1 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
1 réveil sentimental et mystique dans une Allemagne luthérienne ravagée par l’Aufklärung et le rationalisme. C’était le temps aussi d
2 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
2 ndissement de la pensée paulinienne, calvinienne, luthérienne , kierkegaardienne, dialectique… », — et « loyauté » par « humilité » 
3 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
3 suite d’illustrations vivantes du fameux paradoxe luthérien qui est au centre de la Réforme : simul peccator et justus. Kierkegaa
4 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
4 le simul peccator et justus qui fonda la Réforme luthérienne . 11. Crainte et Tremblement, par Kierkegaard, traduit du danois pa
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
5 ru concevoir ! 30. « La monumentale grossièreté luthérienne  », dit Gundolf. 31. Gundolf écrit : « Il ne s’intéressait pas seulem
6 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
6 atholicisme romain le protestantisme tout entier, luthérien , calviniste et wesleyen, voire anglican, dans ce qu’il a de spécifiqu
7 ies qui aient jamais été proférées sur la réforme luthérienne . Nous ne croyons pas, dans son cas, à la mauvaise foi, mais à une ign
7 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
8 soi — de l’activité des professeurs de dogmatique luthérienne ou d’histoire de l’Église dans les trois Facultés françaises de théol
9 ive que le lecteur peu familiarisé avec la pensée luthérienne parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du De serv
10 le langage scolastique, qui n’est pas proprement luthérien , mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
11 spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre » luthérien . (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule même à l’intérieur d
12 tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un luthérien . — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
13 u qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc
8 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
14 cune, en publiant l’ouvrage central de la réforme luthérienne , le Traité du serf arbitre 14. Ne fût-ce que sur le plan de la cultur
9 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
15 soi — de l’activité des professeurs de dogmatique luthérienne ou d’histoire de l’Église dans les trois facultés françaises de théol
16 ve que le lecteur, peu familiarisé avec la pensée luthérienne , parviendra le plus aisément à saisir l’importance centrale du traité
17 le langage scolastique, qui n’est pas proprement luthérien , mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
18 spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre » luthérien . (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule même à l’intérieur d
19 tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un luthérien . — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
20 u qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc
10 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
21 a théologie dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui refusent de laisser « mettre au pas » l’Évangile.
11 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
22 le du jeûne prolongé de Nicolas. Seul le mystique luthérien Sébastien Franck dit à la fin de sa chronique : « Qu’il n’ait rien ma
12 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
23 st que le chef de l’Église confessante (Union des luthériens et calvinistes allemands), le pasteur Martin Niemöller, est actuellem
13 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
24 elque cinquante années plus tard, dans la Réforme luthérienne et zwinglienne. (Tout de même que le mouvement assez voisin des Vaudo
14 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
25 orthodoxe, une autre correspondant à l’Allemagne luthérienne , et deux autres correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques,
15 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). De Luther à Hitler (15 mars 1940)
26 épondre d’abord. Oui ou non, Niemöller est-il bon luthérien  ? Oui ou non, le Führer est-il né catholique ? Oui ou non, le second
27 parler des États scandinaves, et du plus purement luthérien d’entre eux, la Finlande. Si l’on me fait l’honneur de répondre franc
16 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
28 ar exemple, que le Führer autrichien n’est pas né luthérien mais catholique ; que son mouvement s’est développé d’abord en Bavièr
