1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 pour le sportif. Or c’est la faiblesse « qui fait lever la haine ». « La faiblesse est mère du combat. » C’est donc à un lacé
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
2 se vis-à-vis du gouvernement, le libérateur va se lever . C’est un descendant de Roland le Camisard, ce « Tarramagnou », ce « 
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 yjamas sur des paillasses attendraient en vain le lever d’un rideau sur une pièce inexistante. Enfin le dernier soir, l’on vi
4 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 ut mon être une force aveugle de violence s’était levée . Ce fut elle qui m’entraîna sur les stades où je connus quelle confia
5 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
5 eur protestation, étouffées par des forces qui se lèvent . Car telle est la vertu de ce livre, qu’on l’éprouve d’abord trop viv
6 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
6 s de l’Orient et de l’Europe, me paraît destiné à lever plusieurs des plus tenaces de ces confusions. M. de Traz a visité l’É
7 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
7 grave de l’infini, pour être seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau ciel du monde. h. « Soir de Florence », La S
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
8 ...................................... Le vent se lève , il faut tenter de vivre. Paul Valéry. Certes, du sein de ma triste
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
9 a langue dans la langue de Lugin : « Le rideau se lève sur un miroir qui occupe toute la largeur de la scène. Titre : Socrat
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
10 re qui me regarda un instant, si doucement… Je me levai sans payer, je partis par les rues, une joie violente commençait à m’
11 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
11 ’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se lever , traverser le café dans la musique et la rumeur des clients. Dehors l
12 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
12 e Varshany est une grande artiste. Vous vous êtes levé , comme tout le monde, à l’entrée d’un des archiducs. Car ce peuple, s
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
13 era assis, en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on cr
14 siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
15 era assis, en affirmant : je siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on cr
16 siège ; un troisième lèvera la main, et dira : je lève la main, — au lieu de demander ce qu’on croit. Tout porte à craindre
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
17 éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève , il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui s
18 dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés , dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
19 leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts levés . On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
20 ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se lève , et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
21 sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève -toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
17 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
22 rablement habile qu’on vote l’acquittement à main levée , sans examen des preuves. Non seulement Gide a presque toujours raiso
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
23 daine de l’ivresse devant le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième temps de ce
19 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
24 . Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile levée , et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit re
25 d avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perl
26 la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pou
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève , il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui
28 dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés , dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
29 leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts levés . On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
30 ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se lève , et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
31 sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève -toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
32 s brune, avec un gros collier de verre bleu… Elle lève les yeux tout droit vers moi, une seconde, parle vite à sa compagne,
33 i, une biche dresse la tête au ras des herbes, se lève , saute sur place, — n’est plus là. — J’ai poursuivi longtemps le refl
34 Matinées végétales, depuis trois jours. Je me lève à 7 heures, rassemble quelques papiers, un tome de Meister, un paquet
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
35 . Il y a là dans un espace vide un piano à l’aile levée , et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit re
36 d avec un tremblement d’étoile. Richard Strauss a levé la tête, il reçoit sur son bon visage où cette rosée divine fait perl
37 la plus naturellement élégante, j’ai vu des yeux lever vers moi un regard d’ardente confiance qui était tout ce qu’on ne pou
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
38 éveille un vagabond angoissé, bienheureux : il se lève , il reconnaît son rêve. Huit heures aux clochers de la capitale qui s
39 dont la statue colossale, sur un rocher, les bras levés , dirige la circulation de Pest. Gül Baba est moins théâtral). D’aille
40 leur efficace. Voici le Prince Primat, les doigts levés . On se signe. Et voici venir à pied de son palais proche, tout seul,
41 ais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se lève , et des tambours et des cris modulés, et toute la frénésie d’un grand
42 sède… Tout près d’ici, peut-être, mais invisible. Lève -toi, pars, et sans vider ton verre — il n’y a pure ivresse que de l’a
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
43 s brune, avec un gros collier de verre bleu… Elle lève les yeux tout droit vers moi, une seconde, parle vite à sa compagne,
