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ne. » (Aragon) 4. « Lorsque tout est fini » dans
Libertinage
. (NRF) 5. Détours de René Crevel ; les romans de Philippe Soupault
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er 1927. Relu Une vague de rêves et la préface de
Libertinage
. Sous une certaine rhétorique — mais la plus belle, — ce qui tressail
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s, et qui paraît affecter d’un commun penchant au
libertinage
mental trois phénomènes littéraires partout ailleurs divergents : « B
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tés à la fois par le marxisme, le fascisme, et le
libertinage
bourgeois. Dans la révolte de la personne contre l’État, il n’y a pas
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tés à la fois par le marxisme, le fascisme, et le
libertinage
bourgeois. Dans la révolte de la personne contre l’État, il n’y a pas
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nne de ne point trouver trace de ce qu’il nommait
libertinage
. L’Américain, me semble-t-il, n’est pas vicieux. Il est moral ou sans
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ubstitué aux préjugés du moralisme, mais aussi du
libertinage
; fuite générale devant l’intensité et les complexités sentimentales
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nne de ne point trouver trace de ce qu’il nommait
libertinage
. L’Américain, me semble-t-il, n’est pas vicieux. Il est moral ou sans
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ubstitué aux préjugés du moralisme, mais aussi du
libertinage
; fuite générale devant l’intensité et les complexités sentimentales
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jouer un rôle « heureux » dans le mariage, ou le
libertinage
, ou la passion. Sans parler du ressentiment qu’il arrive à chacun des
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haut — dans la défense et dans l’illustration du
libertinage
de l’esprit, contre la liberté chrétienne d’une part, qui est obéissa
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jouer un rôle « heureux » dans le mariage, ou le
libertinage
, ou la passion. Sans parler du ressentiment qu’il arrive à chacun des
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haut — dans la défense et dans l’illustration du
libertinage
de l’esprit, contre la liberté chrétienne d’une part, qui est obéissa