce que j’ai sous
73
ire de la Revue de Lausanne, Lausanne, n° 202, 25
juillet
1937, p. 1. Précédé de la note suivante : « Par les soins de la Guild
74
Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (
juillet
1937)aj M. Benda décrivait l’autre jour à l’Union pour la vérité,
75
mais ne nous trouve pas », Esprit, Paris, n° 58,
juillet
1937, p. 616-618. Signé : « L’auditeur de service ».
76
ci le récit, noté sur l’heure : C’était le 26 de
juillet
, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin je me dis : qu’est-ce qu
77
oix posée, monotone et basse : — C’était le 26 de
juillet
, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : qu’est-ce q
78
passer quinze jours dans un camp avec des amis en
juillet
. Tout cela probablement parce que j’étais à bout de ressources, ne bo
79
aine, elle ne pose plus de questions utiles. 2
juillet
1934 La sécheresse a été la plus forte : malgré nos arrosages, les
80
tes choses pour la première fois mesquines… 10
juillet
1934 Tout est bouclé, ficelé, cloué, transporté en brouette à la s
81
hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois de
juillet
193017. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances soc
82
Troisième partieL’été parisien 2
juillet
1935 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil, pendant
83
çant je ne sais quelle émeute : voilà ce Paris de
juillet
que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Oc
84
un taxi, nous filons vers la porte d’Italie. 5
juillet
1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlie
85
Kagawa aux carrefours des bas-fonds de Kobé. 7
juillet
1935 Depuis une semaine que j’habite près de cette Porte, je n’ava
86
nture qu’on rejoint l’Europe d’aujourd’hui. 10
juillet
1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à
87
rapides comme des « n’est-ce pas ». Soir du 14
juillet
1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte
88
nexprimablement réel. Après les cortèges du 14
juillet
1935 Scepticisme et politique. — « J’entends crier de toutes part
89
s même le temps de réfléchir à ma question. 18
juillet
1935 Mystifications. — Quelques rencontres avec des écrivains imp
90
en douter. Gardons-nous de les décourager ! 21
juillet
1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux to
91
nser dans un monde où l’on rit comme cela. 28
juillet
1935 Le Prochain. — Dans la presse du métro, vers 7 heures du soi
92
Une révolution refoulée (
juillet
1938)al Est-il possible d’indiquer une raison simple de l’échec du
94
La vraie défense contre l’esprit totalitaire (
juillet
1938)a L’esprit totalitaire est pour nous une menace1. De récents
95
armées des chemises noires. Ce fut à Sarzana, en
juillet
1921. 500 fascistes avaient débarqué à la gare de cette petite ville.
97
Nous venons d’assister à la répétition du coup de
juillet
1914. Mêmes manœuvres simultanées de bluffe guerrier et d’assurances
98
rt par le hasard d’une rencontre, un beau soir de
juillet
aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé dans l’ignora
101
Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8
juillet
1939)n Dans ce studio parisien, dont les larges fenêtres regardent
102
ur Honegger », La Patrie suisse, Genève, n° 27, 8
juillet
1939, p. 855. Propos recueillis par F. Gigon.
103
Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14
juillet
1939)o Il était juste que Denis de Rougemont, cet homme sans domic
104
de la reconstruction française, Paris, n° 24, 14
juillet
1939, p. 4. Propos recueillis par Eugénie Helisse.