29 pas résisté à l’hitlérisme, alors que la Norvège luthérienne , bien qu’à peu près désarmée, résiste ; qu’enfin le totalitarisme n’e
30 n’est pas l’apanage de la seule Allemagne, à demi luthérienne seulement, mais qu’il a triomphé d’abord dans une Russie tout orthodo
31 passe justement par Rome, qui n’est pourtant pas luthérienne . Je m’excuse de tant d’évidences, et d’avoir à les rappeler à l’atten
17 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
32 s orthodoxes, les anglicans, les catholiques, les luthériens et les calvinistes français jugent nécessaire et bon d’avoir une litu
18 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
33 orthodoxe, une autre correspondant à l’Allemagne luthérienne , et deux autres correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques,
34 s ne sont pas communistes ; les États scandinaves luthériens ne sont pas nationaux-socialistes ; la Belgique catholique n’est pas
35 torité », pages 209 et suivantes. 10. Max Weber, luthérien « détaché », attribue l’essor du capitalisme à la Réforme ; Labriola,
19 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
36 orthodoxe, une autre correspondant à l’Allemagne luthérienne , et deux autres correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques,
37 s ne sont pas communistes ; les États scandinaves luthériens ne sont pas nationaux-socialistes ; la Belgique catholique n’est pas
38 autorité, pages 209 et suivantes. 69. Max Weber, luthérien « détaché », attribue l’essor du capitalisme à la Réforme ; Labriola,
20 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
39 llandais d’origine ; Allemand ou Suédois s’il est luthérien  ; Anglais s’il est presbytérien ; et s’il est catholique, Irlandais o
40 de là à une neuvaine dans un couvent, à un chœur luthérien , à un prêche baptiste pour les nègres… Je vais à une soirée chez un p
21 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
41 d à réunir toutes les Églises chrétiennes, fut un luthérien , l’archevêque Nathan Soederblom. Il groupe aujourd’hui les diverses d
22 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
42 ’il était l’ancêtre non de Niemöller, chrétien et luthérien , mais de Hitler, païen né catholique. Pour l’opinion moyenne sur Luth
43 ord le langage scolastique, qui n’est pas du tout luthérien , mais que Luther est obligé d’utiliser pour débrouiller et supprimer
44 spirituelle, avec un partisan du « serf arbitre » luthérien . (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule à l’intérieur même d
45 tre qui ne tient pas compte de nos exploits ! Un luthérien . — Mais connais-tu seulement les vraies règles du jeu ? Qui t’a fait
46 ieux pour la foi — résident la tension proprement luthérienne et le sens de la vocation. La grandeur sans mesure de Luther, je la v
47 me sans Dieu. La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influenc
48 ingué n’hésitait pas à qualifier le christianisme luthérien de « religion du serf arbitre ». (Il s’appuyait, pour ce faire, sur G
23 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
49 cial est celle de Vocation (au sens calviniste et luthérien du mot, qui est plus large que celui dans lequel l’entend Rome). L’Év
24 1946, Réforme, articles (1946–1980). Vues générales des Églises de New York (12 octobre 1946)
50 opaux, presbytériens, pentecôtistes, méthodistes, luthériens , juifs réformés, hindouistes, huguenots, Science divine, congrégation
51 y a aussi, qui n’annoncent pas leurs cultes : les luthériens de Finlande et de Suède, les orthodoxes serbes, grecs, ukrainiens et
52 tres hollandais, allemands ou suédois s’il est né luthérien  ; anglais s’il est presbytérien ; et s’il est catholique, italiens, p
53 iques flamboyant, trop dorés. Plus loin, l’église luthérienne de Saint-Pierre, déshonorée par des vitraux livides et plus sulpicien
54 quartiers, et chez les méthodistes comme chez les luthériens . Les catholiques eux-mêmes, à Saint-Patrick, observent durant les off
55 licans si l’officiant est en surplis, ou chez les luthériens , s’il est en robe noire. Chez les presbytériens, on distribue la crèm
25 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
56 seconde, correspondant à l’Allemagne en majorité luthérienne , et une troisième correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques
57 tout en Suède). Un contenu nouveau, calviniste ou luthérien , s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisab
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
58 a théologie dialectique, l’ensemble des chrétiens luthériens et calvinistes qui refusent de laisser « mettre au pas » l’Évangile.
