1 On y donnait du Strauss. Je ne connaissais pas le livret d’Hofmannsthal, et compris mal l’intrigue de la Femme sans ombre. Je

2 il a tout dit, tout avoué par les paroles de son livret , et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution

3 ez Schopenhauer quelques formules reprises par le livret , une cohérence intellectuelle justifiant à ses propres yeux certaines

4 il a tout dit, tout avoué par les paroles de son livret , et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution

5 ez Schopenhauer quelques formules reprises par le livret , une cohérence intellectuelle justifiant à ses propres yeux certaines

6 il a tout dit, tout avoué par les paroles de son livret , et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de la dissolution

7 ez Schopenhauer quelques formules reprises par le livret , une cohérence intellectuelle justifiant à ses propres yeux certaines

8 On y donnait du Strauss. Je ne connaissais pas le livret d’Hofmannsthal, et compris mal l’intrigue de la Femme sans ombre. Je

9 Ponte et Casanova au moment où l’abbé écrivit son livret , la visite que les deux compères firent alors à Mozart, la présence d

10 II, 24. 57. Romains, 7, 6. 58. Derniers vers du livret de Tristan.

11 Ponte et Casanova au moment où l’abbé écrivit son livret , la visite que les deux compères firent à Mozart, la présence de Casa

12 , 7, 6. 132. Je traduis ici les derniers vers du livret de Tristan, tel qu’il est chanté : Nietzsche, dans l’Origine de la tr

13 devant l’éclat que fait dans le monde ce « petit livret  », comme il l’appelle. Passant à Genève par hasard, il comptait n’y r

14 aques-Dalcroze, pour lequel Chenevière a écrit le livret des Premiers Souvenirs. Et le passage à Lausanne de Liane de Pougy —