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pour le sportif. Or c’est la faiblesse « qui fait
lever
la haine ». « La faiblesse est mère du combat. » C’est donc à un lacé
2
se vis-à-vis du gouvernement, le libérateur va se
lever
. C’est un descendant de Roland le Camisard, ce « Tarramagnou », ce «
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yjamas sur des paillasses attendraient en vain le
lever
d’un rideau sur une pièce inexistante. Enfin le dernier soir, l’on vi
4
ut mon être une force aveugle de violence s’était
levée
. Ce fut elle qui m’entraîna sur les stades où je connus quelle confia
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eur protestation, étouffées par des forces qui se
lèvent
. Car telle est la vertu de ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop viv
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s de l’Orient et de l’Europe, me paraît destiné à
lever
plusieurs des plus tenaces de ces confusions. M. de Traz a visité l’É
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grave de l’infini, pour être seul parmi la foule,
lève
les yeux, au plus beau ciel du monde. h. « Soir de Florence », La S
8
...................................... Le vent se
lève
, il faut tenter de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste
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a langue dans la langue de Lugin : « Le rideau se
lève
sur un miroir qui occupe toute la largeur de la scène. Titre : Socrat
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re qui me regarda un instant, si doucement… Je me
levai
sans payer, je partis par les rues, une joie violente commençait à m’
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’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se
lever
, traverser le café dans la musique et la rumeur des clients. Dehors l
12
e Varshany est une grande artiste. Vous vous êtes
levé
, comme tout le monde, à l’entrée d’un des archiducs. Car ce peuple, s
13
era assis, en affirmant : je siège ; un troisième
lèvera
la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on cr
14
siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je
lève
la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre
15
era assis, en affirmant : je siège ; un troisième
lèvera
la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on cr
16
siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je
lève
la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre
17
éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se
lève
, il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui s
18
dont la statue colossale, sur un rocher, les bras
levés
, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
19
leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts
levés
. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
20
ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se
lève
, et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
21
sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible.
Lève
-toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
22
rablement habile qu’on vote l’acquittement à main
levée
, sans examen des preuves. Non seulement Gide a presque toujours raiso
23
daine de l’ivresse devant le mortel danger qui se
lève
à un pas. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième temps de ce
24
. Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile
levée
, et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit re
25
d avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a
levé
la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perl
26
la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux
lever
vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pou
27
éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se
lève
, il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui
28
dont la statue colossale, sur un rocher, les bras
levés
, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
29
leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts
levés
. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
30
ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se
lève
, et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
31
sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible.
Lève
-toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
32
s brune, avec un gros collier de verre bleu… Elle
lève
les yeux tout droit vers moi, une seconde, parle vite à sa compagne,
33
i, une biche dresse la tête au ras des herbes, se
lève
, saute sur place, — n’est plus là. — J’ai poursuivi longtemps le refl
34
Matinées végétales, depuis trois jours. Je me
lève
à 7 heures, rassemble quelques papiers, un tome de Meister, un paquet
35
. Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile
levée
, et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit re
36
d avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a
levé
la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perl
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la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux
lever
vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pou
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éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se
lève
, il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui s
39
dont la statue colossale, sur un rocher, les bras
levés
, dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
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leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts
levés
. On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
41
ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se
lève
, et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
42
sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible.
