1
es M. Breton peut-il préconiser l’existence d’une
littérature
fondée sur de tels principes ? Le Rêve est la seule matière poétique.
2
el nos contemporains accumulent les documents. La
littérature
de ces dernières années n’est qu’une forme de reportage international
3
auteurs édités depuis lors les grands noms de la
littérature
européenne d’avant-guerre mêlés à ceux des maîtres du renouveau idéal
4
h Fischer donnent une juste idée de ce que fut la
littérature
d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la maison paraît s’être un
5
bien passionnant : celui de la renaissance d’une
littérature
nationale à la fois cause et effet de la libération politique. Cause,
6
volution tout de même, ne pouvait produire qu’une
littérature
très neuve de forme et traditionaliste d’inspiration, comme fut celle
7
. « Simone Téry : L’Île des bardes. “Notes sur la
littérature
irlandaise contemporaine” (Flammarion, Paris) », Bibliothèque univers
8
nt dans les générations nouvelles. Toute la jeune
littérature
décrit un type d’homme profondément antisocial, glorifie une morale r
9
ns son œuvre ? C’est ici la conception même de la
littérature
, telle qu’elle apparaît chez les émules de Barrès comme chez ceux de
10
ser. L’éthique et l’esthétique convergent dans la
littérature
d’aujourd’hui, et plusieurs déjà reconnaissent ne pas pouvoir les sép
11
évèle à la base de tous les problèmes modernes en
littérature
. Jacques Rivière s’y appliqua dans un de ses derniers articles2. Il r
12
e de soi, telle peut être l’épigraphe de toute la
littérature
moderne. Il n’a pas fallu longtemps aux Français pour pousser à bout
13
u’il se garde de juger5. Il y a véritablement une
littérature
de l’acte gratuit, qui restera caractéristique de notre époque. Mais
14
sion métaphorique et symbolique de la pensée : la
littérature
d’avant-garde est fille de la fatigue. La Muse a trop veillé. L’amour
15
d’agir contre elle. 2. « La crise du concept de
littérature
», NRF, 1923. 3. « Il s’était développé en nous un goût furieux de l
16
) o. « Adieu, beau désordre… (Notes sur la jeune
littérature
et la morale) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève,
17
re de vacances, qui finit par un naufrage dans la
littérature
, le navire succombant sous les allégories. L’étonnant, c’est que le l
18
eauiste, inspire, explique un vaste domaine de la
littérature
contemporaine. Cette sorte-là de sincérité, on la nomme gratuité. Laf
19
te volontaire, ou mieux : intéressé, tandis qu’en
littérature
je défends l’acte gratuit, je réponds que la littérature remplirait d
20
ture je défends l’acte gratuit, je réponds que la
littérature
remplirait déjà suffisamment son rôle en se bornant à nous donner de
21
r de l’incurable tristesse qui rôde dans certaine
littérature
d’aujourd’hui. J’ai dit : ravages du sincérisme. C’est plus exactemen
22
’il faudrait. Faillite de toute introspection, en
littérature
et en morale. Impossibilité de faire mon autoportrait moral : je boug
23
domaine littéraire que dans celui de l’action. En
littérature
: refus de construire, de composer ; impuissance à inventer. Car inve
24
ent le plus hardi et le plus original de la jeune
littérature
française. Il le proclame « J’appartiens à la grande race des torrent
25
llement énormes. Il faut remonter loin dans notre
littérature
pour trouver semblable domination de la langue. Et parmi les modernes
26
ieuses. Comment, en effet, ne pas voir la part de
littérature
que renferme cette œuvre, et qui fait, en dépit des prétentions désob
27
laffer du rapprochement les auteurs de manuels de
littérature
— : « Un mysticisme creux et affamé est le contrecoup du christianism
28
que12. Le reproche d’obscurité que l’on fait à la
littérature
moderne n’est qu’une manifestation de ce divorce radical entre l’époq
29
éalisme en tant qu’il n’est que le triomphe de la
littérature
sur la vie, mais d’avoir su en garder une passion pour la pureté, un
30
La part du feu. Lettres sur le mépris de la
littérature
(juillet 1927)o I Parler littérature Si je prononce le nom de
31
s de la littérature (juillet 1927)o I Parler
littérature
Si je prononce le nom de tel de vos confrères, si je dis : « Avez-
32
oût qu’on aurait pour Nietzsche : que c’est de la
littérature
. Alors, quelque paysan du Danube survenant : — Je vous croyais écriva
33
ivain ? — Hélas ! soupirez-vous. Mais j’ai tué la
littérature
en moi, n’en parlez plus, j’en sors, je l’abandonne… Mais notre paysa
34
allucinant » ou « purement gratuit ». C’est de la
littérature
. À force d’avoir mérité ces épithètes, pour nous laudatives, vous vo
35
Vous refusez de compter avec cette réalité de la
littérature
qui est en nous (dangereuse tant que vous voudrez). Mais ce refus n’e
36
à force de le crier sur les toits. Ainsi, parler
littérature
, c’est faire la part du feu. Je dis ces noms, ces opinions, ces titre
37
irt est à l’amour. II Sur l’insuffisance de la
littérature
On reconnaît un écrivain, aujourd’hui, à ce qu’il ne tolère pas qu
38
urd’hui, à ce qu’il ne tolère pas qu’on lui parle
littérature
. Mais il y a des mépris qui sont de sournoises déclarations d’amour.
