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dépouillé de détail extérieur ou d’enjolivure. La
lecture
de ces trois tragédies, d’une classique sobriété mais d’une brutalité
2
le en même temps qu’odieux. Au hasard de quelques
lectures
, je pris note des passages suivants (les paraphraser serait d’une ing
3
vouée de la lutte des classes. Il se dégage de la
lecture
de Ma vie et mon œuvre une impression de netteté, de solidité, de pro
4
luble : « Peut-on discerner avec certitude, après
lecture
de ses œuvres, si M. Brunschwicg croit ou non à la divinisation final
5
les campagnes au printemps. Ou encore : comme la
lecture
des romans anglais, les loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à
6
d’extrême ». Jacob Boehme, Paracelse, Swedenborg,
lectures
de son adolescence, figurent bel et bien dans son évolution une de ce
7
t sans une gêne grandissante que l’on poursuit la
lecture
de ces pages où maints paragraphes apportent entre deux tours repris
8
nt que périr avec elle, ils vont chercher dans la
lecture
, pour eux très aride, de Marx, d’Engels, et de Hegel une leçon révolu
9
e la Troisième République. On peut recommander la
lecture
de ce livre, parce qu’il a le mérite de poser simplement, brutalement
10
ous ou moi pouvons connaître. Mais, en vérité, la
lecture
du livre de M. Nizan n’inspire pas la certitude qu’il aime les hommes
11
r. Je demande à M. Nizan, qui est marxiste, si la
lecture
et la pratique de Marx peut apporter une certitude intime, une réalit
12
i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces
lectures
que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
13
e dans les campagnes au printemps. Ou encore : la
lecture
des romans anglais, les loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à
14
i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces
lectures
que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
15
qu’ailleurs, le « grand public » considéra que la
lecture
d’un livre n’était qu’un moyen de « passer une heure agréablement ».
16
tes sur les vérités éternelles (1932-1933)x La
lecture
du bel article de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la
17
le lui est révélée par l’Évangile qui sauve. ⁂ La
lecture
du Traité n’est pas des plus aisées. Les termes hégéliens qui abonden
18
et d’angoisse insondable qui nous bouleverse à la
lecture
des Stades, on trouvera ici l’exposé judicieux, parfois même bonhomiq
19
publications dites révolutionnaires un succès de
lecture
, aux dépens de toute adhésion durable. Des obscurités, des lourdeurs,
20
dans un drame fictif, de cet homme affolé par la
lecture
de son journal, — mais qui porte l’enfer dans son âme ! — Kierkegaard
21
Paris, n° 629, 3 novembre 1934, p. 3. Une note de
lecture
plus courte du même roman a également paru dans le Journal de Genève
22
ur. Rien de plus excitant pour l’esprit que cette
lecture
, passionnante non seulement à cause du pittoresque violent des faits,
23
areils traits. Grâce à quoi l’on ressort de cette
lecture
plus édifié encore que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10. Hi
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publications dites révolutionnaires un succès de
lecture
, aux dépens de toute adhésion durable. Des obscurités, des lourdeurs,
25
t d’angoisse insondable, qui nous bouleverse à la
lecture
des Stades, on va trouver ici l’exposé judicieux, parfois même bonhom
26
publications dites révolutionnaires un succès de
lecture
, aux dépens de toute adhésion durable. 78. Celui-ci a fait l’objet
27
courage sérieux, nietzschéen sans exaltation. La
lecture
d’un tel livre, lente et souvent reprise, donne du cœur à l’intellige
28
l fit paraître. On ne saurait trop recommander la
lecture
de ce recueil aux esprits suffisamment armés de sens critique, de cer
29
our les autres, qu’importe qu’ils perdent à cette
lecture
des « certitudes » mal centrées, purement traditionnelles, jamais sér
30
ce du visage de l’homme. Kassner remarque qu’à la
lecture
des grands moralistes français, de Montaigne à Pascal, à La Rochefouc
31
silence pesant et solennel accueillit cette brève
lecture
. Nicodème paraissait perdu dans son rêve. Ses lèvres remuaient pourta
32
Paris, n° 681, 2 novembre 1935, p. 5. Une note de
lecture
sur le même livre a également paru dans la Nouvelle Revue française d
33