Lève
-toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
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s brune, avec un gros collier de verre bleu… Elle
lève
les yeux tout droit vers moi, une seconde, parle vite à sa compagne,
44
i, une biche dresse la tête au ras des herbes, se
lève
, saute sur place, — n’est plus là. —J’ai poursuivi longtemps le refle
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Matinées végétales, depuis trois jours. Je me
lève
à 7 h, rassemble quelques papiers, un tome de Meister, un paquet de t
46
spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se
lever
. Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
47
uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me
lève
et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
48
jeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se
lèvent
, l’esprit de risque est la seule assurance. Les valeurs de demain, s’
49
ts chargés de dieux, passagers immobiles, un bras
levé
… J’habite au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en
50
st-ce qu’elle n’a rien de mieux à faire que de se
lever
avec cent-mille autres, de faire le poing avec cent-mille autres ? Ce
51
oblème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se
lèvent
de toutes parts de troublants paradoxes. La Bible nous parle-t-elle d
52
s n’ont pas de biographie : « L’homme biblique se
lève
et tombe avec sa mission ». Il y a plus. L’histoire biblique, loin de
53
loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se
leva
et lui dit : Mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
54
loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se
leva
et lui dit : mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
55
loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se
leva
et lui dit : mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
56
t maintenant, je veux vous embrasser. Nicodème se
leva
, au milieu d’un silence ému, et donna l’accolade à chacun. Puis il fi
57
acun. Puis il fit un grand geste de ses deux bras
levés
, — comme pour bénir les circonstants, — et soudain, cachant sa figure
58
étique pareille à celle des hommes de Dieu qui se
lèvent
sous l’Ancienne Alliance, se confond avec la parole qui les conduira
59
e la grandeur humaine (NRF). 7. « Le prophète se
lève
et tombe avec sa mission » (Karl Barth). Il n’a pas de biographie. Ri
60
du Deutschland über alles chanté debout, le bras
levé
. À huit heures sonnant, les lampes à arc s’éteignirent. Des flèches l
61
. « … on les voit sortir des bois dans le rose du
lever
du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosé
62
nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se
levait
et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
63
ofane19. On peut dire de ce peuple aussi qu’il se
lève
et qu’il tombe avec son ministère. Que savons-nous de ces tribus infi
64
un Dieu qui se nomme « jaloux », les prophètes se
lèvent
contre eux et dénoncent leur idolâtrie20. Idole, tout ce qui détourne
65
18. « Le prophète n’a pas de biographie. Il se
lève
et tombe avec sa mission. » (Karl Barth, Parole de Dieu et parole hum
66
nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se
levait
et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
67
ofane19. On peut dire de ce peuple aussi qu’il se
lève
et qu’il tombe avec son ministère. Que savons-nous de ces tribus infi
68
un Dieu qui se nomme « jaloux », les prophètes se
lèvent
contre eux et dénoncent leur idolâtrie20. Idole, tout ce qui détourne
69
18. « Le prophète n’a pas de biographie. Il se
lève
et tombe avec sa mission. » (Karl Barth, Parole de Dieu et parole hum
70
nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se
levait
et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
71
es échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes
levés
pour sortir, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise.
72
es ordres de lui. À la fin, un des communistes se
lève
et résume le débat : « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Di
73
bitudes » épuisent leur vertu. C’est le moment de
lever
son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des en
74
fois ! Poussés par leurs voisins, trois hommes se
lèvent
en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra
75
alicieux aux copains de la salle. Le président se
lève
: « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o
76
poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se
lève
au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da
77
on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se
lève
, et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v
78
r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je
lève
le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
79
r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je
lève
le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
80
connu et accepté — tu es le seul à le connaître —
lève
-toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des aut
81
r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je
lève
le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
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is ! » Poussés par leurs voisins, trois hommes se
lèvent
en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra
83
alicieux aux copains de la salle. Le président se
lève
: « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o
84
poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se
lève
au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da
85
on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se
lève
, et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v
86
es échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes
levés
pour sortir, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise.