39
une très haute idée de la religion. Ainsi, de la
littérature
: votre mépris pour ses réalisations actuelles donne la mesure de ce
40
savez bien que nous cherchons autre chose que la
littérature
. Que la littérature nous est un moyen seulement d’atteindre et de pré
41
cherchons autre chose que la littérature. Que la
littérature
nous est un moyen seulement d’atteindre et de préparer d’autres chose
42
sons de nous battre contre des moulins à vent. La
littérature
, considérée du point de vue de la psychologie de l’écrivain, est un b
43
ticulier, toute connaissance véritable du monde.)
Littérature
: un vice ? Peut-être. Ou une maladie ? Ce n’est pas en l’ignorant pa
44
cile que d’y échapper. III Sur l’utilité de la
littérature
Montherlant me paraît être le moins « littératuré » des écrivains
45
uré » des écrivains d’aujourd’hui. Quand il parle
littérature
, il a toujours l’air de mettre un peu les pieds dans le plat, de dire
46
s, qu’elle les entretient. Bande de gigolos de la
littérature
! Qu’on puisse vivre de ça, je ne l’ai pas encore avalé. On m’affirme
47
voyez bien que votre attitude méprisante pour la
littérature
vous ferait bientôt renier le signe le plus certain par lequel ces «
48
lle n’aurait plus d’autre excuse que celle-là, la
littérature
mériterait d’exister : qu’elle soit le langage chiffré de notre inqui
49
i donc les seules révélations que j’attende de la
littérature
: que celle des autres m’aide à prendre conscience de moi-même ; que
50
o. « La part du feu. Lettres sur le mépris de la
littérature
», Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève-Fribourg, n° 8,
52
le plus favorable, « il se passera bien de cette
littérature
». Plus tard, « puisqu’elle n’est pas utile, elle est nuisible ». « …
53
ous longtemps encore dupes d’une conception de la
littérature
si pédante qu’elle exclut un de nos plus grands conteurs sous prétext
54
Jules Verne aux enfants ? J’allais oublier que la
littérature
enfantine est le dernier bateau. Pour ce coup, voilà qui ne m’empêche
55
ance — vers la politique. Or ces ennemis de toute
littérature
voient leurs avances dédaignées par les communistes, gens d’action à
56
utes parts annoncent une rentrée de l’âme dans la
littérature
la plus spirituelle du monde. La thèse que défend l’auteur de cet ess
57
fit pour s’en convaincre de parcourir l’abondante
littérature
publiée sur le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nou
58
fit pour s’en convaincre de parcourir l’abondante
littérature
publiée sur le « problème de l’école nouvelle ». On appelle école nou
59
, où se mêle, selon l’auteur un peu ou pas mal de
littérature
. Et c’est à un tel amour qu’on va demander sa revanche contre la mesq
60
u’ici à Ducasse. Ce « précurseur » d’une certaine
littérature
moderne n’a fait, en somme, que reprendre, quitte à les parodier, les
61
e Rimbaud est aux prises, et il n’a cure de cette
littérature
que Ducasse s’épuise à parodier.) Il semble qu’ici M. Pierre-Quint, m
62
ir en Lautréamont « le maître des écluses pour la
littérature
de demain ». Concession un peu hâtive à une « jeunesse » déjà démodée
63
où les courtiers ne donnent pas encore le ton. La
littérature
hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces lég
64
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une
littérature
officielle destinée à remplir les revues bien pensantes. Elle traite
65
blème central, qui déborde le plan esthétique, la
littérature
ne constitue pas moins un cas privilégié. Et parce que M. Du Bos ne c
66
es ne « sont ». L’on mesure ici l’écart d’avec la
littérature
d’avant-guerre, qui était avant tout un art. La nôtre ayant voix au f
67
hants, qui comptent parmi les chefs-d’œuvre de la
littérature
religieuse. Celui de La Princesse Blanche 20 donne sans aucun doute
69
ité pour entreprendre cette « traversée » de deux
littératures
. Combien d’heures de marche monotone à travers des moraines et des né
70
e qui frappe dès l’abord, c’est la pauvreté de la
littérature
alpestre en France. À part Sénancour, aucun de nos écrivains n’a su p
71
dra pas un moderne ; mais elle est unique dans la
littérature
française du xixe . La littérature anglaise, au contraire, a donné to
72
unique dans la littérature française du xixe . La
littérature
