1
sait rendre mieux que personne la liquidité d’un
lac
, certaines atmosphères délavées et sourdes. « Temps couvert, calme, l
2
’ailes me fait un ciel » — la vaporeuse beauté du
lac
de Neuchâtel. Mlle Kikou Yamata a su le voir aussi « gris et ardent s
3
eaux choisis16. Il y a une grande ville, un grand
lac
, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ces en
4
trer une onde trop légère. Mais pour connaître un
lac
, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en
5
ner est une règle de savoir-vivre avec la Nature.
Lac
doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes
6
eaux choisis11. Il y a une grande ville, un grand
lac
, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ces en
7
trer une onde trop légère. Mais pour connaître un
lac
, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en
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ner est une règle de savoir-vivre avec la Nature.
Lac
doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes
9
endent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un
lac
sinueux. Un paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de s
10
ceaux choisis8. Il y a une grande ville, un grand
lac
, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ces en
11
trer une onde trop légère. Mais pour connaître un
lac
, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en
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ner est une règle de savoir-vivre avec la Nature.
Lac
doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes
14
endent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un
lac
sinueux. Un paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de s
15
ou de Bourgogne et la descente des vignes vers le
lac
. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces arbres, au pied de cette c
16
r qu’on descendait vers la lumière, vers le grand
lac
doublant soudain le ciel au sortir du treizième tunnel, vers des parc
17
encore à ce qui vient. Et voici les brumes sur le
lac
, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui demande aux voyageurs,
18
e ronde : Lucrèce d’Aubray, Dame de l’Aigle et du
Lac
… Cette aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur
19
endemain de sa chute « dans une cabane au bord du
lac
». Brève retraite, dont une phrase des Mémoires d’outre-tombe lui suf
20
nt sa patte dans un grand seau rempli de l’eau du
lac
, était toute ma distraction. » Au même endroit de la ville, neuf ans
21
asseoir un jour, pour quelques heures, en face du
lac
? Et certes, j’ai pensé à Gide, le plus fidèle de tous nos hôtes, en
22
passage, à la date de 1913 : « Combien j’aime ce
lac
tranquille aux rives basses, peuplé de mouettes, où mon regard ni ma
23
VII « Combien j’aimai ce
lac
aux rives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme ce
24
ux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un
lac
n’est jamais sans quelque douceur ? Cherchant d’où vient cet agrément
25
se et plus présente, je me dis : c’est qu’un vrai
lac
est un univers clos, si grands soient les miroirs qu’il offre aux cie
26
x, passagers immobiles, un bras levé… J’habite au
lac
de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins
27
à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce
lac
sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des voiles inclinées… Ba
28
e, où tournoyaient des voiles inclinées… Balaton,
lac
de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses
29
demeures trop vastes de Lake George, nommé jadis
lac
du Saint-Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux »… Il me rap
30
rquoi l’ai-je quitté ? …Et nous n’irons jamais au
lac
d’Amatitlán, au pied du fabuleux volcan de Sant’Anna, mais je l’empor
31
me, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un
lac
n’est jamais sans douceur. Je suis sur la jetée, près du hangar des t
32
rrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du
lac
s’est retirée, de vague en vague vers l’autre rive. Elle caresse en p
33