87
rdres que de lui. À la fin, un des communistes se
lève
et résume le débat : En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu
88
bitudes » épuisent leur vertu. C’est le moment de
lever
son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des en
89
. J’étouffe un cri. À ce moment la grosse dame se
lève
et s’en va. Je balbutie, tremblant de colère : « Vous avez de la plac
90
nd rien. Que va-t-il se passer ? Simplement il se
lève
à l’arrêt : c’est un jeune homme, plutôt petit, quelconque, qui desce
91
erdu sa vertu pour une oreille habituée : « Il se
lève
et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons rien du reste de sa vie
92
promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se
lève
et tombe » avec la mission qu’elle incarne : « Préparer les voies du
93
un Dieu qui se nomme « jaloux », les Prophètes se
lèvent
contre eux et dénoncent leur idolâtrie66. Remarquons que la notion d’
94
et accepté — tu es seul à pouvoir le connaître —
lève
-toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des aut
95
tout de suite la religion… » Tout d’un coup il se
lève
de son tabouret et avec un grand geste, le doigt pointé en l’air : «
96
uarante mille hommes, quarante mille bras se sont
levés
d’un coup. L’homme avance très lentement, saluant d’un geste lent, ép
97
, les voilà qui d’elles-mêmes se mettent en rang,
lèvent
le poing, acclament des caporaux. Ainsi l’Autriche fascinée s’est jet
98
étais le nouveau professeur. Je l’aborde et il se
lève
brusquement pour me saluer. Il lisait un livre français : La Révoluti
99
e Dr N. prononce son allocution. En terminant, il
lève
le bras d’un geste timide : — « Et en l’honneur de nos études romanes
100
tout de suite la religion… » Tout d’un coup il se
lève
de son tabouret et avec un grand geste, le doigt pointé en l’air : «
101
uarante mille hommes, quarante mille bras se sont
levés
d’un seul coup. L’homme s’avance très lentement, saluant d’un geste l
102
uant d’un geste épiscopal, quarante mille bras se
lèvent
, et le tonnerre rythmé des heil commence. Et cela dure plusieurs minu
103
spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se
lever
. Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
104
i travaille fait plus que cent-mille mains qui se
lèvent
. 28. La critique des partis n’est stérile que dans la mesure où elle
105
ence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, se
lever
avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner après lui, à chaque
106
visière glissent d’un coup sur la gauche quand on
lève
un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisail
107
, éclatez en cris de joie ! Oui, tous en chœur,
levez
-vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, to
108
te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède.
Levez
-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et
109
aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se
lever
, et lui déposait un baiser sur le front. Premier baiser, généralement
110
érance qui trouve enfin son objet véritable : Or
lève
-toi vers un espoir plus heureux — en contemplant le ciel qui tourne a
111
ls de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation : «
Levez
-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
112
. 153. On lit dans le Cantique des Cantiques : «
Levez
-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
113
u christianisme, dès qu’ils sont assez forts pour
lever
le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
114
’il s’annonce ! (Silence, puis plusieurs mains se
lèvent
.) La parole est au Landamman ! Le Landamman. — Cet homme est un b
115
cause. Que ceux qui jugent en faveur du plaignant
lèvent
la main ! (Nicolas seul lève la main.) Que ceux qui jugent en faveur
116
aveur du plaignant lèvent la main ! (Nicolas seul
lève
la main.) Que ceux qui jugent en faveur de l’accusé lèvent la main !
117
main.) Que ceux qui jugent en faveur de l’accusé
lèvent
la main ! (Derrière les quatre autres juges surgissent quatre démons
118
débouté. Accusé, nous t’acquittons. La séance est
levée
. (Les démons gesticulent joyeusement.) Le plaignant. — Lâches ! V
119
ée s’avance de quelques pas vers Nicolas. Nicolas
lève
la tête vers les voix. Dans un cercle de lumière apparaissent, au pla
120
’on est ici à discuter, lui, là-haut, il est déjà
levé
pour ses prières. Il se lève toujours à minuit. Ça fait quand même qu
121
là-haut, il est déjà levé pour ses prières. Il se
lève
toujours à minuit. Ça fait quand même quelque chose, de penser qu’il
122
a clarté sois notre éveil toujours ! Surgissez et
levez
Qui le Seigneur aimez ! Le jour est commencé, la nuit évanouie Que Di
123
ar nous t’écoutons ! Prie pour nous, le danger se
lève
! Témoin frugal et prophétique Tu le voyais, tu nous avertissais !
124
é l’oreille. Mais le grand vent des plaines s’est
levé
, il emporte la voix du guetteur. Nicolas ! Nicolas ! Hélas ! Est-ce e
125
acrés. (Voix de femmes.) Quel est ce rêve qui se
lève
avec le vent des plaines et de la guerre ? Hélas ! où courons-nous ?
126
s débats. Écoutez ! (Ils s’arrêtent, les marteaux
levés
. Fanfare dans la coulisse.) Les voici ! Scène ii. (Musique de
127
enché vers Nicolas). — Vois là-bas ! Ils se sont
levés
! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés, armes fourbies, reg
128
oulisse. — Je ne sais pas ! — Je les vois qui se
lèvent
! Voix sur la place. — Ils se lèvent ! Voix de la coulisse. —
129
s qui se lèvent ! Voix sur la place. — Ils se
lèvent
! Voix de la coulisse. — Ils se serrent les mains ! Ils s’embrass
130
z, éclatez en cris de joie ! Oui, tous, en chœur,
levez
-vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui tous, e
131
te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède.