anglaise, au contraire, a donné toute une suite de chefs-d’œuvre lyri
73
changeons de monde. À vrai dire, nous quittons la
littérature
. « Celui qui sait respirer l’atmosphère de mon œuvre sait que c’est u
74
escalade. Et comme elles s’opposent à la médiocre
littérature
qui transforme les sommets en images d’un Dieu vertueux, ou en rempar
75
utre chose qu’une intrigue de palaces ? 22. La
Littérature
alpestre en France et en Angleterre, aux xviiie et xixe siècles. (L
76
23. Dans Essais et Analyses. (Crès, 1926.) i. «
Littérature
alpestre », Foi et Vie, Paris, n° 29, juillet 1931, p. 548-551
77
s de l’homme, nous les connaissons de reste et la
littérature
de nos jours n’est que trop habile à les dénoncer ; mais le surpassem
78
al intime, comme Gide — que le journal intime, la
littérature
intime sont un produit autochtone de la terre protestante et de l’esp
79
s’est écrite dans les pages innombrables de notre
littérature
. L’ouverture s’est faite, mais non du bon côté ; l’âme, que tourmente
80
contes romantiques, cas tout à fait rare dans la
littérature
française, et qui comporte en soi quelque chose de déconcertant. Il s
81
ici qu’on proclame au contraire l’avènement d’une
littérature
nouvelle28, dont cette œuvre serait comme le frontispice (aux beaux n
82
ériences, à mesure qu’on les abstrait de toute la
littérature
dont elles enveloppèrent leurs manifestations, — à quoi l’on ne s’est
83
de tels auspices, c’est tout naturellement que la
littérature
prendra plus tard chez Goethe l’allure d’une discipline de l’âme. Un
84
cement. Nous aurions combiné tout cela avec de la
littérature
. Car il n’est pas donné à beaucoup d’hommes de devenir un mythe à for
85
la fois. Le « faire » de Rimbaud ne peut être la
littérature
, puisque écrire signifie pour lui révéler, parler, crier, miraculer l
86
ntraire l’on peut considérer sans paradoxe que la
littérature
de Goethe est un des moyens de silence dont il dispose. Ni plus ni mo
87
s dupe, qu’il n’est pas si furieux que ça, que la
littérature
enfin garde ses droits. Aussi n’est-ce point sans une gêne grandissan
88
crié au loup, par goût des atmosphères tragiques.
Littérature
et mauvais caractère. Il y avait de quoi vous fâcher, braves gens, vo
89
ù les courtiers ne donnent pas encore le ton. La
littérature
hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces lég
90
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une
littérature
officielle destinée à remplir les revues bien pensantes. Elle traite
91
t-elle pas une de vos inventions ? Et toute votre
littérature
est occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au servi
92
où les courtiers ne donnent pas encore le ton. La
littérature
hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces lég
93
, d’ailleurs israélite. Il y a, bien entendu, une
littérature
officielle destinée à remplir les revues bien pensantes. Elle traite
94
t-elle pas une de vos inventions ? Et toute votre
littérature
est occupée à décrire vos satiétés, quand elle ne se met pas au servi
95
démocratie du monde19 ; tant de culture et peu de
littérature
; tant de bon sens professé et de fous à soigner ; tout un petit mond
96
au style subtil et naturel, Félix Bovet. Mais la
littérature
au sens étroit du terme — le roman, le poème, l’essai, le jeu d’idées
97
, sans se lasser du romanesque, découvrent que la
littérature
peut apporter, sous d’autres formes, un agrément, un repos, un exerci
98
anesques va en diminuant, et cela au profit d’une
littérature
qui tient à la fois de l’histoire, de la politique, de la morale et d
99
posent des problèmes ». On appelait cela de la «
littérature
difficile », non pas qu’une intelligence moyenne éprouvât des difficu
100
es écrits faisaient penser. J’exagère à peine. La
littérature
de l’après-guerre, faite en grande partie par des hommes qui n’avaien
101
errés par les jésuites dans leurs Histoires de la
littérature
française (pour ne rien dire des lamentables dédains de M. Lanson par
102
cclésiaste jusqu’au romancier le plus moderne, la
littérature
universelle semble n’avoir voulu mettre en figures nos désirs et nos
103
ch6, qui vient combler la plus grave lacune de la
littérature
kierkegaardienne en France. On ne saurait trop insister sur l’utilité
104
clairement et fidèlement, sans pédantisme et sans