t âgé d’une vingtaine d’années, se dirige vers le
lac
qu’on aperçoit entre les peupliers, et dont les longues vagues limone
34
et violent quand les portes du cœur ont cédé ! Le
lac
était d’un bleu très sombre, le ciel bas, des éclairs de chaleur palp
35
squisses. Au lieu de la lumière souvent voilée du
lac
, on y verrait un éclairage cru, des ombres longues et givrées, des co
36
ore ? Je n’en parlerais pas ici. Des Montagnes au
lac
, cependant, malgré tous les contrastes qu’on a vus, c’est bien le mêm
37
rdures, eux et leur parenté, de les jeter dans le
lac
de Schwyz, etc., « et ce sera pour la vertu, quarte colonne de la méd
38
nnent », le monde « vient » (à nous), le ciel, le
lac
et les montagnes « viennent » : et on les voit venir ainsi à la renco
39
leur de nos pierres après la pluie, et l’odeur du
lac
immobile… Tout cela peut se résumer d’un mot. C’est le romantisme éte
40
Entre une épaule et une arcade, vous découvrez un
lac
entouré de cultures, de beaux champs gras, des laboureurs et des bate
41
torride. Jung possède une villa sur les rives du
lac
de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon a
42
torride. Jung possède une villa sur les rives du
lac
de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon a
43
torride. Jung possède une villa sur les rives du
lac
de Zurich. Il proposa que la séance eût lieu dans un petit pavillon a
44
iennent », le monde « vient » à nous, le ciel, le
lac
et les montagnes « viennent » ; et on les voit venir ainsi à la renco
45
s, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce
lac
clair, qu’un jésuite français, au début du xviie siècle, baptisa lac
46
uite français, au début du xviie siècle, baptisa
lac
du Saint-Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux, se nomme aujo
47
, parce qu’il s’étend sur une colline dominant le
lac
aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un avocat socialist
48
géraniums et de week-ends paisibles au bord d’un
lac
. Mais il ne serait guère plus facile de comparer cette vie, cette vil
49
ays aboutiront enfin à l’Homme. 10. Au bord du
lac
du même nom, dans le nord de l’État de New York. c. « Tableaux améri
50
Entre une épaule et une arcade, vous découvrez un
lac
entouré de cultures, de beaux champs gras, des laboureurs et des bate
51
lieux les plus exclusifs de la terre. Autour d’un
lac
d’un bleu violent où nagent des cygnes sous les saules pleureurs, s’é
52
s, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce
lac
clair, qu’un jésuite français, au début du xviie siècle, baptisa lac
53
uite français, au début du xviie siècle, baptisa
lac
du Saint-Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux, se nomme aujo
54
, parce qu’il s’étend sur une colline dominant le
lac
aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un avocat socialist
55
géraniums, et de week-ends paisibles au bord d’un
lac
. Mais il ne serait guère plus facile de comparer cette vie, cette vil
56
re grande galerie, une fin d’après-midi dorée. Le
lac
n’avait jamais été plus pur et calme. Nous parlions peu et nous étion
57
Y.), le 8 août 1945. Je vous écris des bords d’un
lac
où vit encore, au plus secret des bois, l’esprit d’Œil de faucon et d
58
fin septembre 1945. J’ai quitté les bords de mon
lac
. J’ai perdu cette lenteur et ce silence aimés. Je doute de les retrou
59
Y.), le 8 août 1945. Je vous écris des bords d’un
lac
où vit encore, au plus secret des bois, l’esprit d’Œil de faucon et d
60
fin septembre 1945. J’ai quitté les bords de mon
lac
. J’ai perdu cette lenteur et ce silence aimés. Je doute de les retrou
61
endent jusqu’à la rivière immobile, élargie en un
lac
sinueux. Paysage peint à l’aquarelle. Le château, salmigondis de styl
62
ceaux choisis7. Il y a une grande ville, un grand
lac
, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ces en
63
trer une onde trop légère. Mais pour connaître un
lac
, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en
64
ner est une règle de savoir-vivre avec la Nature.
