1
t Brémond ont su arracher leurs auditeurs de leur
lit
de préjugés pour les placer véritablement en face de la « réalité pro
2
, 1924… … y compris la Suède et la Norvège.) On
lit
dans les Nouvelles littéraires , du 8 janvier 1927, l’information su
3
il y eut trente membres et cent doigts dans deux
lits
. Combien cela fait-il de pieds et d’oreillles ? À signaler la fuite d
4
chambre, avant d’aller souper, je m’abats sur mon
lit
, les cheveux dans les mains. Et je voudrais pouvoir pleurer sur ma lâ
5
point trompé : « Avec son beau regard de rêve, —
lit
-on dans l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse du silence et ce
6
: il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce
lit
? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
7
ussent complètement l’esprit de l’enseignement »,
lit
-on jusque sous la plume de divers maîtres primaires et secondaires. I
8
ussent complètement l’esprit de l’enseignement »,
lit
-on jusque sous la plume de divers maîtres primaires et secondaires. I
9
« Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au
lit
… » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
10
Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune —
lit
-on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
11
té, de l’élégance et d’une musique de Strauss. Il
lit
des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les ant
12
« Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au
lit
… » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
13
Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune —
lit
-on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
14
: il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce
lit
? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
15
èces vides où la Lune avance comme un chat sur le
lit
conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jam
16
lumineux, le poêle blanc à chapiteau rococo et ce
lit
énorme aux édredons rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le so
17
uin 1929 Je suis assis en face du magazine que
lit
le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et
18
tesse est à l’harmonium ; le comte en face d’elle
lit
l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis
19
té, de l’élégance et d’une musique de Strauss. Il
lit
des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les ant
20
« Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au
lit
… » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
21
Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune —
lit
-on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
22
tesse est à l’harmonium ; le comte en face d’elle
lit
l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis
23
: il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce
lit
? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
24
èces vides où la Lune avance comme un chat sur le
lit
conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jam
25
lumineux, le poêle blanc à chapiteau rococo et ce
lit
énorme aux édredons rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le so
26
uin 1929 Je suis assis en face du magazine que
lit
le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et
27
seul devant l’admirable visage, debout au pied du
lit
, prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’une lignée. 20. Princ
28
et l’autre en même temps trois réponses. Puis on
lit
à haute voix les deux papiers. Jeu de hasard, ou de télépathie. J’ava
29
ierkegaard ? C’est l’homme dépourvu de sérieux »,
lit
-on dans un journal du temps. On se moquera de son aspect physique et
30
pur, une revanche, dût-on n’y parvenir jamais. On
lit
cette littérature pour « échapper aux soucis quotidiens »12, pour évi
31
s ici d’atmosphère ? On peut le croire, lorsqu’on
lit
, sous la plume de Jules Romains, que les jeunes auteurs de ce plan on
32
onomique ? 5. « Les généraux meurent dans leur
lit
. » 6. On compose des affiches péremptoires signées de quelques grand
33
e ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son
lit
. Certaines réalités se rappellent à nous avec un sérieux décisif, et
34
et rendue émouvante par toutes ces marques où se
lit
notre histoire… Cependant le regard qui se risque à déchiffrer le fas
35
ais enfin, c’est tout de même pour Lawrence qu’on
lit
ces dames. Pour quel Lawrence ? Je me demande si le souvenir de son œ
