1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
1 t Brémond ont su arracher leurs auditeurs de leur lit de préjugés pour les placer véritablement en face de la « réalité pro
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
2 , 1924… … y compris la Suède et la Norvège.) On lit dans les Nouvelles littéraires , du 8 janvier 1927, l’information su
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
3 il y eut trente membres et cent doigts dans deux lits . Combien cela fait-il de pieds et d’oreillles ? À signaler la fuite d
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
4 chambre, avant d’aller souper, je m’abats sur mon lit , les cheveux dans les mains. Et je voudrais pouvoir pleurer sur ma lâ
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
5 point trompé : « Avec son beau regard de rêve, —  lit -on dans l’Ennemi des Lois — son expression amoureuse du silence et ce
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
6  : il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit  ? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
7 ussent complètement l’esprit de l’enseignement », lit -on jusque sous la plume de divers maîtres primaires et secondaires. I
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
8 ussent complètement l’esprit de l’enseignement », lit -on jusque sous la plume de divers maîtres primaires et secondaires. I
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 « Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au lit … » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
10  Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune — lit -on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
11 té, de l’élégance et d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les ant
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
12 « Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au lit … » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
13  Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune —  lit -on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
14  : il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit  ? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
14 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
15 èces vides où la Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jam
16 lumineux, le poêle blanc à chapiteau rococo et ce lit énorme aux édredons rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le so
17 uin 1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
18 tesse est à l’harmonium ; le comte en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
19 té, de l’élégance et d’une musique de Strauss. Il lit des vers sur le vent de printemps : la poésie est dans toutes les ant
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 « Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais au lit … » C’était au vestiaire, il enfilait une manche de pardessus, me donn
21  Tous ceux qui quittent ce monde vont à la Lune —  lit -on dans les upanishads. — Or si un homme n’est pas satisfait dans la
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
22 tesse est à l’harmonium ; le comte en face d’elle lit l’Écriture. Puis on chante et ce sont parfois des strophes de Novalis
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
23  : il y est comme chez lui. — Dormez-vous dans ce lit  ? — Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre. Il ne
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
24 èces vides où la Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jam
25 lumineux, le poêle blanc à chapiteau rococo et ce lit énorme aux édredons rebondis où l’on s’enfouit comme s’il était le so
26 uin 1929 Je suis assis en face du magazine que lit le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
27 seul devant l’admirable visage, debout au pied du lit , prolongeant le gisant, j’ai su que j’étais d’une lignée. 20. Princ
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
28 et l’autre en même temps trois réponses. Puis on lit à haute voix les deux papiers. Jeu de hasard, ou de télépathie. J’ava
23 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
29 ierkegaard ? C’est l’homme dépourvu de sérieux », lit -on dans un journal du temps. On se moquera de son aspect physique et
24 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
30 pur, une revanche, dût-on n’y parvenir jamais. On lit cette littérature pour « échapper aux soucis quotidiens »12, pour évi
25 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
31 s ici d’atmosphère ? On peut le croire, lorsqu’on lit , sous la plume de Jules Romains, que les jeunes auteurs de ce plan on
26 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
32 onomique ? 5. « Les généraux meurent dans leur lit . » 6. On compose des affiches péremptoires signées de quelques grand
27 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
33 e ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit . Certaines réalités se rappellent à nous avec un sérieux décisif, et
28 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
34 et rendue émouvante par toutes ces marques où se lit notre histoire… Cependant le regard qui se risque à déchiffrer le fas
29 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
35 ais enfin, c’est tout de même pour Lawrence qu’on lit ces dames. Pour quel Lawrence ? Je me demande si le souvenir de son œ
30 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