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
59 a lieu d’orchestre, et de la rhétorique du choral luthérien . Jamais je n’avais écrit en telle aisance, bien que ce fût mon quatri
28 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
60 opaux, presbytériens, pentecôtistes, méthodistes, luthériens , juifs réformés, hindouistes, huguenots, Science divine, congrégation
61 y a aussi, qui n’annoncent pas leurs cultes : les luthériens de Finlande et de Suède, les orthodoxes serbes, grecs, ukrainiens et
62 res hollandais ; allemands ou suédois s’il est né luthérien  ; anglais s’il est presbytérien ; et s’il est catholique, italiens, p
63 hique flamboyant, trop dorés. Plus loin, l’église luthérienne de Saint-Pierre, déshonorée par des vitraux livides et plus sulpicien
64 quartiers, et chez les méthodistes comme chez les luthériens . Les catholiques eux-mêmes, à Saint-Patrick, observent durant les off
65 licans si l’officiant est en surplis, ou chez les luthériens s’il est en robe noire. Chez les presbytériens, on distribue la Cène
66 de là à une neuvaine dans un couvent, à un chœur luthérien , à un prêche baptiste pour les nègres… Je vais à une soirée chez un p
29 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
67 ne que le Danemark, l’Allemagne catholique que la luthérienne , ou la France catholique que la calviniste. J’ai l’idée que le contra
30 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
68 ants et des papistes ; des socialistes suédois et luthériens , des anarchistes espagnols et athées, des conservateurs autrichiens e
31 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
69 es des liturgies de communion romaine, anglicane, luthérienne et même calviniste ont tous la même structure, à très peu de phrases
32 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
70 qui s’était emparée de l’Empire. Mais les princes luthériens se montrèrent froids. À Zurich même, une opposition croissante se man
33 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
71 rmées. Réduit à la prière et au sermon (le choral luthérien et le psaume calviniste n’y sont entrés que plus tard), ce culte para
34 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
72 ctivisme orthodoxe, et de la doctrine des princes luthériens , cuius regio eius religio. Mais simultanément, nous voyons le christi
35 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
73 ienne en Grande-Bretagne, calviniste en Hollande, luthérienne dans les trois pays scandinaves, la monarchie paraît s’accommoder d’u
36 1960, Articles divers (1957-1962). Un péché mortel : la désunion des chrétiens (mars 1960)
74 s de protestants baptistes, à quoi s’ajoutent les luthériens des pays baltes et les Arméniens du Caucase). Le PC russe n’a jamais
75 , la catholique et l’orthodoxe, l’anglicane et la luthérienne , et celles qui sont issues du calvinisme, tous les dogmes fondamentau
76 xixe siècle. Mais déjà, chez les orthodoxes, les luthériens , les anglicans, les catholiques, elles tendent à devenir indiscernabl
77 le et même Église les deux tendances — anglicans, luthériens de Suède et d’Amérique — ils ouvrent la voie de l’union. Le renouveau
37 1961, Articles divers (1957-1962). Le Temps de la louange (été 1961)
78 mbolisme universel. Bach en automne est un poème luthérien , le seul que je connaisse en français. Luthérien par sa piété heureus
79 luthérien, le seul que je connaisse en français. Luthérien par sa piété heureuse et nostalgique, par son acquiescement au monde
38 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
80 s’appuyant avant tout sur les Allemagnes que ces luthériens entrevoyaient la création possible d’une respublica cristiana en Euro
81 enfin, les conceptions du catholique Vives et des luthériens Peucer et Melanchton se voient reprises et précisées dans les Discour
39 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
82 libre, de même qu’entre les religions catholique, luthérienne et calviniste. Cette Confédération d’États sera placée sous la garde
40 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — En marge des grands plans, l’utopie prolifère
83 schrieben… C’était l’œuvre d’un jeune théologien luthérien , Valentin Andreæ, inspirée de la Riforma Generale dell’Universo du sa
41 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
84 er, mais il veut les harmoniser : encyclopédisme. Luthérien convaincu, mais admirateur sincère du catholicisme romain et de l’ort
85 Dante. Par ailleurs, la sympathie qu’éprouvait ce luthérien pour la papauté se manifeste à maintes reprises, quoique parfois tein
42 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
86 e des conventions d’inter-communion passées entre luthériens , anglicans, vieux-catholiques et orthodoxes, des fusions multipliées
