1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 dépouillé de détail extérieur ou d’enjolivure. La lecture de ces trois tragédies, d’une classique sobriété mais d’une brutalité
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 le en même temps qu’odieux. Au hasard de quelques lectures , je pris note des passages suivants (les paraphraser serait d’une ing
3 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
3 vouée de la lutte des classes. Il se dégage de la lecture de Ma vie et mon œuvre une impression de netteté, de solidité, de pro
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
4 luble : « Peut-on discerner avec certitude, après lecture de ses œuvres, si M. Brunschwicg croit ou non à la divinisation final
5 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
5 les campagnes au printemps. Ou encore : comme la lecture des romans anglais, les loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
6 d’extrême ». Jacob Boehme, Paracelse, Swedenborg, lectures de son adolescence, figurent bel et bien dans son évolution une de ce
7 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
7 t sans une gêne grandissante que l’on poursuit la lecture de ces pages où maints paragraphes apportent entre deux tours repris
8 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
8 nt que périr avec elle, ils vont chercher dans la lecture , pour eux très aride, de Marx, d’Engels, et de Hegel une leçon révolu
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
9 e la Troisième République. On peut recommander la lecture de ce livre, parce qu’il a le mérite de poser simplement, brutalement
10 ous ou moi pouvons connaître. Mais, en vérité, la lecture du livre de M. Nizan n’inspire pas la certitude qu’il aime les hommes
11 r. Je demande à M. Nizan, qui est marxiste, si la lecture et la pratique de Marx peut apporter une certitude intime, une réalit
10 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
13 e dans les campagnes au printemps. Ou encore : la lecture des romans anglais, les loisirs obsédés du jaloux, le travail jusqu’à
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
13 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
15 qu’ailleurs, le « grand public » considéra que la lecture d’un livre n’était qu’un moyen de « passer une heure agréablement ».
14 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
16 tes sur les vérités éternelles (1932-1933)x La lecture du bel article de M. Arnold Reymond, paru dans votre n° 1, me met la
15 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
17 le lui est révélée par l’Évangile qui sauve. ⁂ La lecture du Traité n’est pas des plus aisées. Les termes hégéliens qui abonden
18 et d’angoisse insondable qui nous bouleverse à la lecture des Stades, on trouvera ici l’exposé judicieux, parfois même bonhomiq
16 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
19 publications dites révolutionnaires un succès de lecture , aux dépens de toute adhésion durable. Des obscurités, des lourdeurs,
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
20 dans un drame fictif, de cet homme affolé par la lecture de son journal, — mais qui porte l’enfer dans son âme ! — Kierkegaard
18 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
21 Paris, n° 629, 3 novembre 1934, p. 3. Une note de lecture plus courte du même roman a également paru dans le Journal de Genève
19 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
22 ur. Rien de plus excitant pour l’esprit que cette lecture , passionnante non seulement à cause du pittoresque violent des faits,
23 areils traits. Grâce à quoi l’on ressort de cette lecture plus édifié encore que révolté. Mais ce n’est pas peu dire. 10. Hi
20 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
24 publications dites révolutionnaires un succès de lecture , aux dépens de toute adhésion durable. Des obscurités, des lourdeurs,
21 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
25 t d’angoisse insondable, qui nous bouleverse à la lecture des Stades, on va trouver ici l’exposé judicieux, parfois même bonhom
22 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
26 publications dites révolutionnaires un succès de lecture , aux dépens de toute adhésion durable. 78. Celui-ci a fait l’objet
23 1935, Esprit, articles (1932–1962). André Rouveyre, Singulier (janvier 1935)
27 courage sérieux, nietzschéen sans exaltation. La lecture d’un tel livre, lente et souvent reprise, donne du cœur à l’intellige
24 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
28 l fit paraître. On ne saurait trop recommander la lecture de ce recueil aux esprits suffisamment armés de sens critique, de cer
29 our les autres, qu’importe qu’ils perdent à cette lecture des « certitudes » mal centrées, purement traditionnelles, jamais sér
25 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
30 ce du visage de l’homme. Kassner remarque qu’à la lecture des grands moralistes français, de Montaigne à Pascal, à La Rochefouc
26 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
31 silence pesant et solennel accueillit cette brève lecture . Nicodème paraissait perdu dans son rêve. Ses lèvres remuaient pourta
27 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
32 Paris, n° 681, 2 novembre 1935, p. 5. Une note de lecture sur le même livre a également paru dans la Nouvelle Revue française d
28 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
33 que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la lecture des évangiles par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de croi
29 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
34 lution nécessaire, p. 251.) (C’est sans doute une lecture « dialectique » de nos textes qui permet à l’auteur d’affirmer que « 
30 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
35 e ou deux pages facilite heureusement ce genre de lecture .) Trois thèmes : la biographie (milieu, enfance, jeunesse, profession
31 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
36 naissance de nos voisins : elle ne suppose que la lecture des journaux. (Bien sûr que sous cette forme, elle est inoffensive, t
32 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
37 , ses expériences et préoccupations sociales, les lectures qu’il fait à son ami, la brève idylle de Weimar… tout cela compose un
38 s aussi, pour qui sait comprendre, salutaire… Les lectures favorites et les préoccupations sociales de « Garta », telles que nou
33 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
39 émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture d’un livre, que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de s
40 ersonne en acte. Que celui qui s’engage dans leur lecture éprouve de tout son être la présence d’une réalité éthique immédiate
41 rait désespérer l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant, une justification du monde injuste, une o
34 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 émeut et qu’elle le meut. Si je ne sens pas, à la lecture d’un livre, que l’auteur a dû violenter ses habitudes, ou celles de s
43 ersonne en acte. Que celui qui s’engage dans leur lecture éprouve de tout son être la présence d’une réalité éthique immédiate
44 rait désespérer l’espèce d’homme qui demande à la lecture une évasion, un stupéfiant, une justification du monde injuste, une o
35 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
45 e, présentement, sous son régime de liberté, à la lecture de Paris-Soir et Paris-Sports, quand ce n’est pas Paris-Soir-Dimanche
36 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
46 assigne à l’origine du phénomène capitaliste. Une lecture superficielle risquerait d’induire en erreur à cet égard. Il est trop
37 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
47 ent cette désaffection des grandes masses pour la lecture  ? Est-ce la faute du public, ou bien des écrivains ? Et avant d’y por
38 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
48 igoureuse que soit cette analyse — et si utile sa lecture pour tous les possédants chrétiens — elle ne revêt sa signification t
39 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
49 (bien plus semblable au second qu’au premier) la lecture , aujourd’hui, n’est plus du tout ce qu’elle était au siècle passé pou
50 ués à de faibles succès. C’est le sens même de la lecture qui s’est perdu. Et s’il s’est perdu, je le répète, c’est que les plu
40 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
51 ntreprennent de gagner un million au sortir d’une lecture de Balzac ; aux boursiers dont Stendhal enfièvre l’ambition ; aux jeu
41 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
52 ne l’avait vu et constaté aussi nettement qu’à la lecture de ce bilan désinvolte. Au lendemain de la guerre, la production écri
42 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
53 n le goût, du moins la pratique quotidienne de la lecture . Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
54 d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture . Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
55 elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la lecture qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
43 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
56 si la Liquor, qui est « l’ombre intérieure. » Une lecture plus poussée de Paracelse devait bientôt m’apprendre, avec bien d’aut
44 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
57 ments de la pensée que le critique, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,
45 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
58 e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible, ou si, au contraire, il pourrait lui en prêter une. Quoi
46 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
59 iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs lectures , les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
47 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
60 prévu et d’aisance, entretient tout au long de la lecture une euphorie de l’imagination dont nous pensions que le secret s’étai
48 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)
61 Lectures dirigées dans le IIIe Reich (15 décembre 1937)d J’ai sous les yeux
62 x bénéficiaire de ces « cadeaux de Noël ». d. «  Lectures dirigées dans le IIIe Reich », Les Nouveaux Cahiers, Paris, n° 16, 15
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
63 iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs lectures , les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
64 e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi q
65 appent dans l’édition allemande où je poursuis la lecture de ce journal : Einsamkeit (solitude), et Gottgemeinsamkeit (communio
66 ocations particulières ? Elles sont souvent d’une lecture très douteuse pour ceux mêmes qui devraient les exercer ! Il faudrait
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
67 ’avais de l’amitié pour lui. Il me parlait de ses lectures , avec violence mais sans niaiserie. Et tout à coup, à propos de ses é
68 n le goût, du moins la pratique quotidienne de la lecture . Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
69 d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture . Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
70 elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la lecture qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
71 ait refaire ce petit monde de fond en comble ! La lecture de Lawrence m’a fait prendre une conscience aiguë de cet état. Je ret
72 ments de la pensée que le critique, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,
51 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
73 l’agacement de la facilité, le même que donne la lecture de romans d’anticipation. Il y a bien plus que de l’ingéniosité dans
52 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
74 ns une atmosphère romantique entretenue par leurs lectures , par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
53 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
75 . À la lumière des événements de septembre, cette lecture prend une actualité vraiment bouleversante. Nous venons d’assister à
76 me agraire ». Il faut recommander spécialement la lecture du chapitre sur le Reichsnährstandf (office d’alimentation). Quand il
77 livre ! Elles n’ont pour but que de faciliter une lecture à tant d’égards urgente et révélatrice. e. « Le Relèvement de l’All
54 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
78 seuil de l’ère des mystiques collectives — cette lecture nous introduit aux vertiges spirituels d’où sont nés des mouvements p
55 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
79 és par les auteurs de manuels, ni patinés par nos lectures . Les voici avec toutes leurs barbes et verrues, incongrus et antédilu
56 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
80 sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques lectures , depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
57 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
81 ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle51 comme da
58 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
82 ine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
59 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
83 vaient pas seulement être présentés sous forme de lecture , mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
84 ns une atmosphère romantique entretenue par leurs lectures , par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
61 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
85 es oublier ! — la vie nocturne de l’étudiant, des lectures qui ne servent à rien, des promenades qui ne mènent à rien, sinon à v
62 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
86 té fournie d’une manière très convaincante par la lecture des deux grands recueils de documents sur Nicolas que publiait, au le
63 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
87 ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle51 — le pré
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
88 vine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
89 vaient pas seulement être présentés sous forme de lecture , mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
90 ns une atmosphère romantique entretenue par leurs lectures , par les spectacles et par mille allusions quotidiennes, dont le sous
67 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
91 sous forme d’œuvre écrite, et nourri de quelques lectures , depuis deux ans ; enfin je l’ai rédigé en quatre mois. Ceci me rappe
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
92 ment d’équivoque dont on ne peut se départir à la lecture de ces poèmes amoureux ? Il s’agit bien d’une femme réelle44 — le pré
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
93 vine, rendait possible une confrontation. Mais la lecture des mystiques franciscains, dès le xiiie siècle, nous eût fourni un
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
94 vaient pas seulement être présentés sous forme de lecture , mais surtout donnés en spectacle. Ce jeu peut revêtir deux formes :
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
95 ns une atmosphère romantique entretenue par leurs lectures , par les spectacles, et par mille allusions quotidiennes, dont le sou
72 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
96 dénoncer d’avance, réduisons-nous à des notes de lecture , à quelques réactions impressionnistes. ⁂ Ce qui séduit, ce qui fasci
97 gue toujours si fermement articulée (habitude des lectures à haute voix), ses sautes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l
73 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
98 : la partie du culte qui n’est pas le sermon, les lectures , prières et chants réglés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j
99 ous appelons « liturgiques » et qui consistent en lectures bibliques ou littéraires, entrecoupées de chants et de jeux d’orgue.
100 oi ou son sommaire (l’assemblée assise) (après la lecture , chant spontané : « Mon Dieu, ta loi est sainte… mais si tu comptes n
101 remise… Mon âme, bénis l’Éternel… »). VI. Credo ( lecture du Symbole des apôtres. L’assemblée reste debout). VII. Alléluia (cha
102 genouiller pour la prière publique, ou pendant la lecture de la confession des péchés, par exemple, comme cela se fait dans les
74 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
103 miers loisirs de militaire ont été consacrés à la lecture du grand roman de Gottfried Keller intitulé Henri le Vert, c’est que
75 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
104 de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture . Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
76 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
105 de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture . Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
77 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
106 de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture . Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
78 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
107 de cartes, rouge ou noir. J’arrive à la salle de lecture . Il n’y avait que des feuilles de papier blanc sur les tables, et tou
79 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
108 connaissions un peu, et pensions le connaître. La lecture de ses papiers posthumes nous le révèle bien différent. Il fallait ce
80 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
109 L’attitude personnaliste (octobre 1944)k La lecture des journaux clandestins parus en France montre que les idées personn
81 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
110 ment expliquez-vous le plaisir que je prends à la lecture de certaines paraboles dont le sens eschatologique m’échappe, je le s
82 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
111 d’extrême. » Jacob Boehme, Paracelse, Swedenborg, lectures de son adolescence, figurent bel et bien dans son évolution une de ce
83 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
112 que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la lecture des évangiles, par exemple) au lieu d’écouter l’ordre, au lieu de cro
113 s’oublier dans un drame fictif, cet homme que la lecture de son journal effraie bien plus que les abîmes de son âme — Kierkega
84 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
114 ent trahi par certaines bizarreries du récit… Les lectures les plus fréquentes et les préoccupations sociales de Kafka, telles q
115 gnorant presque tout de Kafka, après une première lecture du Procès, j’en étais venu à me poser cette question : — Est-ce pur h
85 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
116 dénoncer d’avance, réduisons-nous à des notes de lecture , à quelques réactions impressionnistes. Ce qui séduit, ce qui fascin
117 gue toujours si fermement articulée (habitude des lectures à haute voix), ses sautes d’humeur, et ce besoin de donner raison à l
86 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
118 . Je n’ai pu me défendre de cette impression à la lecture de Taille de l’homme, petit ouvrage consacré à définir l’opposition c
87 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
119 de partie de l’intérêt que l’amateur apporte à la lecture de ces ouvrages, tient au raffinement ou à la complication croissante
88 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
120 s complaisances interprétatives que le maître. La lecture de leurs textes est généralement exaspérante, à cause de leur propens
89 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
121 nd davantage sur ce qui se passe en France que la lecture de dix journaux français. Tous les Français, qui viennent ici, en tom
90 1946, Articles divers (1941-1946). L’Américain croit à la vie, le Français aux raisons de vivre (19 juillet 1946)
122 k. ab. Depuis « L’ordre des valeurs morales… » : lecture incertaine, aucune copie correcte du texte n’ayant pu être obtenue.
91 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
123 es Neveux qui, durant la demi-heure qui suivra la lecture de la présente clause, versera avant tous les autres, une ou quelques
92 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
124 leur l’a pris et replacé sans me déranger dans la lecture de mon journal. Il n’y a que deux classes en Amérique : l’une où les
93 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
125 on à cette règle, comme on s’en convaincra par la lecture des écrits du jeune Marx sur la dialectique hégélienne. De nos jours,
126 èles ne sauraient échapper à l’influence de leurs lectures , cependant qu’ils éprouvent une difficulté croissante à juger celles-
94 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
127 n de textes pour le « Bréviaire du citoyen ». Des lectures que j’ai faites, je retiens surtout quelques phrases admirables d’Ale
95 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
128 leur l’a pris et replacé sans me déranger dans la lecture de mon journal. Il n’y a que deux classes en Amérique : l’une où les
96 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
129 e trop et tombent dans le vide, pour peu que leur lecture les passionne. Mercredi des Cendres, février 1942 Depuis des mo
97 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
130 eu que j’avais retenu, parce que frappant, de mes lectures sur l’Amérique avant d’y venir, c’était justement inexact, et peut-êt
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
131 i ces arbres. 26 mai 1929 Curieux comme ces lectures que les modernes ont fait passer pour abstraites ont au contraire le
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
132 iance, si j’essaie d’amener l’entretien sur leurs lectures , les journaux qu’ils achètent, la politique, ou la religion qu’ils su
133 e ne saisis pas bien si ce curé lui a interdit la lecture de la Bible, ou si au contraire il pourrait lui en prêter une. Quoi q
134 appent dans l’édition allemande où je poursuis la lecture de ce journal : Einsamkeit (solitude), et Gottgemeinsamkeit (communio
135 ocations particulières ? Elles sont souvent d’une lecture très douteuse pour ceux mêmes qui devraient les exercer ! Il faudrait
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
136 ’avais de l’amitié pour lui. Il me parlait de ses lectures , avec violence mais sans niaiserie. Et tout à coup, à propos de ses é
137 n le goût, du moins la pratique quotidienne de la lecture . Le public s’étend au hasard. Il ne constitue plus un corps limité, é
138 d de la salle, dans un coin arrangé en cabinet de lecture . Journaux et illustrés, quelques livres sur la table. Puis on s’est a
139 elquefois des questions. Mais ce n’est pas par la lecture qu’ils viennent au parti. L’affaire, pour eux, c’est d’abord de se gr
140 ait refaire ce petit monde de fond en comble ! La lecture de Lawrence m’a fait prendre une conscience aiguë de cet état. Je ret
141 ments de la pensée que le critique, blasé par des lectures trop rapides, et plus sensible aux tics qu’à la pensée fondamentale,