que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la
lecture
des évangiles par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croi
34
lution nécessaire, p. 251.) (C’est sans doute une
lecture
« dialectique » de nos textes qui permet à l’auteur d’affirmer que «
35
e ou deux pages facilite heureusement ce genre de
lecture
.) Trois thèmes : la biographie (milieu, enfance, jeunesse, profession
36
naissance de nos voisins : elle ne suppose que la
lecture
des journaux. (Bien sûr que sous cette forme, elle est inoffensive, t
37
, ses expériences et préoccupations sociales, les
lectures
qu’il fait à son ami, la brève idylle de Weimar… tout cela compose un
38
s aussi, pour qui sait comprendre, salutaire… Les
lectures
favorites et les préoccupations sociales de « Garta », telles que nou
39
émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la
lecture
d’un livre, que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de s
40
ersonne en acte. Que celui qui s’engage dans leur
lecture
éprouve de tout son être la présence d’une réalité éthique immédiate
41
rait désespérer l’espèce d’homme qui demande à la
lecture
une évasion, un stupéfiant, une justification du monde injuste, une o
42
émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la
lecture
d’un livre, que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de s
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ersonne en acte. Que celui qui s’engage dans leur
lecture
éprouve de tout son être la présence d’une réalité éthique immédiate
44
rait désespérer l’espèce d’homme qui demande à la
lecture
une évasion, un stupéfiant, une justification du monde injuste, une o
45
e, présentement, sous son régime de liberté, à la
lecture
de Paris-Soir et Paris-Sports, quand ce n’est pas Paris-Soir-Dimanche
46
assigne à l’origine du phénomène capitaliste. Une
lecture
superficielle risquerait d’induire en erreur à cet égard. Il est trop
47
ent cette désaffection des grandes masses pour la
lecture
? Est-ce la faute du public, ou bien des écrivains ? Et avant d’y por
48
igoureuse que soit cette analyse — et si utile sa
lecture
pour tous les possédants chrétiens — elle ne revêt sa signification t
49
(bien plus semblable au second qu’au premier) la
lecture
, aujourd’hui, n’est plus du tout ce qu’elle était au siècle passé pou
50
ués à de faibles succès. C’est le sens même de la
lecture
qui s’est perdu. Et s’il s’est perdu, je le répète, c’est que les plu
51
ntreprennent de gagner un million au sortir d’une
lecture
de Balzac ; aux boursiers dont Stendhal enfièvre l’ambition ; aux jeu
52
ne l’avait vu et constaté aussi nettement qu’à la
lecture
de ce bilan désinvolte. Au lendemain de la guerre, la production écri
53
n le goût, du moins la pratique quotidienne de la
lecture
. Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
54
d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de
lecture
. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
55
elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la
lecture
qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
56
si la Liquor, qui est « l’ombre intérieure. » Une
lecture
plus poussée de Paracelse devait bientôt m’apprendre, avec bien d’aut
57
ments de la pensée que le critique, blasé par des
lectures
trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,
58
e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
lecture
de la Bible, ou si, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi
59
iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs
lectures
, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
60
prévu et d’aisance, entretient tout au long de la
lecture
une euphorie de l’imagination dont nous pensions que le secret s’étai
62
x bénéficiaire de ces « cadeaux de Noël ». d. «
Lectures
dirigées dans le IIIe Reich », Les Nouveaux Cahiers, Paris, n° 16, 15
63
iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs
lectures
, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
64
e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
lecture
de la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi q
65
appent dans l’édition allemande où je poursuis la
lecture
de ce journal : Einsamkeit (solitude), et Gottgemeinsamkeit (communio
66
ocations particulières ? Elles sont souvent d’une
lecture
très douteuse pour ceux mêmes qui devraient les exercer ! Il faudrait