Lac
doré, horizon de collines pointues, rives basses, verdoyantes, toutes
66
aux jardins abandonnés d’un palais fou au bord du
lac
de Garde ; puis plus tard, seul et séparé, mes promenades aux lisière
67
Entre une épaule et une arcade, vous découvrez un
lac
entouré de cultures, de beaux champs gras, des laboureurs et des bate
68
lieux les plus exclusifs de la terre. Autour d’un
lac
d’un bleu violent où nagent des cygnes sous les saules pleureurs, s’é
69
s, plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce
lac
clair, qu’un jésuite français, au début du xviie siècle, baptisa lac
70
uite français, au début du xviie siècle, baptisa
lac
du Saint-Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux, se nomme aujo
71
, parce qu’il s’étend sur une colline dominant le
lac
aux cent îles. L’aînée des filles vient d’épouser un avocat socialist
72
géraniums, et de week-ends paisibles au bord d’un
lac
. Mais il ne serait guère plus facile de comparer cette vie, cette vil
73
en pente, a dix-huit chambres et s’ouvre vers le
lac
par une galerie de bois montée sur de hauts pilotis, si vaste que vin
74
amais. « C’est la Savoie ! dit-il en regardant le
lac
. — C’est aussi le Tyrol, ou les lacs italiens. — C’est un lac, quoi,
75
aussi le Tyrol, ou les lacs italiens. — C’est un
lac
, quoi, tout se ressemble. C’est très bien. » Il va donc rester quelqu
76
erspective lointaine des montagnes environnant le
lac
, ses golfes et ses îles. Je dis combien cette vue m’apaise et me sati
77
rande galerie, par une fin d’après-midi dorée. Le
lac
n’avait jamais été plus pur et calme. Nous parlions peu et nous étion
78
e du balcon dans une chambre d’hôtel des bords du
lac
Léman : Afin d’éviter tout bruit inutile, la direction de l’hôtel pr
79
Lacs (août 1948)k Combien j’aimai ce
lac
aux rives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme ce
80
ux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un
lac
n’est jamais sans quelque douceur ? Cherchant d’où vient cet agrément
81
se et plus présente, je me dis : c’est qu’un vrai
lac
est un univers clos, si grands soient les miroirs qu’il offre aux cie
82
x, passagers immobiles, un bras levé… J’habite au
lac
de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins
83
à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce
lac
sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des voiles inclinées… Ba
84
e, où tournoyaient des voiles inclinées… Balaton,
lac
de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses
85
demeures trop vastes du Lake George, nommé jadis
lac
du Saint Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux »… Il me rap
86
quoi l’ai-je quitté ? … Et nous n’irons jamais au
lac
d’Amatitlan, au pied du fabuleux volcan de Sant’Anna, mais je l’empor
87
me, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un
lac
n’est jamais sans douceur. Je suis sur la jetée, près du hangar des t
88
rrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du
lac
s’est retirée, de vague en vague vers l’autre rive. Elle caresse en p
89
t âgé d’une vingtaine d’années, se dirige vers le
lac
qu’on aperçoit entre les peupliers, et dont les longues vagues limone
90
et violent quand les portes du cœur ont cédé ! Le
lac
était d’un bleu très sombre, le ciel bas, des éclairs de chaleur palp
91
ou de Bourgogne et la descente des vignes vers le
lac
. Je pouvais dire à mes amis : là, dans ces arbres, au pied de cette c
92
r qu’on descendait vers la lumière, vers le grand
lac
doublant soudain le ciel au sortir du treizième tunnel, vers des parc
93
encore à ce qui vient. Et voici les brumes sur le
lac
, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui demande aux voyageurs,
94
e ronde : Lucrèce d’Aubray, Dame de l’Aigle et du
Lac
… Cette autre aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une mai
95
endemain de sa chute « dans une cabane au bord du
lac
». Brève retraite, dont une phrase des Mémoires d’outre-tombe lui suf
96
nt sa patte dans un grand seau rempli de l’eau du
lac
, était toute ma distraction. » Au même endroit de la ville, neuf ans
97
asseoir un jour, pour quelques heures, en face du
lac
? Et certes, j’ai pensé à Gide, le plus fidèle de tous nos hôtes, en
98
passage, à la date de 1913 : « Combien j’aime ce
lac
tranquille aux rives basses, peuplé de mouettes, où mon regard ni ma
99
VII « Combien j’aimai ce
lac
aux rives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux, comme ce
100
ux. Faut-il penser que la souffrance au bord d’un
lac
n’est jamais sans quelque douceur ? Cherchant d’où vient cet agréme
101
se et plus présente, je me dis : c’est qu’un vrai
lac
est un univers clos, si grands soient les miroirs qu’il offre aux cie
102
x, passagers immobiles, un bras levé… J’habite au
lac
de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins
103
à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce
lac
sombre au fond de la vallée, où tournoyaient des voiles inclinées… Ba
104
e, où tournoyaient des voiles inclinées… Balaton,
lac
de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses
105
demeures trop vastes du Lake George, nommé jadis
lac
du Saint-Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux »… Il me rap
106
quoi l’ai-je quitté ? … Et nous n’irons jamais au
lac
d’Amatitlán, au pied du fabuleux volcan de Sant’Anna, mais je l’empor
107
me, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un
lac
n’est jamais sans douceur. Je suis sur la jetée, près du hangar des t
108
rrière le Trou de Bourgogne. La grande rougeur du
lac
s’est retirée, de vague en vague vers l’autre rive. Elle caresse en p
109
t âgé d’une vingtaine d’années, se dirige vers le
lac
qu’on aperçoit entre les peupliers, et dont les longues vagues limone
110
et violent quand les portes du cœur ont cédé ! Le
lac
était d’un bleu très sombre, le ciel bas, des éclairs de chaleur palp
111
squisses. Au lieu de la lumière souvent voilée du
lac
, on y verrait un éclairage cru, des ombres longues et givrées, des co
112
? Je n’en parlerais pas ici. Des Montagnes au
lac
, cependant, malgré tous les contrastes qu’on a vus, c’est bien le mêm
113
œufs, mais s’arrête avant de toucher les rives du
lac
; les paysans ne sont pas pêcheurs et n’aiment pas l’eau. La frontièr
114
e Genève à Villeneuve, admiré le bleu étonnant du
lac
de Thoune, contemplé d’Interlaken la Jungfrau et peut-être suivi, à l
115
e petites villes comme Vevey, cette vigneronne du
lac
— hier encore si gentiment troussée dans son accoutrement rustique. L
116
peuplée du pays, et que limitent au sud-ouest le
lac
Léman, au nord-est le lac de Constance. Le bassin latin du Rhône cons
117
imitent au sud-ouest le lac Léman, au nord-est le
lac
de Constance. Le bassin latin du Rhône consiste en une longue vallée,
118
en une longue vallée, le Valais, prolongée par le
lac
Léman jusqu’à Genève. Le bassin italien du Tessin est une vallée beau
119
er dans son grand parc, commencent par admirer le
lac
et le Mont-Blanc, si magnifiquement « mis en page » entre les hautes
120
peint durant la nuit comme un banc vert auprès du
lac
précieux où trempent des parois à peine moins translucides que le cie
121
l’espace doré d’un ciel méridional que double un
lac
immense. Vingt-cinq États distincts sans nulle frontière visible, deu
122
e du balcon dans une chambre d’hôtel des bords du
lac
Léman : Afin d’éviter tout bruit inutile, la direction de l’hôtel pr
123
fluencèrent notre horoscope occidental. Enfin, le
lac
Léman et la cité internationale de l’Europe. Calvin, Rousseau, Voltai
124
pant l’espace délimité par les Alpes, le Jura, le
lac
de Constance et le Léman, n’était donc encore, après cinq siècles, gu
125
l’espace doré d’un ciel méridional que double un
lac
immense… Compartiments, esprit de groupe, et sociétés. Mais petits gr
126
tes, dans une vaste auberge odorante au bord d’un
lac
ou au cœur du pays des Collines. Une matinée près des glaciers ruisse
127
abel. Dans un grand parc, près de la mer, ou d’un
lac
, ou d’une large rivière, en pleine campagne, mais pas trop loin d’une
128
abel. Dans un grand parc, près de la mer, ou d’un
lac
, ou d’une large rivière en pleine campagne, mais pas trop loin d’une
129
omètres, et devait nous porter d’un bond jusqu’au
lac
Noir. De là, nous gravirions les pentes des Préalpes, puis nous longe
130
de l’effort. La route montait maintenant vers le
lac
Noir. Une auberge blanche à toit rouge, dans un jardin au bord de l’e
131
lines boisées et de vergers en fleurs auprès d’un
lac
qui virent la fuite du Téméraire, la liberté des villes d’Empire, le
132
mmense où chaque rocher est une lettre, où chaque
lac
est une phrase, où chaque village est un accent, et d’où sortent pêle
133
du Saint-Gothard, cube granitique et nu près d’un
lac
pur ; une vallée s’enfonce vers le Nord germanique entre deux parois
134
e du col, longeant ou enjambant la Reuss, vers le
lac
qu’on nomme aujourd’hui des Quatre-Cantons (Vierwaldstättersee). Schw
135
ns (Vierwaldstättersee). Schwyz, c’est au nord du
lac
, dans un cirque bien évasé de pâturages dominés par les hauts rochers
136
bwald et du Nidwald dominent l’autre extrémité du
lac
, et descendent jusqu’aux abords de la ville de Lucerne, débouché vers
137
our de distribution du trafic alpestre, autour du
lac
aux nombreux bras en forme de fjords, présente un intérêt particulier
138
r le plateau et dans les vallées qui entourent le
lac
, et de multiplier châteaux forts et péages contrôlant le trafic du Go
139
crutée dans les villes du Plateau, longe le petit
lac
d’Ägeri, atteint le défilé du Morgarten, au sud du lac, à la frontièr
140
’Ägeri, atteint le défilé du Morgarten, au sud du
lac
, à la frontière du territoire de Schwyz, et s’y engage sans méfiance.