105
ühenden Liebe. 97. B. Groethuysen, dans Hermès,
juillet
1937. 98. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absence
106
vénements se sont précipités. À Berlin : loi du 6
juillet
1938, décrétant entre autres que les mariages seront contractés dorén
107
henden Liebe. 115. B. Groethuysen, dans Hermès,
juillet
1937. 116. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absenc
108
henden Liebe. 105. B. Groethuysen, dans Hermès,
juillet
1937. 106. Cité par Baruzi, Saint Jean de la Croix, p. 642. L’absenc
109
raine. Dans une lettre à Stefan Zweig datée du 20
juillet
1938, qui relate la visite de Salvador Dali, Freud écrit : Jusqu’alor
110
la Suisse, telle que nous la voyons en ce mois de
juillet
de 1940. Ce ne sera pas une conférence bien bâtie, je tiens à vous le
111
oquence. 6. Manifeste de la Ligue du Gothard,
juillet
1940. 7. On sait que l’organisation des premières Églises était tell
112
er enfin une opinion mondiale ? Avant ce début de
juillet
, puissent les trois Grands ne pas perdre la boule ! Car le fait est q
113
expérience sensationnelle : au mois de mai ou de
juillet
, une ou deux bombes seraient jetées sur une flotte de cent bâtiments
114
si vite : attendons le grand concert de la fin de
juillet
. o. « Demain la bombe ou la chance d’en finir avec la terre », Le F
117
. f. « Bikini bluff », Combat, Paris, n° 645, 2
juillet
1946, p. 1 et 3. Texte corrigé en deux endroits, selon l’erratum publ
118
Les intellectuels sont-ils responsables ? (5
juillet
1946)g Chose étrange, le 6 février 1934 fut une date de l’histoire
119
nt-ils responsables ? », Combat, Paris, n° 648, 5
juillet
1946, p. 1. Précédé du chapeau suivant : « La notion de l’“engagement
120
it à la vie, le Français aux raisons de vivre (19
juillet
1946)z Pendant que vous avez encore quelques Américains en France,
121
aux raisons de vivre », Temps présent, n° 100, 19
juillet
1946, p. 1-2. aa. Sous-titre manifestement oublié par la rédaction,
122
es dix « conjurés » aura lieu demain. Début de
juillet
1940 Repris mon service à la section Armée et Foyer. Écrit le man
123
enait, en tant que « résistance », inutile. Le 16
juillet
, Pro Helvetia, par le Secrétariat des Suisses à l’étranger, m’offrait
124
sbonne. 5. On se rappelle, en Suisse, que le 25
juillet
, le général Guisan convoqua tous les officiers supérieurs de l’armée
125
voyé un long câble à V. O., à Buenos Aires. 17
juillet
1941 Je pars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze confére
126
Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18
juillet
1941 C’était ce qu’il fallait ces musiques, ces orchidées au col d
127
e libération. Avouons-la, et couchons-nous. 21
juillet
1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent m
128
es, suis-je en train de changer de destin ? 23
juillet
1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. P
129
eux qui ne risquent rien et qui n’ont rien. 26
juillet
1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’u
130
al Marshall : « Nous débarquerons en France. »
Juillet
1942 Saint-John Perse 12. — Lorsqu’il est arrivé en Amérique, il
131
in », et Bach inaperçu pendant cinquante ans.)
Juillet
1943 Washington antigaulliste, mais soucieuse d’objectivité, me do
132
op larges ouvertures sur un avenir planétaire.
