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dans nos corps charmés d’un repos sans rêves une
langueur
dont on ne voudrait plus guérir… Mais nous voyons la ville debout dan
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l’amour comme « une maladie du désir, une divine
langueur
»150… L’exaltation de la mort volontaire, amoureuse et divinisante, v
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ésir charnel n’est plus qu’une dernière et impure
langueur
dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du tr
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ésir charnel n’est plus qu’une dernière et impure
langueur
dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du tr
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l’amour comme « une maladie du désir, une divine
langueur
… »157. L’exaltation de la mort volontaire, amoureuse et divinisante,
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ir charnel n’est plus qu’une dernière et brûlante
langueur
dans l’âme qui se guérit de vivre. Seule la lumière douloureuse du tr