141
des. Culbutés, rejetés vers les marais et vers le
lac
où ils s’enfoncent avec leurs lourdes armures, mille-cinq-cents genti
142
ntez en direction des Alpes la route qui longe le
lac
de Côme et que vous atteignez l’entrée de la petite ville de Chiavenn
143
peint durant la nuit comme un banc vert auprès du
lac
précieux où trempent des parois à peine moins translucides que le cie
144
l’espace doré d’un ciel méridional que double un
lac
immense. J’irai redécouvrir la Suisse réelle dans l’usage de ses trai
145
e du balcon dans une chambre d’hôtel des bords du
lac
Léman : « Afin d’éviter tout bruit inutile, la direction de l’hôtel p
146
Entre une épaule et une arcade, vous découvrez un
lac
entouré de cultures, de beaux champs gras, des laboureurs et des bate
147
Val Bregaglia, traversé par la route qui monte du
lac
de Côme vers Maloja et Sils-Maria. (Tout près de là, Soglio, dont j’a
148
sée, aux « campagnes » qui entourent la ville, au
lac
animé des beaux jours reflétant les coteaux de Cologny, et aux tourme
149
enus d’Irlande, visitent vers 610 les environs du
lac
de Constance, ils trouvent des idoles de Wotan dans les anciennes égl
150
tes, dans une vaste auberge odorante au bord d’un
lac
ou au cœur du pays des collines. Une matinée près des glaciers ruisse
151
yran. Il s’évade à la faveur d’une tempête sur le
lac
, et il tue finalement le bailli dans le chemin creux de Küssnacht, do
152
en pente, a dix-huit chambres et s’ouvre vers le
lac
par une galerie de bois montée sur de hauts pilotis, si vaste que vin
153
amais. « C’est la Savoie ! dit-il en regardant le
lac
. — C’est aussi le Tyrol, ou les lacs italiens. — C’est un lac, quoi,
154
aussi le Tyrol, ou les lacs italiens. — C’est un
lac
, quoi, tout se ressemble. C’est très bien. » Il va donc rester quelqu
155
erspective lointaine des montagnes environnant le
lac
, ses golfes et ses îles. Je dis combien cette vue m’apaise et me sati
156
elle draine tous les lacs entièrement suisses, du
lac
de Joux à l’ouest, à travers ceux de Neuchâtel, Morat et Bienne, au l
157
à travers ceux de Neuchâtel, Morat et Bienne, au
lac
de Wallenstadt à l’est, à travers le lac de Zurich, tandis que la Reu
158
enne, au lac de Wallenstadt à l’est, à travers le
lac
de Zurich, tandis que la Reuss lui amène les eaux des Quatre-Cantons,
159
z, je suis sorti, sur mon vélo j’ai foncé vers le
lac
. « Partir ! » et toute la vie qui change, tout était libre devant moi
160
ntérêts réputés sérieux, surtout sur les bords du
lac
de Zurich, comme vous le savez. Vous me demandez si c’est la meilleur
161
ès de 100 kilomètres de côtes de la Manche ; — le
lac
Érié devenu mer morte, interdit aux baigneurs ; le lac Léman menacé d
162
rié devenu mer morte, interdit aux baigneurs ; le
lac
Léman menacé d’asphyxie ; — de nombreuses îles hollandaises recouvert
163
s pour l’ensemble de la faune méditerranéenne. Le
lac
Nasser, formé par le barrage, menace de malaria deux millions de Nubi
164
abel. Dans un grand parc, près de la mer, ou d’un
lac
, ou d’une large rivière, en pleine campagne, mais pas trop loin d’une
165
un palace à Vevey, Montreux ou Clarens, devant le
lac
et ses envols de mouettes, devant un monde où les lointains sont deve
166
un palace à Vevey, Montreux ou Clarens, devant le
lac
et ses envols de mouettes, devant un monde où les lointains sont deve
167
une région écologique définie par la pollution du
lac
(affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la centrale
168
une région écologique définie par la pollution du
lac
(affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la centrale
169
sage, en précisant que là-bas, de l’autre côté du
lac
, c’était la France. — Mais où est la frontière ? demanda Molotov, vag
170
tov, vaguement inquiet. — Elle passe au milieu du
lac
, dit Bidault. — Mais alors, s’exclama le Soviétique, les poissons, co
171
une région écologique définie par la pollution du
lac
(affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la centrale
172
me allemand, lu et vécu, à Vienne, à Budapest, au
lac