36 pays du monde. » Un inspecteur passait par là. Il lit le devoir. Tonnerre et foudres de ce pacifiste, qui n’hésite pas à dé
31 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
37 appe : ce mot Kampf, lutte, qu’on entend et qu’on lit partout, ici, dans tous les articles de journaux, dans tous les disco
32 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
38 t lui comme un éclair. « Sachez qu’à l’origine, —  lit -on dans un dialogue de Kassner6 — toutes les créatures, le Soleil, la
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
39 n dieu, et pour cela le couche chaque soir sur un lit de braises. « Il supporte l’ardeur des charbons, et cette épreuve le
34 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
40 arler veut dire ? J’entends : quand tout le monde lit les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer
35 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
41 est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journaux. (Les données concrètes de la révolution nécessaire
42 ute urgence. 84. Signer un manifeste, sortir du lit , faire son testament, acheter un poste de radio, s’inscrire dans un p
36 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
43 arler veut dire ? J’entends : quand tout le monde lit les journaux et prend au sérieux ce qu’ils impriment, sans remarquer
37 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
44 est plus le peuple populaire ; Péguy l’a dit : il lit trop de journaux. (Les données concrètes de la révolution nécessaire
45 ns Anabase. 87. Signer un manifeste, sortir du lit , faire son testament, acheter un poste de radio, s’inscrire dans un p
38 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
46 l’air de le croire, ces messieurs. Pourtant : on lit de moins en moins, en France, où rien n’entrave la liberté d’éditer e
39 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jean Blanzat, Septembre (janvier 1937)
47 indifférent, habile et sensible à la fois. On le lit sans savoir pourquoi ; peut-être pour chercher, de page en page, ce q
40 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
48 mier lieu de l’inculture relative des masses. (On lit beaucoup moins en France qu’en Suisse et qu’en Allemagne.) Elle me pa
41 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (II) : La grande misère de l’édition (22 février 1937)
49 e enfin dans son urgence et son ampleur. Pourquoi lit -on si peu ? Pourquoi, en temps de crise, a-t-on comme premier réflexe
42 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
50 — curieusement appuyées par ce mot d’ordre qu’on lit p. 10 : « Ni Rome, ni Berlin, ni Moscou ! » — laissent peu de doutes
43 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
51 mme intitulé Au service de l’Esprit 46. Et l’on y lit que les fascistes sont les pires adversaires « de la personne humaine
44 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (III) : Mission civique de la culture (1er mars 1937)
52 nce que de très petits cercles d’élus ? Le peuple lit ce qu’on écrit pour lui, et si les grands esprits se désintéressent d
45 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
53 me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au lit , un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foul
54 es les deux heures. Quand elle sortait sa main du lit , cela fumait. « Vous avez eu de la fièvre ! » Elle ne sait pas. Elle
55 vez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la lit … Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lorsque le vieux gâteux l’
46 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
56 Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit , qu’elle ne veut pas le lâcher, c’est pour lui tenir compagnie… On a
47 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
57 à trois ou quatre mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le tableau noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyan
58 e chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxqu
59 traces ici ou là, c’est que le peuple, en France, lit trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple
60 ue le peuple, en France, lit trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple », tel que l’imaginent l
48 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
61 el, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’abord
49 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
62 et sa foi. On peut penser que l’inscription qu’on lit au Pavillon de la Suède éclaire à sa façon les arrière-plans de ce mi
50 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
63 au milieu de la chambre. Chaque matin, au saut du lit , je vais scier et fendre une grande bûche dans le chai, c’est encore
64 à trois ou quatre mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le tableau noir.) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyan
65 e chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assemblées, et grâce auxqu
66 el, introuvables dans l’île. Pendant que ma femme lit des hebdomadaires, je vais renouer le fil de ce journal. Tout d’abord
67 s traces ici ou là, c’est que le peuple de France lit trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple
68 que le peuple de France lit trop de journaux, ne lit que cela, et finit par se croire « le Peuple » tel que l’imaginent le
69 ur du jour d’aujourd’hui, c’est que le peuple qui lit les journaux a l’esprit plus « artializé » encore que les écrivains.