littérature
. Tant de biographes brillent aux dépens de leur modèle ! Modeste et s
106
le ! Et qu’on le dise ! Toute la bassesse de la «
littérature
» moderne se résume, à mon sens, en une phrase un peu grossière : c’e
107
sens, en une phrase un peu grossière : c’est une
littérature
qui aime parler pour ne rien dire. Elle n’est occupée qu’à « bien » d
108
homme renouvelé. Nous ne clamons pas la fin de la
littérature
des autres au nom d’une littérature à nous. Nous constatons la fin d’
109
la fin de la littérature des autres au nom d’une
littérature
à nous. Nous constatons la fin d’un art au nom de ce qui juge l’art,
110
; ils sont, ils veulent être humains. Fin d’une
littérature
Je me propose de simplifier. Dans la littérature bourgeoise, celle
111
ttérature Je me propose de simplifier. Dans la
littérature
bourgeoise, celle qui est née avec le romantisme, il me semble qu’on
112
evanche, dût-on n’y parvenir jamais. On lit cette
littérature
pour « échapper aux soucis quotidiens »12, pour éviter, en fait, de r
113
c’est la bonne conscience idéaliste du régime. «
Littérature
», opium des peuples incroyants. Notre troisième espèce est plus rare
114
rois, qui ne sont pas littérateurs, qui seront la
littérature
quand tous les autres auront passé. Mais la conscience bourgeoise les
115
e ce qu’il dit —, la critique littéraire de cette
littérature
n’a plus de sens réel, ni plus d’autorité. Critiquer, c’est d’abord p
116
e critique dépourvue de critère indépendant de la
littérature
est condamnée à ne plus critiquer que les moyens de cette littérature
117
amnée à ne plus critiquer que les moyens de cette
littérature
. Elle les juge pour eux-mêmes, sans rapport à leurs fins. Elle dit :
118
’appelle la sociologie. La grande faiblesse de la
littérature
actuelle, c’est qu’elle s’est rendue justiciable de la critique des m
119
n-bourgeois — qui pâtit du désordre établi. Notre
littérature
déshumanise l’homme, soit qu’elle refuse de l’enseigner, soit qu’elle
120
Il n’y a pas d’exemples, dans l’histoire, qu’une
littérature
sans nécessité intérieure, — c’est-à-dire sans message positif et pop
121
tes. Nous risquons de voir, avant peu, cette même
littérature
« mise au pas » par l’État fasciste13. Que pourrait-elle lui opposer
122
lle n’a pas de visée humaine, elle n’est plus que
littérature
, et les fameuses « valeurs » littéraires, on sait qu’elles sont de pe
123
Notre individualisme travaille pour l’État. Notre
littérature
travaille contre l’esprit. Préface à l’imprévisible Une littéra
124
ntre l’esprit. Préface à l’imprévisible Une
littérature
n’est valable — et son influence efficace — que si elle ordonne ses œ
125
s. Nous rejoignons ici le propos de ces pages. La
littérature
nouvelle sera le fait de l’homme renouvelé, je ne dis pas de l’homme
126
c. Une fois posés ces fondements spirituels d’une
littérature
rénovée, qu’aurions-nous la témérité et la naïveté de prévoir ? On ne
127
révoir ? On ne prévoit pas un chef-d’œuvre, et la
littérature
, c’est d’abord les chefs-d’œuvre. Mais avant l’œuvre, il y a l’appel
128
r, qui est sans doute le pire des partis pris. La
littérature
romanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et nos malheurs avec une
129
a Russie contemporaine restaurer le pouvoir de la
littérature
sur les masses, parce qu’elle restaure une conscience commune. Nous v
130
e à tromper. Il est bon, il est nécessaire que la
littérature
enseigne le public. Encore faut-il qu’elle enseigne assez haut. Pas t
131
Il y faut bien autant de talent qu’en exige notre
littérature
, et quelques vertus d’homme et de « penseur » en plus. J’indiquerai t
132
emple, des « idées » qu’ils mettent en action. La
littérature
nouvelle, couronnant un ordre nouveau, sera forcément plus soucieuse
133
s de l’écrivain et le séparent de l’humanité. Une
littérature
personnaliste rétablira la hiérarchie, rendra aux moyens d’expression
134
les mémoires et « livres de raison » rédigés sans
littérature
. Voilà qui est banal ? Je n’en suis pas fâché. Aucune révolution n’a
135
c) cette collection. » 13. J’inclus dans « cette
littérature
» la révolte surréaliste. Une révolte qui n’a pas su s’assigner des b
136
responsable envers lui-même. f. « Préface à une
littérature
», Esprit, Paris, n° 25, octobre 1934, p. 24-33.