Juillet
1945 Antisémitisme. — Un voisin de l’été dernier est venu nous re
133
de mes meilleurs amis sont antisémites… » Fin
juillet
1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite de l’Al
134
emière expérience d’explosion atomique au mois de
juillet
. » — « Carrizozo (New Mexico). Un chat noir est devenu à moitié blanc
135
expérience sensationnelle : au mois de mai ou de
juillet
, une ou deux bombes seraient jetées sur une flotte de cent bâtiments
136
emière expérience d’explosion atomique au mois de
juillet
. » — « Carrizozo (New Mexico). Un chat noir est devenu à moitié blanc
137
is se sont remises à pondre après l’expérience de
juillet
. » Mais ce ne sont là que des « faits », comme disent la science et l
138
expérience sensationnelle : au mois de mai ou de
juillet
, deux ou trois bombes seraient jetées sur une flotte sacrifiée de cen
139
s, si longtemps qu’elles ont fui. Avril et mai et
juillet
sont lointains, Je ne suis plus rien, je n’aime plus vivre. Il y ava
140
qui se laissera peut-être approcher. Début de
juillet
1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gé
141
rois bien que je sens la vie tout le temps… 15
juillet
1929 Le père Reinecke me félicite de ma bonne mine, résultat selon
142
sont pauvres de n’avoir que ce qu’ils ont. 19
juillet
1929 Ces mois de Souabe m’apparaissent de plus en plus comme une r
143
ente redevient une conquête de la sagesse. Fin
juillet
1929 Promenades sous la pluie, à la tombée du jour. L’esprit patie
144
notre âme et la retiennent, la captivent. Fin
juillet
1929 Vraiment la rapidité ne saurait être le fait d’un esprit inca
145
oix posée, monotone et basse : « C’était le 26 de
juillet
, l’anniversaire de ma défunte mère. Le matin, je me dis : Qu’est-ce q
146
aine, elle ne pose plus de questions utiles. 2
juillet
1934 La sécheresse a été la plus forte : malgré nos arrosages, les
147
tes choses pour la première fois mesquines… 10
juillet
1934 Tout est bouclé, ficelé, cloué, transporté en brouette à la s
148
hommes et femmes, âgés de soixante ans au mois de
juillet
1930. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances socia
149
Troisième partieL’été parisien 2
juillet
1935 Arrivée à Paris. — Après la Beauce au grand soleil, pendant
150
çant je ne sais quelle émeute : voilà ce Paris de
juillet
que toute la province oubliait, des blés de Beauce aux plages de l’Oc
151
un taxi, nous filons vers la porte d’Italie. 5
juillet
1935 Porte de Choisy. — Dans le ciel vert d’un couchant de banlie
152
Kagawa aux carrefours des bas-fonds de Kobé. 7
juillet
1935 Depuis une semaine que j’habite près de cette Porte, je n’ava
153
nture qu’on rejoint l’Europe d’aujourd’hui. 10
juillet
1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à
154
ritures rapides comme des « n’est-ce pas ». 11
juillet
1935 Impossibilité du libre-échange humain. — Considération irrit
155
alendes de la Grande Communication… Soir du 14
juillet
1935 Voici une heure que je suis assis à une terrasse de la Porte
156
nexprimablement réel. Après les cortèges du 14
juillet
1935 Scepticisme et politique. — « J’entends crier de toutes part
157
s même le temps de réfléchir à ma question. 18
juillet
1935 Mystifications. — Quelques rencontres avec des écrivains imp
158
en douter. Gardons-nous de les décourager ! 21
juillet
1935 Je traversais hier soir le quartier de Passy, en proie aux to
159
enser dans un monde où l’on rit comme cela. 28
juillet
1935 Le prochain. — Dans la presse du métro, vers sept heures du
160
n’ai vu Thivars, Thivars ne m’aura pas connu. Fin
juillet
, j’assistais à la naissance dans une clinique parisienne de mon fils
161
rt par le hasard d’une rencontre, un beau soir de
juillet
aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé dans l’ignora
162
a vie, j’ai eu honte d’être Suisse. » Début de
juillet
1940 Rencontres quotidiennes, à Berne ou à la campagne, soit avec
163
e. Mais les banderilles ont été plantées82. 10
juillet
1940 Réunion avec trois officiers de l’E. M. G. chargés de prépare
164
cul, au moment de s’endormir, par exemple. Fin
juillet
1940 Je rédige une brochure intitulée : Qu’est-ce que la Ligue du
165
ancêtres se sont levés. C’est notre tour. 25
juillet
1940 Hier a eu lieu le rapport du Grütli84. Tout notre dispositif
166
enait, en tant que « résistance », inutile. Le 16
juillet
, le Secrétariat des Suisses à l’étranger85 m’offrait une « mission de
167
pétie. Envoyé un long câble à Buenos Aires. 17
juillet
1941 Je pars demain pour l’Argentine, où je donnerai douze confére
168
Voyage en Argentine À bord de l’Argentina, 18
juillet
1941 C’était ce qu’il fallait ces musiques, ces orchidées au col d
169
e libération. Avouons-la, et couchons-nous. 21
juillet
1941, en mer Nuit des tropiques. Tout à l’avant du pont, le vent m
170
es, suis-je en train de changer de destin ? 23
juillet
1941, en mer Je pensais rester seul et je connais tout le monde. P
171
eux qui ne risquent rien et qui n’ont rien. 26
juillet
1941, en mer Je jouais à l’appareil à sous, par petites pièces d’u
172
point de départ d’une vie vraiment humaine. 10
juillet
1942 André Maurois me disait l’an dernier : « Je suis très heureux
173
inaperçu pendant un siècle après sa mort.) 14
juillet
1943 Washington antigaulliste, mais soucieuse d’objectivité, me do
174
tus. Depuis qu’ils ont rencontré ce regard. 10
juillet
1944 Le général de Gaulle, président du gouvernement provisoire d
175
tion qu’il donnera au Waldorf Astoria le lundi 10
juillet
1944, 6 à 8 heures. Salle : Basildon Room. Le chauffeur de taxi, com
176
op larges ouvertures sur un avenir planétaire.