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
70 . Les clercs « parfaits ». « Je me fais servir au lit , on y est mieux pour penser », me confiait l’un de ces esprits « sere
71 me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au lit , un gros édredon ramassé sur le ventre, les pieds découverts, un foul
72 es les deux heures. Quand elle sortait sa main du lit , cela fumait. — « Vous avez eu de la fièvre ! » — Elle ne sait pas. E
73 pays est à l’image des quelques journaux qu’on y lit . Une autre impression que j’ai eue cet après-midi sur la place : cell
74 vez qu’à donner la mienne, vous savez. Plus on la lit … Ce généreux apôtre de la cause va sortir, lorsque le vieux gâteux l’
75 Je viens d’aller la voir. Elle a un bâton sur son lit , qu’elle ne veut pas le lâcher, c’est pour lui tenir compagnie… On a
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
76 uit personnes couchant dans une baraque à un seul lit . Tous ceux qui fuient la société et la police, les sans-nom, les rebu
53 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
77 léon : « Je ne suis jamais plus intelligent qu’au lit , quand je rêve de vous, car alors je dois vous créer moi-même vous et
54 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
78 religion qui n’est pas Dieu ; et soudain, sur son lit de mort, cette phrase : Je ne pense pas que ce soit mauvais, ce que
55 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
79 celui dont le moral est le plus solide. Quand on lit les travaux historiques les plus sérieux sur la naissance des trois g
56 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
80 ntaine et sacrée telles que la quasi-publicité du lit nuptial subsistèrent, dans certaines provinces, jusqu’en plein xviie
57 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
81 Zollamt de la gare pour retirer mes malles et le lit de mon petit garçon. — Si c’était un chariot de bébé, me dit-on, il p
82 t de bébé, me dit-on, il passerait. Mais c’est un lit , donc c’est un meuble. Il faut payer. — C’est un chariot, dis-je, pui
83 appe : ce mot Kampf, lutte, qu’on entend et qu’on lit partout, ici, dans tous les articles de journaux, dans tous les disco
58 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
84 illé, tandis qu’Albert Mermoud, en travers de son lit , les hottes pendantes, dépouille le courrier de la Guilde… Je ne puis
85 la photo jaunie du Chœur mixte en 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplai
59 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
86 rendre les amants et leur tend un piège. Entre le lit de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
87 l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux lits . Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
88 e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
89 ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un lit à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
60 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
90 ue, tu devras rester toujours dans les ténèbres. lit -on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
91 nit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !) 116. Karl Jaspers a magnifiquement
61 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
92 es épaules devant de tels enfantillages. 153. On lit dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
62 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
93 es une si belle Dame entre les pavillons de votre lit  ! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
94 insu, la méthode des Condottieri : La victoire ( lit -on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
63 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
95 aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du lit nuptial » (Huizinga) subsistèrent, au moins dans les provinces, jusqu
64 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
96 t faite de pierres précieuses. Au milieu trône un lit de cristal, etc. Mais voici ce qui nous intéresse : Ce n’est pas san
97 ade, le mal est l’unique élément de la Nature. On lit dans la Nouvelle Justine : « Oui, j’abhorre la Nature : et c’est parc
65 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
98 er sourire. Nicolas. —  Allons, maintenant, au lit tout le monde ! Venez embrasser papa ! (Tous embrassent leur père, l
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
99 rendre les amants et leur tend un piège. Entre le lit de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
100 l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux lits . Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
101 e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
102 ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un lit à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
103 ant à la servir comme avant, il dort dans le même lit , du côté gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit
104 de l’architecture gothique naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel cat
105 e naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel catholique au Christ, s’opèr
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
106 oue, tu devras rester toujours dans les ténèbres. lit -on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
107 nit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 134. Karl Jaspers a magnifiquemen
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
108 es épaules devant de tels enfantillages. 171. On lit dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
109 es une si belle Dame entre les pavillons de votre lit  ! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
110 insu, la méthode des Condottieri : « La victoire ( lit -on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
111 aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du lit nuptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces, jusqu’
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
112 rendre les amants et leur tend un piège. Entre le lit de Tristan et celui de la reine, il sème de la « fleur de blé ». Tris
113 l franchit d’un saut l’espace qui sépare les deux lits . Mais une blessure récente qu’il a reçue à la jambe se rouvre par l’e
114 e. Tourmentée par la jalousie, elle s’en vient au lit de Tristan et lui annonce que la voile est noire. Tristan meurt. Iseu
115 ristan bondit par-dessus l’obstacle (le saut d’un lit à l’autre en est le symbole). Quitte à souffrir (sa blessure se rouvr
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
116 ant à la servir comme avant, il dort dans le même lit , du côté gauche. Pendant encore quatre mois, il dormira du côté droit
117 de l’architecture gothique naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel cat
118 e naissante. Mais sur le lit substitué à l’autel, lit consacré à la déesse Minne comme l’autel catholique au Christ, s’opèr
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
119 ue, tu devras rester toujours dans les ténèbres. lit -on dans une des laudes attribuée à Jacopone da Todi ou à son entourag
120 nit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 123. Karl Jaspers a magnifiquemen
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
121 es épaules devant de tels enfantillages. 160. On lit dans le Cantique des Cantiques : « Levez-vous, aquilons, venez autans
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
122 es une si belle Dame entre les pavillons de votre lit  ! » Il ne faudra pas s’étonner si les auteurs mystiques reprennent ce
123 insu, la méthode des Condottieri : « La victoire ( lit -on dans ses Œuvres) appartient toujours à celui qui a le dernier écu.