36
pays du monde. » Un inspecteur passait par là. Il
lit
le devoir. Tonnerre et foudres de ce pacifiste, qui n’hésite pas à dé
37
appe : ce mot Kampf, lutte, qu’on entend et qu’on
lit
partout, ici, dans tous les articles de journaux, dans tous les disco
38
t lui comme un éclair. « Sachez qu’à l’origine, —
lit
-on dans un dialogue de Kassner6 — toutes les créatures, le Soleil, la
39
n dieu, et pour cela le couche chaque soir sur un
lit
de braises. « Il supporte l’ardeur des charbons, et cette épreuve le
40
arler veut dire ? J’entends : quand tout le monde
lit
les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer
41
est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il
lit
trop de journaux. (Les données concrètes de la révolution nécessaire
42
ute urgence. 84. Signer un manifeste, sortir du
lit
, faire son testament, acheter un poste de radio, s’inscrire dans un p
43
arler veut dire ? J’entends : quand tout le monde
lit
les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer
44
est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il
lit
trop de journaux. (Les données concrètes de la révolution nécessaire
45
ns Anabase. 87. Signer un manifeste, sortir du
lit
, faire son testament, acheter un poste de radio, s’inscrire dans un p
46
l’air de le croire, ces messieurs. Pourtant : on
lit
de moins en moins, en France, où rien n’entrave la liberté d’éditer e
47
indifférent, habile et sensible à la fois. On le
lit
sans savoir pourquoi ; peut-être pour chercher, de page en page, ce q
48
mier lieu de l’inculture relative des masses. (On
lit
beaucoup moins en France qu’en Suisse et qu’en Allemagne.) Elle me pa
49
e enfin dans son urgence et son ampleur. Pourquoi
lit
-on si peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on comme premier réflexe
50
— curieusement appuyées par ce mot d’ordre qu’on
lit
p. 10 : « Ni Rome, ni Berlin, ni Moscou ! » — laissent peu de doutes
51
mme intitulé Au service de l’Esprit 46. Et l’on y
lit
que les fascistes sont les pires adversaires « de la personne humaine
52
nce que de très petits cercles d’élus ? Le peuple
lit
ce qu’on écrit pour lui, et si les grands esprits se désintéressent d
53
me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au
lit
, un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foul
54
es les deux heures. Quand elle sortait sa main du
lit
, cela fumait. « Vous avez eu de la fièvre ! » Elle ne sait pas. Elle
55
vez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la
lit
… Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lorsque le vieux gâteux l’
56
Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son
lit
, qu’elle ne veut pas le lâcher, c’est pour lui tenir compagnie… On a
57
à trois ou quatre mètres de l’écran. (Un drap de
lit
sur le tableau noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyan
58
e chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on
lit
dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxqu
59
traces ici ou là, c’est que le peuple, en France,
lit
trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple
60
ue le peuple, en France, lit trop de journaux, ne
lit
que cela, et finit par se croire « le Peuple », tel que l’imaginent l
61
el, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme
lit
des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’abord
62
et sa foi. On peut penser que l’inscription qu’on
lit
au Pavillon de la Suède éclaire à sa façon les arrière-plans de ce mi
63
au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du
lit
, je vais scier et fendre une grande bûche dans le chai, c’est encore
64
à trois ou quatre mètres de l’écran. (Un drap de
lit
sur le tableau noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyan
65
e chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on
lit
dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxqu
66
el, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme
lit
des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’abord
67
s traces ici ou là, c’est que le peuple de France
lit
trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple
68
que le peuple de France lit trop de journaux, ne
lit
que cela, et finit par se croire « le Peuple » tel que l’imaginent le
69
ur du jour d’aujourd’hui, c’est que le peuple qui
lit
les journaux a l’esprit plus « artializé » encore que les écrivains.