Juillet
1945 Antisémitisme. — Un voisin de l’été dernier est venu nous re
177
on père ! dit-elle avec une fière douceur. Fin
juillet
1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite de l’Al
178
néral Marshall : « Nous débarquerons en France. »
Juillet
1942 Saint-John Perse. — Lorsqu’il est arrivé en Amérique, il n’a pa
179
ire des conférences. Il n’en revint qu’au mois de
juillet
dernier. Il vécut à New York, à Princeton, où il respira une « paix c
180
ur de l’émission Demain l’Europe nous dit… » (1er
juillet
1949)i Depuis la fin du mois de février 1949, M. Denis de Rougemon
182
uropéen de la culture aura son siège en Suisse (7
juillet
1949)j L’Europe dominait le monde entier, lorsque éclata la guerre
184
e Europe-Amérique. Trois exemples : — du 19 au 21
juillet
, à Willingen près Kassel, rencontre organisée par la Commission œcumé
185
en » aux Rencontres internationales de Genève… En
juillet
1947, rentrant d’un nouveau séjour à New York, je reçus la visite de
186
« Nous ne sommes pas des esclaves ! » (
juillet
1953)i « Ils ont tiré ! Ils tirent sur les ouvriers ! » Le vieux c
188
de Hambourg, Max Brauer, a ouvert, le soir du 23
juillet
, le congrès international “Science et Liberté”. Cette rencontre organ
190
. L’assurance-vieillesse a été récemment votée (6
juillet
1947) à une écrasante majorité (80 % des votants) en même temps qu’un
191
Il n’y a pas de « musique moderne » (
juillet
1954)m Quand on me demande : « Aimez-vous la musique moderne ? » c
192
as de “musique moderne” », Preuves, Paris, n° 41,
juillet
1954, p. 75-77. Le texte est précédé d’une introduction de Fred Goldb
193
Pour un désarmement moral (19
juillet
1955)t Comment ne pas voir que les thèses officielles, présentées
195
.) On se réfère aux directives des Quatre Grands (
juillet
) exprimant le désir de « susciter des contacts et des échanges plus l
196
et les considère déplacées. Il a été dit ici (en
juillet
) que les dirigeants de l’Union soviétique auraient essayé d’isoler le
197
D’un bout à l’autre de l’immense pays, le mois de
juillet
de cette année-là était torride. Les forêts brûlaient ; on sentait ju
198
our avoir pendu de « bons Allemands » après le 20
juillet
? 3. Pour illustrer la folie du despote, K. cite les inculpations d’e
199
Sur le pouvoir des intellectuels (
juillet
1957)ad « Une politique d’intellectuels » Expression de dédai
201
datée « des Indes, en l’île de la Jamaïque, le 7
juillet
1503 ». Se voyant en péril extrême, seul sur le pont, d’un bateau ron