1 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
1 bourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaines qui se pe
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
2 bourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaines qui se pe
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
3 angoisse et de haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre , sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière —
4 t ce qui me saisit ne fut pas la grandeur presque lugubre du paysage, mais au fond de la vallée cet express obstiné dans sa vit
5 s gelés. Nous dûmes passer toute la nuit dans les lugubres baraquements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale
4 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
6 a jamais, pour nous, dans une attitude d’humilité lugubre . Le sérieux et le respect, en présence d’une question, c’est tout sim
5 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
7 que Dieu nous adresse. C’est un comique profond, lugubre et déprimant que celui du chrétien honteux, honteux d’une foi qu’il n
6 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
8 et un de ces mauvais froids humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’impression qu’elle dort, mais qu
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 que Dieu nous adresse. C’est un comique profond, lugubre et déprimant que celui du chrétien honteux, honteux d’une foi qu’il n
8 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
10 au sol et humiliés… » Quelques rythmes de tambour lugubres en sourdine. « Le Peuple était divisé, égaré… » On entend des bruits
9 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
11 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui ne voit qu’une telle r
10 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
12 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
11 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
13 main coupée ! À l’Orient, j’entends mugir un cor lugubre et retentir un nouveau chant de mort. Le moral de l’armée est excelle
12 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
14 d’angoisse et de haine ! Malheur sur nous ! Nuit lugubre et sans sommeil — rythmée d’armes martelées — Ha ! ha ! — Meute folle
13 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
15 lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lugubre , mais commode, car elle justifiait l’inaction ou la retraite dans les
14 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
16 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
15 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
17 lesquelles l’homme ne peut rien. Conception très lugubre , mais commode, car elle justifiait l’inaction ou la retraite dans les
16 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
18 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
17 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
19 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
18 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
20 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
19 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
21 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui oserait encore nous so
20 1946, Journal des deux mondes. Intermède
22 ’angoisse et de haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre , sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière —
21 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
23 t ce qui me saisit ne fut pas la grandeur presque lugubre du paysage, mais au fond de la vallée cet express obstiné dans sa vit
22 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
24 clairant le monde, les haut-parleurs impérieux et lugubres ont réclamé notre attention. Nous n’avons plus rien vu que des grues
23 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
25 gelés. Nous dûmes passer toute une nuit dans les lugubres baraquements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
26 bourg et Prague, qui forme le décor voluptueux et lugubre de tant de drames nourris de solitude ; et puis des plaines qui se pe
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
27 et un de ces mauvais froids humides. Rien de plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’impression qu’elle dort, mais qu
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
28 que Dieu nous adresse. C’est un comique profond, lugubre et déprimant que celui du chrétien honteux, honteux d’une foi qu’il n
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
29 au sol et humiliés… » Quelques rythmes de tambour lugubres en sourdine. « Le Peuple était divisé, égaré… » On entend des bruits
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Post-scriptum 1939, ou Conclusions à n’en plus finir
30 acrifices propitiatoires, le tam-tam des tambours lugubres , d’hallucinants sabbats de nègres blancs ! Qui ne voit qu’une telle r
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
31 ’angoisse et de haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre , sans sommeil — rythmée d’armes martelées — meute folle, meurtrière —
30 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
32 t ce qui me saisit ne fut pas la grandeur presque lugubre du paysage, mais au fond de la vallée cet express obstiné dans sa vit
31 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