70
. Les clercs « parfaits ». « Je me fais servir au
lit
, on y est mieux pour penser », me confiait l’un de ces esprits « sere
71
me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au
lit
, un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foul
72
es les deux heures. Quand elle sortait sa main du
lit
, cela fumait. — « Vous avez eu de la fièvre ! » — Elle ne sait pas. E
73
pays est à l’image des quelques journaux qu’on y
lit
. Une autre impression que j’ai eue cet après-midi sur la place : cell
74
vez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la
lit
… Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lorsque le vieux gâteux l’
75
Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son
lit
, qu’elle ne veut pas le lâcher, c’est pour lui tenir compagnie… On a
76
uit personnes couchant dans une baraque à un seul
lit
. Tous ceux qui fuient la société et la police, les sans-nom, les rebu
77
léon : « Je ne suis jamais plus intelligent qu’au
lit
, quand je rêve de vous, car alors je dois vous créer moi-même vous et
78
religion qui n’est pas Dieu ; et soudain, sur son
lit
de mort, cette phrase : Je ne pense pas que ce soit mauvais, ce que
79
celui dont le moral est le plus solide. Quand on
lit
les travaux historiques les plus sérieux sur la naissance des trois g
80
ntaine et sacrée telles que la quasi-publicité du
lit
nuptial subsistèrent, dans certaines provinces, jusqu’en plein xviie
81
Zollamt de la gare pour retirer mes malles et le
lit
de mon petit garçon. — Si c’était un chariot de bébé, me dit-on, il p
82
t de bébé, me dit-on, il passerait. Mais c’est un
lit
, donc c’est un meuble. Il faut payer. — C’est un chariot, dis-je, pui
83
appe : ce mot Kampf, lutte, qu’on entend et qu’on
lit
partout, ici, dans tous les articles de journaux, dans tous les disco
84
illé, tandis qu’Albert Mermoud, en travers de son
lit
, les hottes pendantes, dépouille le courrier de la Guilde… Je ne puis
85
la photo jaunie du Chœur mixte en 1913. Deux bons
lits
de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplai
86
rendre les amants et leur tend un piège. Entre le
lit
de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
87
l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux
lits
. Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
88
e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au
lit
de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
89
ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un
lit
à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
90
ue, tu devras rester toujours dans les ténèbres.
lit
-on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
91
nit le plus inquiétant exemple (sa description du
lit
nuptial et de ce qui s’y passe !) 116. Karl Jaspers a magnifiquement
92
es épaules devant de tels enfantillages. 153. On
lit
dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
93
es une si belle Dame entre les pavillons de votre
lit
! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
94
insu, la méthode des Condottieri : La victoire (
lit
-on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
95
aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du
lit
nuptial » (Huizinga) subsistèrent, au moins dans les provinces, jusqu
96
t faite de pierres précieuses. Au milieu trône un
lit
de cristal, etc. Mais voici ce qui nous intéresse : Ce n’est pas san
97
ade, le mal est l’unique élément de la Nature. On
lit
dans la Nouvelle Justine : « Oui, j’abhorre la Nature : et c’est parc
98
er sourire. Nicolas. — Allons, maintenant, au
lit
tout le monde ! Venez embrasser papa ! (Tous embrassent leur père, l
99
rendre les amants et leur tend un piège. Entre le
lit
de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
100
l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux
lits
. Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
101
e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au
lit
de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
102
ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un
lit
à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
103
ant à la servir comme avant, il dort dans le même
lit
, du côté gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit
104
de l’architecture gothique naissante. Mais sur le
lit
substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel cat
105
e naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel,
lit
consacré à la déesse Minne comme l’autel catholique au Christ, s’opèr
106
oue, tu devras rester toujours dans les ténèbres.
lit
-on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
107
nit le plus inquiétant exemple (sa description du
lit
nuptial et de ce qui s’y passe !). 134. Karl Jaspers a magnifiquemen
108
es épaules devant de tels enfantillages. 171. On
lit
dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
109
es une si belle Dame entre les pavillons de votre
lit
! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
110
insu, la méthode des Condottieri : « La victoire (
lit
-on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
111
aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du
lit
nuptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces, jusqu’
112
rendre les amants et leur tend un piège. Entre le
lit
de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
113
l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux
lits
. Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
114
e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au
lit
de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
115
ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un
lit
à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
116
ant à la servir comme avant, il dort dans le même
lit
, du côté gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit
117
de l’architecture gothique naissante. Mais sur le
lit
substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel cat
118
e naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel,
lit
consacré à la déesse Minne comme l’autel catholique au Christ, s’opèr
119
ue, tu devras rester toujours dans les ténèbres.
