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devenir avec Kepler les astronomes. La conception
linéaire
du temps et du progrès continu de l’Histoire n’est guère soutenue que
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devenir avec Kepler les astronomes. La conception
linéaire
du temps et du progrès continu de l’Histoire n’est guère soutenue que
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La découverte et la relative acceptation du temps
linéaire
(et non plus cyclique) de l’Histoire se trouvent liées, en Occident,
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erve une dissociation de ces notions : le Progrès
linéaire
, continu, partant du chaos primitif pour se diriger sans relâche vers
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u’impliquait la croyance au Progrès88. Le progrès
linéaire
était nécessairement une conception optimiste. L’évolution laisse pla
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sait dans toutes les autres religions. Il devient
linéaire
, imprévu, il va vers un avenir chargé de nouveauté — l’aventure perma
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le déchiffrement des inscriptions crétoises en «
linéaire
A » par des savants anglais et américains : il s’agit d’un langage ph
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angile. Voici donc pour la première fois un temps
linéaire
, imprévu, qui s’en va vers l’avenir chargé de nouveautés, vers l’aven
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sont victimes d’une psychologie au moins désuète,
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et rationaliste, n’admettant que des motifs univoques, qui les condam
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y prétendre. Ce second terme de notre alternative
linéaire
conduit à une nouvelle bifurcation possible : l’Europe fédérée sur la
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ême inévitable en instaurant un temps historique,
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, où l’événement surprend et ne se produit qu’une fois, mais elle mini
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mpter les années, a introduit l’idée d’un progrès
linéaire
du temps, allant des origines du monde jusqu’au Christ, puis de la mo
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alité de la société occidentale l’idée d’histoire
linéaire
contre la conception cyclique ; l’idée de progrès possible contre cel
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uivante des éditeurs : « Il existe deux approches
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de l’histoire. L’une, abstraite, élimine le rôle de l’homme et les co