Levez
-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et g
132
aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se
lever
, et lui déposait un baiser sur le front. Désormais, ces amants seront
133
s de moi, et que jamais le guetteur n’annonçât le
lever
de l’aube ! Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! » Mais cet
134
érance qui trouve enfin son objet véritable : Or
lève
-toi vers un espoir plus heureux – en contemplant le ciel qui tourne a
135
ils de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation : «
Levez
-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
136
. 171. On lit dans le Cantique des Cantiques : «
Levez
-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
137
te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède.
Levez
-vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et
138
aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se
lever
, et lui déposait un baiser sur le front. Désormais, ces amants seront
139
s de moi, et que jamais le guetteur n’annonçât le
lever
de l’aube ! Dieu ! c’est l’aube. Quelle vient donc vite ! Mais cett
140
érance qui trouve enfin son objet véritable : Or
lève
-toi vers un espoir plus heureux en contemplant le ciel qui tourne aut
141
s de la belle Nuit. Et la célèbre invocation : «
Levez
-vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
142
. 160. On lit dans le Cantique des Cantiques : «
Levez
-vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
143
lte public, n’est pas sans portée spirituelle. Se
lever
, prier ensemble à haute voix, s’agenouiller, chanter spontanément un
144
temps, à l’appel du danger, nos ancêtres se sont
levés
. C’est notre tour. Pour le directoire : Denis de Rougemont.
145
au christianisme dès qu’ils sont assez forts pour
lever
le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
146
onne toujours une tâche déterminée et immédiate :
Lève
-toi, et va dire telle chose à tel peuple. Nous n’avons entendu, jusqu
147
au christianisme dès qu’ils sont assez forts pour
lever
le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
148
lierai pas le bonheur brillant dans tous ces yeux
levés
, la fraternisation générale des classes et des races, les plaisanteri
149
unesse. Et il pleurait. Une troisième fois, il se
leva
pour aller au marché de l’aube. — Tu n’as plus rien, lui dit le petit
150
l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage
levé
, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
151
echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait
lever
des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
152
l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage
levé
, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
153
echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait
lever
des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
154
l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage
levé
, vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
155
spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se
lever
. Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
156
echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait
lever
des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
157
daine de l’ivresse devant le mortel danger qui se
lève
à un pas. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième temps de ce
158
tique, pareille à celle des hommes de Dieu qui se
lèvent
sous l’Ancienne Alliance, se confond avec la parole qui les conduira
159
la grandeur humaine (NRF). 31. « Le prophète se
lève
et tombe avec sa mission » (Karl Barth). Il n’a pas de biographie. Ri
160
s. « …On les voit sortir des bois dans le rose du
lever
du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosé
161
ence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, se
lever
avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner avec lui, à chaque p
162
ersonnages constants du théâtre ; les ouvertures,
levers
de rideau, préfaces, finales, épilogues et points d’orgue ; la règle
163
osition des pions ; trois coups frappés d’avance,
lever
de rideau ; l’ouverture d’un opéra ; le cadre du tableau, etc. Des pr
164
olosse est à terre et deux super-colosses se sont
levés
, projetant leurs ombres démesurées — l’un de tout près — sur les débr
165
le rabat et pendant sur le dos. Tout le monde se
lève
, puis tout le monde se rassoit, et s’agenouille, se relève encore et
166
uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me
lève
et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
167
e de la rivière où il baigne à mi-corps, quand il
lève
le bras vers ces fruits mûrs qui font ployer la branche au-dessus de
168
se transformerait le soir en lit et d’où, sans se
lever
, l’on atteindrait le téléphone, la poignée du frigidaire, les boutons
169
uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me
lève
et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
170
t que cela soit, eh bien… que cela soit ! Elle se
lève
et me suit. Nous allons chez elle. Un vertige, un sombre délire, et s
171
de ces mouvements ? Il y faudrait un théologien.
Lever
les bras au ciel, ou pointer le doigt du moraliste, n’est pas faire a
172
spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se
lever
. Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
173
visière glissent d’un coup sur la gauche quand on
lève
un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisail