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met dans l’expression), c’est la rencontre d’une
locomotive
routière. « Depuis l’instant où, enfant de 12 ans, j’aperçus cette ma
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ugé en question voudraient qu’il y ait d’abord la
locomotive
, et ensuite, si on a le temps, Stephenson. Les marxistes prouvent en
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son. Les marxistes prouvent en somme que c’est la
locomotive
qui a inventé Stephenson, que Stephenson n’est qu’une superstructure,
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t —, et que, si Stephenson n’avait pas inventé la
locomotive
, ceux qui font de la propagande parmi les cheminots seraient bien en
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bien se passer des théoriciens… « Nous avons les
locomotives
, à quoi sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »
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ugé en question voudraient qu’il y ait d’abord la
locomotive
, et ensuite, si on a le temps, Stephenson. Les marxistes prouvent en
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son. Les marxistes prouvent en somme que c’est la
locomotive
qui a inventé Stephenson, que Stephenson n’est qu’une superstructure,
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ot — et que, si Stephenson n’avait pas inventé la
locomotive
, ceux qui font de la propagande parmi les cheminots seraient bien en
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bien se passer des théoriciens… « Nous avons les
locomotives
, à quoi sert Stephenson ? » « Nous avons l’URSS, à quoi sert Marx ? »
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le canton de Zurich. Ces usines ont construit les
locomotives
et les dynamos les plus puissantes que l’on connaisse, et concurrence
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ns culture ni génie, cherchait à construire une «
locomotive
routière » qui ne fût pas astreinte à suivre la loi rigide des voies
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itaux ». Etc. 34. En 1833, Thiers déclare que la
locomotive
est une « simple construction d’amusette scientifique ». 35. Sur l’e
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ns culture ni génie, cherchait à construire une «
locomotive
routière », qui ne fût pas astreinte à suivre la loi rigide des « voi
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s exemplaire. 72. En 1833, Thiers déclare que la
locomotive
est « une simple construction d’amusette scientifique ». 73. Sur l’e
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iques, cherchait à construire, nous dit-il, une «
locomotive
routière » qui ne fût pas astreinte à suivre la loi rigide des voies
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rien et ministre français, déclare en 1833 que la
locomotive
est « une simple amusette scientifique ».) Plus tard, l’industrie et
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énie, était obsédé par l’idée de construire une «
locomotive
routière », comme il l’appelait, c’est-à-dire un véhicule rapide qui
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usines de la région zurichoise ont construit les
locomotives
, les dynamos, les moteurs de paquebot les plus puissants que l’on con
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rien et ministre français, déclare en 1833 que la
locomotive
est « une simple amusette scientifique, sans aucun avenir ». Plus tar
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ues », cherchait à construire, nous dit-il, une «
locomotive
routière » qui ne fût pas astreinte à suivre la loi rigide des voies
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mi, Henry Ford, fils d’un paysan, rencontre une «
locomotive
routière », c’est-à-dire une machine agricole à moteur. « Ce fut mon
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se à huit miles de Detroit ce qu’il appelle « une
locomotive
routière ». Il a vécu ce jour-là, dit-il, son « chemin de Damas » : «
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ces années de ma jeunesse fut la rencontre d’une
locomotive
routière à huit miles de Detroit, un jour où je me rendais avec mon p
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te ville. J’avais alors 12 ans. Je me rappelle la
locomotive
comme si je l’avais vue hier, car c’était le premier véhicule non att
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» qui n’obéirait qu’à ses humeurs, tandis que la
locomotive
sur « voie ferrée », mise sur des rails une fois pour toutes, semble
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véhicule à vapeur, marchant au charbon, comme les
locomotives
sur rail. 99. Jonathan Norton Leonard, Henry Ford, New York, 1932, P