137
Malraux n’ont pas toujours renoncé à faire de la
littérature
. On comprend bien que je n’oppose pas ici le nationaliste au communis
138
es « variétés » publicitaires et en général de la
littérature
de Prisunic ; 3° parce qu’ils flanquent le cafard aux hommes sobres d
139
par manière de conclusion à cette Préface à une
littérature
, qu’on a pu lire ici le mois dernier. Ah ! nous sommes loin — (avec
140
mptabilité bonne peut-être pour l’historien de la
littérature
. Nous n’avons pas le cœur à ces injures. Le surréalisme garde une val
141
ce titre, il marque une époque, bien plus qu’une
littérature
. Ces quelques hommes — je parle des meilleurs d’entre eux — ont certa
142
sé, à l’abri duquel on pouvait faire encore de la
littérature
, certes, mais on ne pouvait faire que cela. Ce serait un jeu que de l
143
crié au loup, par goût des atmosphères tragiques.
Littérature
et mauvais caractère. Il y avait de quoi vous fâcher, braves gens, vo
144
, mais il a su le décrire sans pédantisme et sans
littérature
. Tant de biographes brillent aux dépens de leur modèle. Modeste et sû
145
crié au loup, par goût des atmosphères tragiques.
Littérature
et mauvais caractère. Il y avait de quoi vous fâcher, braves gens, vo
146
les uns s’en détournent avec dégoût et font de la
littérature
ou du commerce, les autres s’y abandonnent avec délices et deviennent
147
end un sens à l’amour humain, disqualifié dans la
littérature
d’aujourd’hui par trop d’indiscrétions excitées et vulgaires. Que dir
148
e dont on cherche en vain l’équivalent dans notre
littérature
d’après-guerre. Personne n’en a parlé : on s’occupait du prix Goncour
149
ement biblique, comportera toujours une part de «
littérature
», une tentative de représenter aux yeux des fidèles les choses qu’il
150
éologie, l’histoire des arts, des techniques, des
littératures
, depuis Lavoisier, Faraday et Champollion, jusqu’aux maîtres glorieux
151
au sujet de la sociologie ou de l’histoire de la
littérature
. Je ne veux indiquer que l’amorce d’une critique générale de notre éd
152
dmettent plus qu’une seule espèce d’héroïsme : la
littérature
de M. Malraux, qui se passe en Chine. C’est peut-être mieux que le pa
153
a en temps de paix, comble d’hypocrisie ! ⁂ La
littérature
rajeunit On a pu lire récemment dans le plus « littéraire » de nos
154
qu’il y avait tant à faire dans le domaine de la
littérature
désintéressée. Quel est le jeune amoureux des Lettres qui aura gardé
155
squels rien de très grand n’a pu se faire dans la
littérature
, depuis que Goethe est mort et que le monde est moderne. À preuve Bal
156
ses idées et de ses actes. D’où naît une certaine
littérature
d’intrigues pour laquelle il est clair que Ramuz n’est pas doué. La f
157
oup, la voix d’un homme. C’est assez rare dans la
littérature
. Qui voudrait exiger davantage ? — J’imagine parfois davantage. Certa
158
onne à la suite de Kierkegaard… Tout le reste est
littérature
, « littérature kierkegaardienne » évidemment, « admiration » et non «
159
de Kierkegaard… Tout le reste est littérature, «
littérature
kierkegaardienne » évidemment, « admiration » et non « imitation ». M
160
les uns s’en détournent avec dégoût et font de la
littérature
ou du commerce, les autres s’y abandonnent avec délices et deviennent
161
énient à priori, mais à coup sûr, il s’agit là de
littérature
, bien que l’auteur s’en défende dans sa préface. Cela nous vaut des p
162
critique par divers écrivains communistes, que la
littérature
conforme au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de prop
163
politique, et de publicité industrielle. La seule
littérature
digne du nom qu’ait produite la nouvelle Russie s’est développée en m
164
ent jusqu’ici de prendre conscience du danger. La
littérature
soviétique est née de la révolution. Elle s’est constituée en même te
165
ter, on chercha des modèles et des trucs dans les
littératures
bourgeoises, au hasard des tendances politiques affichées par leurs g
166
ux presque impossibles à réparer. S’il s’agit de
littérature
, la traduction des métaphores de Diderot est trop aisée. « Affaisseme
167
rminé par les clauses d’un contrat commercial. La
littérature
d’aujourd’hui pose à chaque instant des questions qui ne sont pas du
168
caduc c’est la culture, c’est l’art, c’est cette
littérature
qui parle dans le vide, pour rien de grand, pour personne de concret,
169
e impossible à réparer ». La faute n’est pas à la
littérature
seule, mais à tout un régime social qui l’a laissée devenir ce qu’ell
170
xerce une fonction nécessaire. Toutes les grandes
littératures
sont nées d’une révolution, non d’une émeute dans les lettres. Pour q
171
rès cela seulement, le reste aura le droit d’être
littérature
. u. « Note sur nos notes », Esprit, Paris, n° 50, novembre 1936, p.