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
124 aine et sacrée telles que la « quasi-publicité du lit nuptial » (Huizinga) subsistèrent au moins dans les provinces, jusqu’
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
125 t faite de pierres précieuses. Au milieu trône un lit de cristal, etc. Mais voici ce qui nous intéresse : Ce n’est pas san
126 ade, le mal est l’unique élément de la Nature. On lit dans la Nouvelle Justine : « Oui, j’abhorre la Nature : et c’est parc
79 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
127 jardin Il y a mille chambres au Palais, mille lits pour y rêver, mille pour y souffrir, il n’y a qu’un Amant : tu t’égar
80 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
128 C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au lit . » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
81 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
129 ’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
130 battre, et le laissa pour mort sur la descente de lit . Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
82 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
131 souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’ar
83 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
132 C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au lit . » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
84 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
133 ’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
134 battre, et le laissa pour mort sur la descente de lit . Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
85 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
135 souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’arc
86 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
136 C’est comme la lutte avec une femme, qui finit au lit . » Mais on n’écrit jamais impunément, quel que soit le sujet en cause
87 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
137 ’être le sens de l’alliance jurée, c’est faire le lit d’une éthique de barbares. Prendre la femme du voisin ou ses terres p
138 battre, et le laissa pour mort sur la descente de lit . Puis elle s’endormit, fatiguée. Le lendemain, il vivait encore. — Po
88 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
139 souci de la victoire décisive. Car ainsi qu’on le lit dans l’Épître de Jude, étonnante explosion de lyrisme vengeur : L’arc
89 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
140 ais non Constant (comme écrivain). Or personne ne lit plus Les Martyrs ni Corinne, et tout le monde croit aimer La Chartreu
90 1944, Les Personnes du drame. Introduction
141 distants et multiples. » ⁂ « Un homme d’esprit —  lit -on dans Kierkegaard — disait qu’on pouvait répartir l’humanité en off
91 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
142 religion qui n’est pas Dieu ; et soudain, sur son lit de mort, cette phrase ingénument piétiste : « Je ne pense pas que ce
143 nt lui comme un éclair. « Sachez qu’à l’origine —  lit -on dans un dialogue de Kassner30 —, toutes les créatures, le soleil,
144 Kierkegaard ? C’est l’homme dépourvu de sérieux » lit -on dans un journal du temps. On se moquera de son aspect physique et
92 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
145 ans avoir obtenu rien de certain. « Autour de son lit de mort, la commune se rassemble, et c’est à ce moment qu’arrive du C
93 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
146 ses sept héritiers naturels, un notaire ouvre et lit le testament. La dernière clause se trouve ainsi conçue : « Tous mes
94 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
147 nt et basculant, qui se transformerait le soir en lit et d’où, sans se lever, l’on atteindrait le téléphone, la poignée du
95 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
148 illé, tandis qu’Albert Mermoud, en travers de son lit , les bottes pendantes, dépouille le courrier de la Guilde du Livre… J
149 u « Chœur mixte » de la paroisse, 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste, un désordre exemplai
96 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
150 stolet, que je déposais chaque soir à côté de mon lit , depuis quelque temps. La radio, heure par heure, accumule par petite
97 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
151 Genève, il y a plusieurs semaines. Quels journaux lit -on donc ici ? Désir secret des peuples de l’Europe : se rassurer à la
98 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
152 possible le ton de l’improvisation. Celles qu’on lit bien font moins d’effet que celles qu’on bafouille en souriant. Les u
153 d’une main aveugle. Il en retire un papier, il le lit . Comme on lirait l’arrêté du Destin. C’est bien ce qu’il savait, mais
154 chés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son lit qu’il avait fabriqué lui-même. Au crépuscule, j’aime errer sur les qu
99 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
155 Le téléphone a sonné plusieurs fois, près de mon lit , sans que je bouge. J’ai lentement relu ma conférence de Buenos Aires
156 ntrant ce dessin : c’est moi ! » Le soir, il nous lit les fragments d’un livre énorme (« Je vais vous lire mon œuvre posthu
100 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
157 nt et basculant, qui se transformerait le soir en lit , et d’où sans se lever l’on atteindrait le téléphone, la poignée du f