43 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
87 cial est celle de vocation (au sens calviniste et luthérien du mot, qui est plus large que celui dans lequel l’entend Rome). L’Év
44 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
88 ling et efficace. De leur côté, plusieurs Églises luthériennes sont en train de faire un retour prononcé à leur liturgie originale,
89 nt plus précis. L’anglican qui assiste au service luthérien , ou le luthérien qui assiste la messe romaine, s’aperçoit que la stru
90 ’anglican qui assiste au service luthérien, ou le luthérien qui assiste la messe romaine, s’aperçoit que la structure liturgique
91 à une cérémonie orthodoxe, romaine, anglicane ou luthérienne , sera tenté d’attacher une importance excessive aux vêtements, à la m
45 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
92 seconde, correspondant à l’Allemagne en majorité luthérienne , et une troisième correspondant à l’Italie et à l’Espagne catholiques
93 tout en Suède). Un contenu nouveau, calviniste ou luthérien , s’est introduit dans les cadres et les rites anciens, jugés utilisab
46 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
94 l’égard des rites et de toute religion spontanée, luthérien par sa doctrine de la grâce mais aussi du péché radical détruisant to
47 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
95 l’égard des rites et de toute religion spontanée, luthérien par sa doctrine de la grâce mais aussi du péché radical détruisant to
96 ce chœur, un autel très sobre, qui pourrait être luthérien ou anglican aussi bien que romain. La froide nudité protestante domin
97 ée, dite « d’abondance », et au sermon (le choral luthérien et le psaume calviniste n’y sont entrés que plus tard), ce culte para
48 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
98 ’en sais rien.) Il me prête un recueil de chorals luthériens , pour que j’en étudie la prosodie précise. Il veut savoir la fonction
99 que — « notre Antiquité », dit Ramuz —, du choral luthérien et de la polyphonie du xvie siècle calviniste, ce serait assez pour
49 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
100 culière aux Polonais, pour un docteur de l’Église luthérienne , et il croit que les arguments des protestants « supposent une raison
50 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
101 sa mort prématurée en 1957, « le seul grand poète luthérien de langue française ». L’une des questions était : « Qu’arriverait-il
102 evenait pape ? » Et la réponse : « Le pape serait luthérien . » Deuxième échange. « Qu’est-ce que la mystique ? » Réponse : « C’es
51 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
103 non moins profondément philosophique — les formes luthériennes d’une mystique aurorale, puis un temps la « lumière de Byzance », Hen
52 1981, Cadmos, articles (1978–1986). L’apport culturel de l’Europe de l’Est (printemps 1981)
104 forme en Pologne ait été le fait des luttes entre luthériens , calvinistes et sociniens (antitrinitaires), entre factions ou sectes
105 t suspect, en tant que Frère morave, aux yeux des luthériens . Il se retire en Prusse-Orientale, puis pour un temps en Transylvanie
53 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
106 contenu nouveau, calviniste en Grande-Bretagne ou luthérien en Scandinavie, s’est introduit dans les cadres et les rites anciens,
54 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
107 non moins profondément philosophique — les formes luthériennes d’une mystique aurorale, puis un temps la « Lumière de Byzance », Hen
108 le comparée » qui s’esquisse ici63, ces mystiques luthériens et ces kabbalistes juifs convergent avec les théosophes chiites puis
55 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
109 sa mort prématurée en 1957, « le seul grand poète luthérien de langue française ». L’une des questions était : « Qu’arriverait-il
110 Paul devenait pape ? » Réponse : « Le pape serait luthérien . » Deuxième échange : « Qu’est-ce que la mystique ? » Réponse : « C’e
111 « inquisiteur de la foi », de procéder contre les luthériens et les vaudois de la Provence. Un texte de l’époque fournit quelques
112 , Histoire des premières persécutions des Vaudois luthériens du Comtat Venaissien et de la Provence, Paris, 1891. 44. Baudelaire,
56 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
113 ontraires de la Réforme, de la double affirmation luthérienne de la « liberté du chrétien » et calviniste de sa « responsabilité ».
57 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
114 re cette phrase fameuse (surtout dans l’Allemagne luthérienne ) : cujus regio, ejus religio. Quand on a accepté cet extrême de l’abs