172
t, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de
littérature
, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents partenaires change
173
t, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de
littérature
, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents partenaires change
174
critique par divers écrivains communistes, que la
littérature
conforme au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de prop
175
politique et de publicité industrielle. La seule
littérature
digne du nom qu’ait produite la nouvelle Russie s’est développée en m
176
ent jusqu’ici de prendre conscience du danger. La
littérature
soviétique est née de la révolution. Elle s’est constituée en même te
177
ter, on chercha des modèles et des trucs dans les
littératures
bourgeoises, au hasard des tendances politiques affichées par leurs g
178
notion de primauté du matériel. Tout le reste est
littérature
, sophisme, et confusion de la tactique avec la vérité.
179
yens60. » — « Une seule chose m’intéresse dans la
littérature
: les moyens et la conscience que l’on en prend61. » Une seule chose
180
ention scientifique. Il faut une érudition et une
littérature
, mais qui se donnent pour ce qu’elles sont. 58. Théorie soutenue par
181
ouffrance, responsabilité de la pensée, but de la
littérature
, valeur de l’argent, sens dernier du progrès matériel, etc. Je ne dis
182
urieusement abusé du sens du mot original dans la
littérature
moderne. Le principe de cette altération est d’ailleurs symbolique du
183
ur », vice d’évasion qui affecte presque toute la
littérature
contemporaine. Laquelle l’a propagé dans les couches populaires avec
184
rnier trait qui est grave. En vérité, c’est cette
littérature
— celle du film, celle du journal, celle du roman — qui est l’opium d
185
t, qu’il s’agisse de politique, de religion ou de
littérature
, nous offrent l’image d’un jeu dont les différents partenaires change
186
critique par divers écrivains communistes, que la
littérature
conforme au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de prop
187
politique et de publicité industrielle. La seule
littérature
digne du nom qu’ait produite la nouvelle Russie s’est développée en m
188
ent jusqu’ici de prendre conscience du danger. La
littérature
soviétique est née de la révolution. Elle s’est constituée en même te
189
ter, on chercha des modèles et des trucs dans les
littératures
bourgeoises, au hasard des tendances politiques affichées par leurs g
190
notion de primauté du matériel. Tout le reste est
littérature
, sophisme, et confusion de la tactique avec la vérité.
191
yens62. » — « Une seule chose m’intéresse dans la
littérature
: les moyens et la conscience que l’on en prend63. » Une seule chose
192
ention scientifique. Il faut une érudition et une
littérature
, mais qui se donnent pour ce qu’elles sont. 60. Théorie soutenue par
193
ouffrance, responsabilité de la pensée, but de la
littérature
, valeur de l’argent, sens dernier du progrès matériel, etc. Je ne dis
194
usement abusé du sens du mot « original » dans la
littérature
moderne. Le principe de cette altération est d’ailleurs symbolique du
195
ur », vice d’évasion qui affecte presque toute la
littérature
contemporaine. Laquelle l’a propagé dans les couches populaires avec
196
rnier trait qui est grave. En vérité, c’est cette
littérature
— celle du film, celle du journal, celle du roman — qui est l’opium d
197
prennent-ils un second métier, ces écrivains ! La
littérature
n’est qu’un luxe, elle n’a pas à nourrir son homme. Et l’on cite M. D
198
écessités du journalisme ne sont pas celles de la
littérature
pure, et nombre d’écrivains des mieux doués s’y montrent assez inhabi
199
qu’il faut vivre ! Règne de la publicité et de la
littérature
faite sur commande, comme s’il ne s’agissait vraiment que de commerce
200
part, en effet, la culture, et en particulier la
littérature
, a voulu se séparer des intérêts fondamentaux de la nation. Ce phénom
201
pareille. Alors le champ devient libre pour une «
littérature
» commerciale qui, elle, ne sera soucieuse que de plaire à bon compte
203
critiqué le dernier chapitre de l’Histoire de la
littérature
française de Thibaudeti : celui qui est consacré à l’après-guerre. II
204
époque méritait mieux. Époque bâclée, elle aussi,
littérature
bâclée, surtout la romanesque. Jamais on ne l’avait vu et constaté au
205
miste, et sur l’expression de « dégradation de la
littérature
, au sens où les physiciens s’intéressent à la dégradation de l’énergi
206
l’art est une construction. Il semble bien que la
littérature
la plus récente s’oriente déjà vers d’autres formes. Les gros romans
207
l’homme, préparation modeste et nécessaire à une
littérature
vraiment personnaliste. h. « Vers une littérature personnaliste »,
208
ttérature vraiment personnaliste. h. « Vers une
littérature
personnaliste », À nous la liberté, Paris, n° 3, 20 mars 1937, p. 10.