lit
-on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
120
nit le plus inquiétant exemple (sa description du
lit
nuptial et de ce qui s’y passe !). 123. Karl Jaspers a magnifiquemen
121
es épaules devant de tels enfantillages. 160. On
lit
dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
122
es une si belle Dame entre les pavillons de votre
lit
! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
123
insu, la méthode des Condottieri : « La victoire (
lit
-on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
124
aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du
lit
nuptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces, jusqu’
125
t faite de pierres précieuses. Au milieu trône un
lit
de cristal, etc. Mais voici ce qui nous intéresse : Ce n’est pas san
126
ade, le mal est l’unique élément de la Nature. On
lit
dans la Nouvelle Justine : « Oui, j’abhorre la Nature : et c’est parc
127
jardin Il y a mille chambres au Palais, mille
lits
pour y rêver, mille pour y souffrir, il n’y a qu’un Amant : tu t’égar
128
C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au
lit
. » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
129
’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le
lit
d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
130
battre, et le laissa pour mort sur la descente de
lit
. Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
131
souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le
lit
dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’ar
132
C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au
lit
. » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
133
’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le
lit
d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
134
battre, et le laissa pour mort sur la descente de
lit
. Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
135
souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le
lit
dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’arc
136
C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au
lit
. » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
137
’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le
lit
d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
138
battre, et le laissa pour mort sur la descente de
lit
. Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
139
souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le
lit
dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’arc
140
ais non Constant (comme écrivain). Or personne ne
lit
plus Les Martyrs ni Corinne, et tout le monde croit aimer La Chartreu
141
distants et multiples. » ⁂ « Un homme d’esprit —
lit
-on dans Kierkegaard — disait qu’on pouvait répartir l’humanité en off
142
religion qui n’est pas Dieu ; et soudain, sur son
lit
de mort, cette phrase ingénument piétiste : « Je ne pense pas que ce
143
nt lui comme un éclair. « Sachez qu’à l’origine —
lit
-on dans un dialogue de Kassner30 —, toutes les créatures, le soleil,
144
Kierkegaard ? C’est l’homme dépourvu de sérieux »
lit
-on dans un journal du temps. On se moquera de son aspect physique et
145
ans avoir obtenu rien de certain. « Autour de son
lit
de mort, la commune se rassemble, et c’est à ce moment qu’arrive du C
146
ses sept héritiers naturels, un notaire ouvre et
lit
le testament. La dernière clause se trouve ainsi conçue : « Tous mes
147
nt et basculant, qui se transformerait le soir en
lit
et d’où, sans se lever, l’on atteindrait le téléphone, la poignée du
148
illé, tandis qu’Albert Mermoud, en travers de son
lit
, les bottes pendantes, dépouille le courrier de la Guilde du Livre… J
149
u « Chœur mixte » de la paroisse, 1913. Deux bons
lits
de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplai
150
stolet, que je déposais chaque soir à côté de mon
lit
, depuis quelque temps. La radio, heure par heure, accumule par petite
151
Genève, il y a plusieurs semaines. Quels journaux
lit
-on donc ici ? Désir secret des peuples de l’Europe : se rassurer à la
152
possible le ton de l’improvisation. Celles qu’on
lit
bien font moins d’effet que celles qu’on bafouille en souriant. Les u
153
d’une main aveugle. Il en retire un papier, il le
lit
. Comme on lirait l’arrêté du Destin. C’est bien ce qu’il savait, mais
154
chés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son
lit
qu’il avait fabriqué lui-même. Au crépuscule, j’aime errer sur les qu
155
Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon
lit
, sans que je bouge. J’ai lentement relu ma conférence de Buenos Aires
156
ntrant ce dessin : c’est moi ! » Le soir, il nous
lit
les fragments d’un livre énorme (« Je vais vous lire mon œuvre posthu
157
nt et basculant, qui se transformerait le soir en
lit
, et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone, la poignée du f