1
s charlestonnaient plus furieusement dans l’ombre
livide
, aux cris fêlés et déchirants des saxophones. Sortie dans un matin so
2
ienne de Saint-Pierre, déshonorée par des vitraux
livides
et plus sulpiciens que nature. L’autel est dominé par des boiseries s
3
e sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel
livides
. À ma gauche, les caïmans se sont mis à produire un bruit que nul mot
4
e sur un ciel noir, se dressaient les gratte-ciel
livides
. À ma gauche, les caïmans se sont mis à produire un bruit que nul mot
5
ienne de Saint-Pierre, déshonorée par des vitraux
livides
et plus sulpiciens que nature. L’autel est dominé par des boiseries s
6
voyants sur leur lit de mort et, de leurs lèvres
livides
, laissent échapper des secrets de l’au-delà. Ou faut-il penser que la
7
s les efforts et aspirations, s’étendra l’horreur
livide
de la mort, parce qu’une fois de plus la force nue aura le dessus et