209
une précision admirables, M. Béguin rend à notre
littérature
un service dont on ne saurait exagérer l’importance. Je n’hésite pas
210
Albert Thibaudet, Histoire de la
littérature
française de 1789 à nos jours (mars 1937)ad Comment juger ce qui n
211
s’attaquant en effet plutôt au fondement de toute
littérature
… Célibataire qui ne voulut épouser que l’élan vital de la littérature
212
aire qui ne voulut épouser que l’élan vital de la
littérature
(sans se demander d’où il venait, où il allait), ce bergsonien pittor
213
essert ! ad. « Albert Thibaudet, Histoire de la
littérature
française de 1789 à nos jours, Stock », Esprit, Paris, n° 54, mars 19
214
Lénine, Staline et la
littérature
(17 avril 1937)l Pour lutter contre le fascisme, les communistes p
215
ette défense que des moyens fascistes. « Toute la
littérature
sociale-démocrate — écrit Lénine en 1905 déjà ! — doit devenir une li
216
— écrit Lénine en 1905 déjà ! — doit devenir une
littérature
de Parti. » Et Staline fait écho, trente ans plus tard, à cette décla
217
un choix de propos de Lénine et de Staline Sur la
littérature
et l’art. Disons tout de suite que le Père des peuples n’a fourni pou
218
r sa manière à celle de Lénine. Lénine affiche en
littérature
des goûts tantôt traditionnels et presque scolaires (Lermontov, Pouch
219
t à l’évidence que les « idées » de Lénine sur la
littérature
étaient en général saines, banales, un peu courtes, et que Staline s’
220
décident de tout ». l. « Lénine, Staline et la
littérature
», À nous la liberté, Paris, n° 7, 17 avril 1937, p. 10.
221
me soumise au mal. Tout le reste est psychologie,
littérature
et scolastique. Il n’en reste pas moins qu’aux yeux de la raison — ce
222
part, dans les déclarations de Bataille que de la
littérature
(parfois belle d’ailleurs). Ce qui résulte le plus nettement des tend
223
cours ruraux, « journées sociales », amateurs de
littérature
, philosophes, paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des
224
es, grandes secousses, indiscrétions, toute cette
littérature
est sans doute pleine de talent, elle est même littéralement sensatio
225
trouve à lui recommander que des traductions. La
littérature
moderne en France n’a guère à donner à ceux qui ont faim de nourritur
226
tre actuel, ou sont censés croire actuel, dans la
littérature
ou les idées. C’est cela qui paie, et qui m’ennuie. Après quoi, je po
227
Et peut-être, avec lui, l’art tout court. Dans la
littérature
du xxe siècle, il n’y a plus de grands mythes, il y a des analyses.
228
s qu’il agit sans charité (thème fréquent dans la
littérature
nordique). C’est à l’avant-dernière page seulement que le sens profon
229
)ak La place qu’il conviendrait de donner à la
littérature
, dans Esprit , c’est une question qui se pose à nos lecteurs, parce
230
, sous une forme plus générale, la question de la
littérature
en soi et de la place qu’il conviendrait de lui donner dans la cité,
231
pposer valablement aux ambitions totalitaires. La
littérature
agit sur l’époque, c’est évident, mais une littérature donnée, en tan
232
rature agit sur l’époque, c’est évident, mais une
littérature
donnée, en tant qu’ensemble caractérisé par certaines formes, par cer
233
it d’une époque. C’est pourquoi la question d’une
littérature
personnaliste reste pour nous inséparable de la création, de l’avènem
234
œuf ou de la poule ; et qui doit commencer, de la
littérature
ou de l’ordre social. Notre effort ne saurait porter, avec quelque ef
235
velle de celle qui s’illustra par le surréalisme.