67
’avais de l’amitié pour lui. Il me parlait de ses
lectures
, avec violence mais sans niaiserie. Et tout à coup, à propos de ses é
68
n le goût, du moins la pratique quotidienne de la
lecture
. Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
69
d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de
lecture
. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
70
elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la
lecture
qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
71
ait refaire ce petit monde de fond en comble ! La
lecture
de Lawrence m’a fait prendre une conscience aiguë de cet état. Je ret
72
ments de la pensée que le critique, blasé par des
lectures
trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,
73
l’agacement de la facilité, le même que donne la
lecture
de romans d’anticipation. Il y a bien plus que de l’ingéniosité dans
74
ns une atmosphère romantique entretenue par leurs
lectures
, par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
75
. À la lumière des événements de septembre, cette
lecture
prend une actualité vraiment bouleversante. Nous venons d’assister à
76
me agraire ». Il faut recommander spécialement la
lecture
du chapitre sur le Reichsnährstandf (office d’alimentation). Quand il
77
livre ! Elles n’ont pour but que de faciliter une
lecture
à tant d’égards urgente et révélatrice. e. « Le Relèvement de l’All
78
seuil de l’ère des mystiques collectives — cette
lecture
nous introduit aux vertiges spirituels d’où sont nés des mouvements p
79
és par les auteurs de manuels, ni patinés par nos
lectures
. Les voici avec toutes leurs barbes et verrues, incongrus et antédilu
80
sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques
lectures
, depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
81
ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la
lecture
de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle51 comme da
82
ine, rendait possible une confrontation. Mais la
lecture
des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
83
vaient pas seulement être présentés sous forme de
lecture
, mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
84
ns une atmosphère romantique entretenue par leurs
lectures
, par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
85
es oublier ! — la vie nocturne de l’étudiant, des
lectures
qui ne servent à rien, des promenades qui ne mènent à rien, sinon à v
86
té fournie d’une manière très convaincante par la
lecture
des deux grands recueils de documents sur Nicolas que publiait, au le
87
ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la
lecture
de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle51 — le pré
88
vine, rendait possible une confrontation. Mais la
lecture
des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
89
vaient pas seulement être présentés sous forme de
lecture
, mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
90
ns une atmosphère romantique entretenue par leurs
lectures
, par les spectacles et par mille allusions quotidiennes, dont le sous
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sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques
lectures
, depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
92
ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la
lecture
de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle44 — le pré
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vine, rendait possible une confrontation. Mais la
lecture
des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
94
vaient pas seulement être présentés sous forme de
lecture
, mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
95
ns une atmosphère romantique entretenue par leurs
lectures
, par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
96
dénoncer d’avance, réduisons-nous à des notes de
lecture
, à quelques réactions impressionnistes. ⁂ Ce qui séduit, ce qui fasci
97
gue toujours si fermement articulée (habitude des
lectures
à haute voix), ses sautes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l
98
: la partie du culte qui n’est pas le sermon, les
lectures
, prières et chants réglés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j
99
ous appelons « liturgiques » et qui consistent en
lectures
bibliques ou littéraires, entrecoupées de chants et de jeux d’orgue.