44 i, une biche dresse la tête au ras des herbes, se lève , saute sur place, — n’est plus là. —J’ai poursuivi longtemps le refle
45 Matinées végétales, depuis trois jours. Je me lève à 7 h, rassemble quelques papiers, un tome de Meister, un paquet de t
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
46 spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever . Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
47 uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
48 jeu, ce qu’il implique… Contre les risques qui se lèvent , l’esprit de risque est la seule assurance. Les valeurs de demain, s’
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
49 ts chargés de dieux, passagers immobiles, un bras levé … J’habite au lac de Garde un palais délabré, au-dessus de jardins en
27 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
50 st-ce qu’elle n’a rien de mieux à faire que de se lever avec cent-mille autres, de faire le poing avec cent-mille autres ? Ce
28 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
51 oblème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes parts de troublants paradoxes. La Bible nous parle-t-elle d
52 s n’ont pas de biographie : « L’homme biblique se lève et tombe avec sa mission ». Il y a plus. L’histoire biblique, loin de
29 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
53 loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui dit : Mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
30 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
54 loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui dit : mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
31 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
55 loi voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui dit : mais qui est mon prochain ? Ce docteur se disait sans do
32 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
56 t maintenant, je veux vous embrasser. Nicodème se leva , au milieu d’un silence ému, et donna l’accolade à chacun. Puis il fi
57 acun. Puis il fit un grand geste de ses deux bras levés , — comme pour bénir les circonstants, — et soudain, cachant sa figure
33 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
58 étique pareille à celle des hommes de Dieu qui se lèvent sous l’Ancienne Alliance, se confond avec la parole qui les conduira
59 e la grandeur humaine (NRF). 7. « Le prophète se lève et tombe avec sa mission » (Karl Barth). Il n’a pas de biographie. Ri
34 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
60 du Deutschland über alles chanté debout, le bras levé . À huit heures sonnant, les lampes à arc s’éteignirent. Des flèches l
35 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
61 . « … on les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosé
36 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
62 nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se levait et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
63 ofane19. On peut dire de ce peuple aussi qu’il se lève et qu’il tombe avec son ministère. Que savons-nous de ces tribus infi
64 un Dieu qui se nomme « jaloux », les prophètes se lèvent contre eux et dénoncent leur idolâtrie20. Idole, tout ce qui détourne
65 18. « Le prophète n’a pas de biographie. Il se lève et tombe avec sa mission. » (Karl Barth, Parole de Dieu et parole hum
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
66 nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se levait et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
67 ofane19. On peut dire de ce peuple aussi qu’il se lève et qu’il tombe avec son ministère. Que savons-nous de ces tribus infi
68 un Dieu qui se nomme « jaloux », les prophètes se lèvent contre eux et dénoncent leur idolâtrie20. Idole, tout ce qui détourne
69 18. « Le prophète n’a pas de biographie. Il se lève et tombe avec sa mission. » (Karl Barth, Parole de Dieu et parole hum
40 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
70 nt en place, c’était alors l’arceau-soldat qui se levait et s’en allait un peu plus loin. Tandis que la Reine, au comble de la
41 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
71 es échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes levés pour sortir, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise.
72 es ordres de lui. À la fin, un des communistes se lève et résume le débat : « En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Di
73 bitudes » épuisent leur vertu. C’est le moment de lever son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des en
42 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
74 fois ! Poussés par leurs voisins, trois hommes se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra
75 alicieux aux copains de la salle. Le président se lève  : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o
76 poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da
77 on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève , et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v
43 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
78 r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
44 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
79 r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
45 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
80 connu et accepté — tu es le seul à le connaître — lève -toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des aut
46 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
81 r les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleul
82 is ! » Poussés par leurs voisins, trois hommes se lèvent en haussant les épaules pour s’excuser de se mettre en avant. Ils gra
83 alicieux aux copains de la salle. Le président se lève  : « Messieurs et dames, vous m’excuserez de ne pas vous présenter l’o
84 poser. Long silence embarrassé. Enfin un type se lève au fond de la salle et demande « s’il n’y a pas des contradictions da
85 on, mais assure qu’il a été bien intéressé. On se lève , et les langues se délient. « Il a bien parlé, hein ? », me dit mon v
47 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
86 es échanges bien pauvres…) Quand nous nous sommes levés pour sortir, le facteur ronflait, le front sur un dossier de chaise.
