1 ojet. « Il serait assez difficile, écrit Chr. L. Lange 66, d’exposer les idées du traité de Pierre Dubois d’après le plan su

2 suivrons donc ici l’analyse proposée par Chr. L. Lange dans son ouvrage monumental. Pour Pierre Dubois comme pour Dante et M

3 ur son époque, qui ne l’était guère. » Cependant, Lange a bien montré la faiblesse essentielle — qui fait aussi l’intérêt — d

4 lippe le Bel en forme la conclusion. 66. Chr. L. Lange  : Histoire de l’internationalisme, Christiania, 1919. Tome I, chap. I

5 é par Auguste Schou, a paru en 1954. 67. Chr. L. Lange , op. cit., I, 106. 68. Epistula 7° del XV libro delle Familiari, a S

6 que « s’il avait une patrie, c’était l’Europe » ( Lange ). Par toute sa vie et ses travaux, par toutes les fibres de son être,

7 qui porte ce titre, Paris 1914. 103. Cf. Chr. L. Lange , op. cit., II, p. 183. 104. Texte in Rivista di Diritto Internaziona

8 VII, Sérié 2, t. 2, Roma 1913. 105. Cf. Chr. L. Lange , op. cit., II, 269-70. 106. Cf. Jacob Ter Meulen : Der Gedanke der I

9 qui passe des heures, jour et nuit, à changer les langes du bébé. Je l’ai épousée à cause d’une romance. Aucune romance ne pou

10 dès 1932-1933 (quand Sartre était encore dans les langes , politiquement parlant), je me suis senti « obligé », en quelque sort