100
oi ou son sommaire (l’assemblée assise) (après la
lecture
, chant spontané : « Mon Dieu, ta loi est sainte… mais si tu comptes n
101
remise… Mon âme, bénis l’Éternel… »). VI. Credo (
lecture
du Symbole des apôtres. L’assemblée reste debout). VII. Alléluia (cha
102
genouiller pour la prière publique, ou pendant la
lecture
de la confession des péchés, par exemple, comme cela se fait dans les
103
miers loisirs de militaire ont été consacrés à la
lecture
du grand roman de Gottfried Keller intitulé Henri le Vert, c’est que
104
de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de
lecture
. Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
105
de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de
lecture
. Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
106
de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de
lecture
. Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
107
de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de
lecture
. Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
108
connaissions un peu, et pensions le connaître. La
lecture
de ses papiers posthumes nous le révèle bien différent. Il fallait ce
109
L’attitude personnaliste (octobre 1944)k La
lecture
des journaux clandestins parus en France montre que les idées personn
110
ment expliquez-vous le plaisir que je prends à la
lecture
de certaines paraboles dont le sens eschatologique m’échappe, je le s
111
d’extrême. » Jacob Boehme, Paracelse, Swedenborg,
lectures
de son adolescence, figurent bel et bien dans son évolution une de ce
112
que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la
lecture
des évangiles, par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de cro
113
s’oublier dans un drame fictif, cet homme que la
lecture
de son journal effraie bien plus que les abîmes de son âme — Kierkega
114
ent trahi par certaines bizarreries du récit… Les
lectures
les plus fréquentes et les préoccupations sociales de Kafka, telles q
115
gnorant presque tout de Kafka, après une première
lecture
du Procès, j’en étais venu à me poser cette question : — Est-ce pur h
116
dénoncer d’avance, réduisons-nous à des notes de
lecture
, à quelques réactions impressionnistes. Ce qui séduit, ce qui fascin
117
gue toujours si fermement articulée (habitude des
lectures
à haute voix), ses sautes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l
118
. Je n’ai pu me défendre de cette impression à la
lecture
de Taille de l’homme, petit ouvrage consacré à définir l’opposition c
119
de partie de l’intérêt que l’amateur apporte à la
lecture
de ces ouvrages, tient au raffinement ou à la complication croissante
120
s complaisances interprétatives que le maître. La
lecture
de leurs textes est généralement exaspérante, à cause de leur propens
121
nd davantage sur ce qui se passe en France que la
lecture
de dix journaux français. Tous les Français, qui viennent ici, en tom
122
k. ab. Depuis « L’ordre des valeurs morales… » :
lecture
incertaine, aucune copie correcte du texte n’ayant pu être obtenue.
123
es Neveux qui, durant la demi-heure qui suivra la
lecture
de la présente clause, versera avant tous les autres, une ou quelques
124
leur l’a pris et replacé sans me déranger dans la
lecture
de mon journal. Il n’y a que deux classes en Amérique : l’une où les
125
on à cette règle, comme on s’en convaincra par la
lecture
des écrits du jeune Marx sur la dialectique hégélienne. De nos jours,
126
èles ne sauraient échapper à l’influence de leurs
lectures
, cependant qu’ils éprouvent une difficulté croissante à juger celles-
127
n de textes pour le « Bréviaire du citoyen ». Des
lectures
que j’ai faites, je retiens surtout quelques phrases admirables d’Ale
128
leur l’a pris et replacé sans me déranger dans la
lecture
de mon journal. Il n’y a que deux classes en Amérique : l’une où les
129
e trop et tombent dans le vide, pour peu que leur
lecture
les passionne. Mercredi des Cendres, février 1942 Depuis des mo
130
eu que j’avais retenu, parce que frappant, de mes
lectures
sur l’Amérique avant d’y venir, c’était justement inexact, et peut-êt
131
i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces
lectures
que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
132
iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs
lectures
, les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
133
e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la
lecture
de la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi q
134
appent dans l’édition allemande où je poursuis la
lecture
de ce journal : Einsamkeit (solitude), et Gottgemeinsamkeit (communio
135
ocations particulières ? Elles sont souvent d’une
lecture
très douteuse pour ceux mêmes qui devraient les exercer ! Il faudrait
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’avais de l’amitié pour lui. Il me parlait de ses
lectures
, avec violence mais sans niaiserie. Et tout à coup, à propos de ses é
137
n le goût, du moins la pratique quotidienne de la
lecture
. Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
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d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de
lecture
. Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
139
elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la
lecture
qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
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ait refaire ce petit monde de fond en comble ! La
lecture
de Lawrence m’a fait prendre une conscience aiguë de cet état. Je ret
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ments de la pensée que le critique, blasé par des
lectures
trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,