87 rdres que de lui. À la fin, un des communistes se lève et résume le débat : En somme, dit-il, si nous ne croyons pas en Dieu
88 bitudes » épuisent leur vertu. C’est le moment de lever son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des en
48 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
89 . J’étouffe un cri. À ce moment la grosse dame se lève et s’en va. Je balbutie, tremblant de colère : « Vous avez de la plac
90 nd rien. Que va-t-il se passer ? Simplement il se lève à l’arrêt : c’est un jeune homme, plutôt petit, quelconque, qui desce
49 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
91 erdu sa vertu pour une oreille habituée : « Il se lève et il tombe avec sa mission. » Nous ne savons rien du reste de sa vie
92 promesse que Dieu fit à Abraham. Cette tribu « se lève et tombe » avec la mission qu’elle incarne : « Préparer les voies du
93 un Dieu qui se nomme « jaloux », les Prophètes se lèvent contre eux et dénoncent leur idolâtrie66. Remarquons que la notion d’
50 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
94 et accepté — tu es seul à pouvoir le connaître — lève -toi et regarde les choses, les gestes incongrus et mécaniques des aut
51 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
95 tout de suite la religion… » Tout d’un coup il se lève de son tabouret et avec un grand geste, le doigt pointé en l’air : « 
96 uarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un coup. L’homme avance très lentement, saluant d’un geste lent, ép
52 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une révolution refoulée (juillet 1938)
97 , les voilà qui d’elles-mêmes se mettent en rang, lèvent le poing, acclament des caporaux. Ainsi l’Autriche fascinée s’est jet
53 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
98 étais le nouveau professeur. Je l’aborde et il se lève brusquement pour me saluer. Il lisait un livre français : La Révoluti
99 e Dr N. prononce son allocution. En terminant, il lève le bras d’un geste timide : — « Et en l’honneur de nos études romanes
100 tout de suite la religion… » Tout d’un coup il se lève de son tabouret et avec un grand geste, le doigt pointé en l’air : « 
101 uarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d’un seul coup. L’homme s’avance très lentement, saluant d’un geste l
54 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
102 uant d’un geste épiscopal, quarante mille bras se lèvent , et le tonnerre rythmé des heil commence. Et cela dure plusieurs minu
55 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
103 spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever . Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
56 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
104 i travaille fait plus que cent-mille mains qui se lèvent . 28. La critique des partis n’est stérile que dans la mesure où elle
57 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
105 ence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, se lever avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner après lui, à chaque
58 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
106 visière glissent d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisail
59 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
107 , éclatez en cris de joie ! Oui, tous en chœur, levez -vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui, to
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
108 te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède. Levez -vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et
61 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
109 aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se lever , et lui déposait un baiser sur le front. Premier baiser, généralement
62 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
110 érance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève -toi vers un espoir plus heureux — en contemplant le ciel qui tourne a
111 ls de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation : «  Levez -vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
112 . 153. On lit dans le Cantique des Cantiques : «  Levez -vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
63 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
113 u christianisme, dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
64 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
114 ’il s’annonce ! (Silence, puis plusieurs mains se lèvent .) La parole est au Landamman ! Le Landamman. —  Cet homme est un b
115 cause. Que ceux qui jugent en faveur du plaignant lèvent la main ! (Nicolas seul lève la main.) Que ceux qui jugent en faveur
116 aveur du plaignant lèvent la main ! (Nicolas seul lève la main.) Que ceux qui jugent en faveur de l’accusé lèvent la main !
117 main.) Que ceux qui jugent en faveur de l’accusé lèvent la main ! (Derrière les quatre autres juges surgissent quatre démons
118 débouté. Accusé, nous t’acquittons. La séance est levée . (Les démons gesticulent joyeusement.) Le plaignant. —  Lâches ! V
119 ée s’avance de quelques pas vers Nicolas. Nicolas lève la tête vers les voix. Dans un cercle de lumière apparaissent, au pla
65 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
120 ’on est ici à discuter, lui, là-haut, il est déjà levé pour ses prières. Il se lève toujours à minuit. Ça fait quand même qu
121 là-haut, il est déjà levé pour ses prières. Il se lève toujours à minuit. Ça fait quand même quelque chose, de penser qu’il
122 a clarté sois notre éveil toujours ! Surgissez et levez Qui le Seigneur aimez ! Le jour est commencé, la nuit évanouie Que Di
123 ar nous t’écoutons ! Prie pour nous, le danger se lève  ! Témoin frugal et prophétique Tu le voyais, tu nous avertissais !
124 é l’oreille. Mais le grand vent des plaines s’est levé , il emporte la voix du guetteur. Nicolas ! Nicolas ! Hélas ! Est-ce e
125 acrés. (Voix de femmes.) Quel est ce rêve qui se lève avec le vent des plaines et de la guerre ? Hélas ! où courons-nous ?