33 clairant le monde, les haut-parleurs impérieux et lugubres ont réclamé notre attention. Nous n’avons plus rien vu que des grues
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
34 gelés. Nous dûmes passer toute une nuit dans les lugubres baraquements de la base de Gander, à Terre-Neuve. Une aurore boréale
33 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
35 leur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de Berlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanchis aux pe
34 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
36 leur des faubourgs s’est propagé dans les avenues lugubres de Berlin, entre leurs façades sur le vide, les blocs blanchis aux pe
35 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
37 ution, mythe libertaire, est une réalité close et lugubre , une psychose de persécution, la paranoïa de l’Occident. Qui voudrait
36 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
38 ombe H, prennent du « progrès technique » une vue lugubre . Nous avons assisté, depuis cinquante ans, au développement d’une att
37 1957, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Une lettre de Denis de Rougemont (16-17 février 1957)
39 ieux, aux traits tendus par la fatigue et presque lugubre . Il semble avoir été « piqué » par le photographe non point au terme
38 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
40 entale ? Est-elle le signe annonciateur d’une fin lugubre , ou seulement d’une crise de croissance ? On a vu que la croyance à l
39 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
41 chiffres, non de la qualité. Alors les prophéties lugubres d’un Spengler, ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee, inspirée
40 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
42 ution, mythe libertaire, est une réalité close et lugubre , une psychose de persécution, la paranoïa de l’Occident. Qui voudrait
41 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
43 entale ? Est-elle le signe annonciateur d’une fin lugubre , ou seulement d’une crise de croissance ? On a vu que la croyance à l
42 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
44 ombe H, prennent du « progrès technique » une vue lugubre . Nous avons assisté, depuis cinquante ans, au développement d’une att
43 1958, Articles divers (1957-1962). Europe et culture (1958)
45 e « uniformisation culturelle » comme conséquence lugubre et fatale de l’union politique, sont parfois en réalité des adversair
44 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
46 quand j’avais 3 ans. » (Qu’on se rappelle le ton lugubre de destin, la « vieille et grave mélodie » qui marque la mort de la m
45 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
47 quand j’avais 3 ans. » (Qu’on se rappelle le ton lugubre de destin, la « vieille et grave mélodie » qui marque la mort de la m
46 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
48 oilà ce qui subsiste de cette ville puissante, un lugubre squelette ! Voilà ce qui reste d’une vaste domination, un souvenir ob
47 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
49 toutes choses, dans une ordonnance toujours plus lugubre et uniforme ? Ou bien l’éloignement chronologique et historique de la
48 1962, Arts, articles (1952-1965). Sartre contre l’Europe (17 janvier 1962)
50 à l’Europe. Mais qu’en est-il de Sartre en cette lugubre affaire ? Il nous faut expliquer l’anachronisme. Sartre se meut dans
49 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
51 la tension mais la maîtrise, évitant à la fois le lugubre unisson et la cacophonie intolérable — alors paraissent les créations
50 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
52 la tension mais la maîtrise, évitant à la fois le lugubre unisson et la cacophonie intolérable, alors paraissent les créations
51 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
53 à l’Europe. Mais qu’en est-il de Sartre en cette lugubre affaire ? Il nous faut expliquer l’anachronisme. Sartre se meut dans
52 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
54 chiffres, non de la qualité. Alors les prophéties lugubres d’un Spengler, ou les spéculations fascinantes d’un Toynbee, inspirée
53 1965, Fédéralisme culturel (1965). I. « Toute culture est création de diversité »
55 bre consentement nos peuples. Écartons ce fantôme lugubre . Restent deux possibilités de réaliser notre union : l’une c’est l’Eu
54 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
56 le remettre à l’imprimerie. À l’hôtel, un garçon lugubre m’apporta des kippers, de la bière, et une table de bridge. À 6 heure
55 1972, Les Dirigeants et les finalités de la société occidentale (1972). « La religion du Progrès »
57 tte seconde école traitent ceux de la première de lugubres farceurs. Pire encore : dans sa Lettre ouverte aux gens heureux, M. L
58 u’il traite de bouffons de la contestation et ces lugubres farceurs qui font métier de dénoncer la pollution, je ne puis m’empêc
56 1972, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Suite des Méfaits (1972)
59 rer, régimenter, en un mot « é d u q u e r ». Ces lugubres endroits, ces temples de la docilité, de l’abdication et de l’esclava
57 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — Naissance de la prospective
60 technologie déchaînée, et leurs conclusions sont lugubres  : la mort psychique du dernier opposant dans les caves de torture du