de Garde, en Souabe — fasciné par le surréalisme tout en dénonçant se
173
ntre le mercure qu’on déverse chaque jour dans le
lac
, au point que la lotte n’est plus comestible. Les concentrations devi
174
tionale » est une absurdité. Prenons l’exemple du
lac
Léman, puisque nous l’avons sous les yeux : il est en train de se pol
175
nis de Rougemont, de sa retraite dorée du bord du
lac
Léman, prêche dans le désert. On pardonne tout aux prophètes, sauf d’
176
chapeau suivant : « Sur les rives tranquilles du
lac
de Neuchâtel [sic], là où Jean-Jacques Rousseau passa un hiver, vit u
177
nces désastreuses pour l’ensemble de la faune. Le
lac
Nasser, formé par le barrage, menace de malaria deux millions de Nubi
178
nce de ce qu’une forêt retient autant d’eau qu’un
lac
, en sorte que sa transformation en papier de journal, par exemple, ac
179
s frontières « nationales ». Je pense au Rhin, au
lac
Léman, à la région côtière qui va de Marseille à Gênes. Il n’y a plus
180
t la « découper ». Car une région écologique (le
lac
Léman et ses affluents, par exemple), n’aura pas nécessairement la mê
181
(nous avons à assurer en commun la protection du
lac
Léman). C’est du bon travail régional. Une dernière question : gardez
182
orise-t-elle pas la pensée philosophique comme le
lac
du Bourget la pensée romantique ? La géographie y est pour beaucoup,
183
te qui continue entre deux murs de vignes vers le
lac
— c’est un village près de Lausanne — on est reçu par un homme grand
184
e fer donnent sur les vignobles en terrasse et le
lac
dans sa coupe de lumière. Ramuz vous offre une cigarette de tabac noi
185
ne, c’est une même civilisation. De ce côté-ci du
lac
, on nous a fait devenir protestants, c’est-à-dire qu’on a voulu rempl
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st bien souvent autour d’un problème écologique :
lac
ou rivière polluée, projets de centrales nucléaires, usine d’épuratio
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st bien souvent autour d’un problème écologique :
lac
ou rivière polluée, projets de centrales nucléaires, usine d’épuratio
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nne. Dans un grand parc, près de la mer, ou d’un
lac
, ou d’une large rivière, en pleine campagne, mais pas trop loin d’une
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us exactement définie par le bassin du Léman — le
lac
, ses affluents au sud, et les villes polluantes au nord — et se prolo
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jet des moyens de lutter contre la pollution d’un
lac
ou d’un fleuve, au sujet des transports en commun transfrontaliers, o
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lacs, rivières et fleuves pollués. (Exemples : le
lac
Léman pollué au mercure et au phosphore, et fortement eutrophisé ; le
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ême sol, la même culture, le même climat, le même
lac
avec les mêmes problèmes de pollution. Et ce lac est en train d’en cr
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lac avec les mêmes problèmes de pollution. Et ce
lac
est en train d’en crever. Mais cela, c’est ma femme qui s’en occupe !
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’une association pour la sauvegarde écologique du
lac
Léman. C’est là que Claudine Brelet l’a rencontré pour CoÉvolution. »
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bout de l’allée, quand vous allez en direction du
lac
, vous arrivez sur une petite crête qui marque la ligne de partage des
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urer : je pense à la région où j’habite, celle du
lac
Léman. Il y a une région lémanique qui est naturelle, dont les habita
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communs. De tout ce qui concerne les problèmes du
lac
, de sa santé, de sa protection (problèmes que ces régions ont en comm
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es continentales. Autre exemple : le sauvetage du
lac
Léman, pollué par les Suisses et les Français est un problème régiona