66 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
126 s débats. Écoutez ! (Ils s’arrêtent, les marteaux levés . Fanfare dans la coulisse.) Les voici ! Scène ii. (Musique de
127 enché vers Nicolas). —  Vois là-bas ! Ils se sont levés  ! Tout s’apprête pour la guerre ! Soldats rangés, armes fourbies, reg
128 oulisse. —  Je ne sais pas ! — Je les vois qui se lèvent  ! Voix sur la place. —  Ils se lèvent ! Voix de la coulisse. — 
129 s qui se lèvent ! Voix sur la place. —  Ils se lèvent  ! Voix de la coulisse. —  Ils se serrent les mains ! Ils s’embrass
130 z, éclatez en cris de joie ! Oui, tous, en chœur, levez -vous et chantez ! Dans la paix que notre Dieu nous envoie Oui tous, e
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
131 te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède. Levez -vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et g
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
132 aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se lever , et lui déposait un baiser sur le front. Désormais, ces amants seront
133 s de moi, et que jamais le guetteur n’annonçât le lever de l’aube ! Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! » Mais cet
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
134 érance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève -toi vers un espoir plus heureux – en contemplant le ciel qui tourne a
135 ils de la pâle Nuit. Et la célèbre invocation : «  Levez -vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
136 . 171. On lit dans le Cantique des Cantiques : «  Levez -vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
137 te » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède. Levez -vous, orages sonores de la mort de Tristan et d’Isolde ! Vieille et
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
138 aladin-poète un anneau d’or, lui enjoignait de se lever , et lui déposait un baiser sur le front. Désormais, ces amants seront
139 s de moi, et que jamais le guetteur n’annonçât le lever de l’aube ! Dieu ! c’est l’aube. Quelle vient donc vite ! Mais cett
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
140 érance qui trouve enfin son objet véritable : Or lève -toi vers un espoir plus heureux en contemplant le ciel qui tourne aut
141 s de la belle Nuit. Et la célèbre invocation : «  Levez -vous vite, orages désirés qui devez emporter René dans les espaces d’
142 . 160. On lit dans le Cantique des Cantiques : «  Levez -vous, aquilons, venez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses p
73 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
143 lte public, n’est pas sans portée spirituelle. Se lever , prier ensemble à haute voix, s’agenouiller, chanter spontanément un
74 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IX. Premiers résultats de notre action
144 temps, à l’appel du danger, nos ancêtres se sont levés . C’est notre tour. Pour le directoire : Denis de Rougemont.
75 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
145 au christianisme dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
76 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
146 onne toujours une tâche déterminée et immédiate : Lève -toi, et va dire telle chose à tel peuple. Nous n’avons entendu, jusqu
77 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
147 au christianisme dès qu’ils sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les caus
78 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Santé de la démocratie américaine (17 janvier 1941)
148 lierai pas le bonheur brillant dans tous ces yeux levés , la fraternisation générale des classes et des races, les plaisanteri
79 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
149 unesse. Et il pleurait. Une troisième fois, il se leva pour aller au marché de l’aube. — Tu n’as plus rien, lui dit le petit
80 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
150 l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé , vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
81 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
151 echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait lever des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
82 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
152 l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé , vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
83 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
153 echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait lever des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
84 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
154 l’heure de minuit. Ah ! tournons-nous, le visage levé , vers le symbole universel de la rigueur et de la paix profonde du pa
85 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
155 spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever . Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
86 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
156 echerche hasardeuse de moyens nouveaux, elle fait lever des monstres autour de nous. Imaginons une similitude assez exacte :
87 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
157 daine de l’ivresse devant le mortel danger qui se lève à un pas. Tous deux réalisent le renoncement, le deuxième temps de ce
88 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
158 tique, pareille à celle des hommes de Dieu qui se lèvent sous l’Ancienne Alliance, se confond avec la parole qui les conduira
159 la grandeur humaine (NRF). 31. « Le prophète se lève et tombe avec sa mission » (Karl Barth). Il n’a pas de biographie. Ri
89 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
160 s. « …On les voit sortir des bois dans le rose du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des gouttes de rosé
90 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
161 ence l’eût accablé. Qu’il dût, jour pour jour, se lever avec lui-même, se coucher avec lui-même, traîner avec lui, à chaque p
91 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
162 ersonnages constants du théâtre ; les ouvertures, levers de rideau, préfaces, finales, épilogues et points d’orgue ; la règle
163 osition des pions ; trois coups frappés d’avance, lever de rideau ; l’ouverture d’un opéra ; le cadre du tableau, etc. Des pr
92 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
164 olosse est à terre et deux super-colosses se sont levés , projetant leurs ombres démesurées — l’un de tout près — sur les débr
93 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
165 le rabat et pendant sur le dos. Tout le monde se lève , puis tout le monde se rassoit, et s’agenouille, se relève encore et
94 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
166 uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
95 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
167 e de la rivière où il baigne à mi-corps, quand il lève le bras vers ces fruits mûrs qui font ployer la branche au-dessus de
96 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
168 se transformerait le soir en lit et d’où, sans se lever , l’on atteindrait le téléphone, la poignée du frigidaire, les boutons
169 uvre au travail paisible. D’heure en heure, je me lève et sors. Je me promène sur cette terrasse qui fait le tour de mes cha
97 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
170 t que cela soit, eh bien… que cela soit ! Elle se lève et me suit. Nous allons chez elle. Un vertige, un sombre délire, et s
98 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
171 de ces mouvements ? Il y faudrait un théologien. Lever les bras au ciel, ou pointer le doigt du moraliste, n’est pas faire a
99 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
172 spense, le temps d’un peu se souvenir… Il faut se lever . Il faut entrer résolument dans le grand jour du siècle mécanique, ac
100 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
173 visière glissent d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisail