1 utôt ce qu’autrefois l’on nommait joliment un fin lettré . (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc vous mettre en colère c

2 science. Les historiens font la grimace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école seront comblés. Gundolf décrit l’œu

3 stoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés , les bons esprits, les professeurs, pour lesquels la pensée est un ar

4 s chez les vrais poètes, mais davantage parmi les lettrés qui seraient tentés de lire de la poésie. C’est bien une sorte de res

5 dre le fait dans l’expression écrite. Beaucoup de lettrés , peut-être aussi quelques primaires, se figurent qu’un tel problème r

6 stoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés , les bons esprits, les professeurs, pour lesquels la pensée est un ar

7 s chez les vrais poètes, mais davantage parmi les lettrés qui seraient tentés de lire de la poésie. C’est bien une sorte de res

8 dre le fait dans l’expression écrite. Beaucoup de lettrés , peut-être aussi quelques primaires, se figurent qu’un tel problème r

9 contraire qui s’est produit. 57. Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des épîtres copiées dans un manuel : croit-on

10 significatif qu’à la fin du xviie siècle, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur l

11 contraire qui s’est produit. 59. Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des épîtres copiées dans un manuel : croit-on

12 significatif qu’à la fin du xviie siècle, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur l

13 contraire qui s’est produit. 52. Un amoureux peu lettré qui écrit à sa fiancée des épîtres copiées dans un manuel : croit-on

14 significatif qu’à la fin du xviie siècle, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste, ait écrit un traité sur l

15 stoïevski et Kierkegaard, — il y a aussi les fins lettrés , les bons esprits, les professeurs, pour lesquels la pensée est un ar

16 rceptible encore au plus grand nombre, à tous les lettrés sans esprit, la pensée de la catastrophe s’acclimate lentement parmi

17 rceptible encore au plus grand nombre, à tous les lettrés sans esprit, la pensée de la catastrophe s’acclimate lentement parmi

18 nd prélat, chargé de titres et d’honneurs, un fin lettré , un humaniste, un homme comblé des biens de ce monde. L’appeler témoi

19 nd prélat, chargé de titres et d’honneurs, un fin lettré , un humaniste, un homme comblé des biens de ce monde. L’appeler témoi

20 s dynasties des « Cadméens » procèdent nombre des lettrés qui, comme Bias et Thalès de Milet, deux des Sept Sages, fondèrent pl

21 sia 95 § 6. Il importe, dis-je, d’adjoindre aux Lettrés des gardiens vigilants ; leur tâche sera de leur apprendre, en les ex

22 teur, appellations qui doivent être réservées aux lettrés ecclésiastiques et aux politiques. Ce qui veut dire qu’il ne faut pas

23 différentes pour ces tribunaux : le tribunal des lettrés s’appellerait le Conseil de la lumière, le tribunal ecclésiastique le

24 n triple tribunal supérieur aux États : celui des lettrés , ou « Conseil de la lumière », celui des ecclésiastiques ou « Consist

25 opie pansophique, la Panegersia, recommandait aux lettrés et savants, membres de son Conseil des lumières, de « faire attention

26 opie pansophique, la Panegersia, recommandait aux lettrés et savants, membres de son Conseil des Lumières, de « faire attention

27 s de rompre l’unité nationale ». D’où le Français lettré conclut que Louis XIV et Napoléon, en centralisant l’Hexagone, l’ont

28 le, chez ses beaux-frères — que fréquentaient des lettrés andalous et des troupes de jongleurs toujours mixtes : chanteurs maur

29 toutes les revues dites « scientifiques » par les lettrés , je me suis senti parfois pris d’une sorte d’angoisse, et je me suis

30 averne », Le Figaro , 19 novembre 1978. 18. Cf. Lettré de Michel Debré, n° 14, octobre 1978. h. « La chronique européenne d