Littérature
présente au monde dans lequel et contre lequel elle s’édifie. Je ne p
236
mans, nouvelles, poèmes, essais sur le rôle de la
littérature
ou ses méthodes. Mises au point et illustrations, — ou « signes » sim
237
peut pas recommencer chaque mois le procès d’une
littérature
qui se vante d’être « insignifiante » — c’est-à-dire sans but, privée
238
et l’hégémonie passagère de l’École suisse sur la
littérature
allemande. Avec le xixe , la Suisse réapparaît sur la grande scène de
239
ues, tout cela digne du chef-d’œuvre épique de la
littérature
moderne. Kipling mort, il ne reste que Selma Lagerlöf pour nous racon
240
décorés. Selma Lagerlöf est la seule femme de la
littérature
européenne dont le génie ait eu la force de recréer un pays tout enti
241
res maisons d’édition qui se spécialisent dans la
littérature
pure, et chez lesquelles on ne trouvera, sur cent titres, que quatre
242
m par exemple. Ce périodique s’occupe d’art et de
littérature
, de politique, et même de religion. Dans sa livraison de décembre, le
243
on des Germains ; Œuvres complètes de F. Blunck (
littérature
) ; Les Grands Allemands ; Histoire de notre peuple ; Figures du pa
244
tre actuel, ou sont censés croire actuel, dans la
littérature
ou les idées. C’est cela qui paye, et qui m’ennuie. J’ai gardé pour l
245
es, grandes secousses, indiscrétions, toute cette
littérature
est sans doute pleine de talent, elle est même littéralement sensatio
246
trouve à lui recommander que des traductions. La
littérature
moderne en France n’a guère à donner à ceux qui ont faim de nourritur
247
es sablonneuses. 14-16 mai 1934 Idée d’une
littérature
à venir. — Je lis le Goethe de Gundolf avec une sorte de passion jalo
248
remiers effets sensibles : son contrecoup dans la
littérature
. L’effort de Goethe contre lui-même vise à la création d’un ordre int
249
ses victimes, dont nous sommes. Je vois alors une
littérature
de transition dont l’ambition ne sera plus de faire des œuvres (au se
250
lus efficace et plus intime. Je ne vois pas cette
littérature
bannissant toutes les formes anciennes. Mais ces formes étaient exclu
251
et le lieu des contacts. D’où je vois naître une
littérature
de circonstances, et de circonstances non choisies, de rencontres, un
252
nder ce qui l’amenait. Pendant tout l’entretien —
littérature
et politique — il avait l’air furieux, cet air qu’on a je crois très
253
esthètes fortunés qui, dit-on, encombraient notre
littérature
aux environs de 1900. Et puis, faut-il chercher si loin ? Cette sorte
254
cours ruraux, « journées sociales », amateurs de
littérature
, philosophes, paysans, cercles d’hommes, groupant des ouvriers et des
255
m’occuperais en bonne conscience que d’art et de
littérature
. Mais quoi ! rien n’est moins sûr que cette permanence de nos maux. N
256
leur vie. On n’en a pas assez tenu compte dans la
littérature
moderne, faite uniquement pour des artistes semble-t-il, pour des gen
257
u’ils peuvent l’intensité de leurs sensations. La
littérature
populiste, si elle veut rester vraie objectivement, sera toujours ter
258
me soumise au mal. Tout le reste est psychologie,
littérature
et scolastique. Il n’en reste pas moins qu’aux yeux de la raison — ce
259
nent de se perdre en s’engageant, et préfèrent la
littérature
; si ce n’est pas une manière de « grève perlée » que de n’accepter l
260
les dictateurs ont su répondre. Tout le reste est
littérature
, bavardage de théoriciens, ou ce qui est pire, de « réalistes ». L’au
261
fus autorisé à choisir comme sujet de cours : la
littérature
de la Révolution française. Je m’appliquai à démontrer que le nationa
262
ystique, bientôt sécularisé et « profané » par la
littérature
, qui donne naissance, dès le xiie siècle, à une forme toute nouvelle
263
sera désormais le grand sujet d’exaltation de la
littérature
occidentale. Son vocabulaire sera repris par les mystiques orthodoxes
264
ces dans les domaines les plus divers : mystique,
littérature
, guerre, mariage. C’est l’influence actuelle du mythe manichéen (mais
265
uelle du mythe manichéen (mais « profané » par la
littérature
) que l’on décrit dans le présent chapitre. On s’est efforcé de remédi
266
tique (dans le symbole), puis se dégrade (dans la
littérature
) en aventure troublante et attirante. ⁂ Je n’entends pas un instant r
267
lui servir de masque et de prétexte. Une immense
littérature
paraît chaque mois sur la « crise du mariage ». Mais je doute fort qu
268
en passion. Et c’est de là que nous vient, par la
littérature
, cette idée toute moderne et romantique que la passion est une nobles
269
iologie du mariage.) Une innombrable et écœurante
littérature
romanesque nous peint ce type du mari qui redoute la « platitude », l
270
e C. C. donna lieu au début du siècle à toute une
littérature
romanesque. Quant au thème de l’ouvrier ou du chauffeur qui « mérite
271
ieille droite s’est toujours définie en termes de
littérature
, et l’Action française a été surtout un mouvement de conservatisme li