1
grecque. D’autres attribuent cette supériorité au
machinisme
, et la déplorent. Plusieurs jeunes songent que dans une Europe vieill
2
dans un domaine plus étroit, quelques esthètes du
machinisme
. 13. Le Paysan de Paris. j. « Louis Aragon, le beau prétexte », Rev
3
e but de la machine ? Une économie de travail. Le
machinisme
est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la
4
ique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le
machinisme
crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société c
5
telles que les loisirs créés théoriquement par le
machinisme
se trouvaient aussitôt absorbés par des activités nouvelles. À la fav
6
e certaine limite d’absorption étant atteinte, le
machinisme
développerait son pouvoir réel de « libération ». La liberté fait plu
7
ipité brusquement les conséquences nécessaires du
machinisme
en régime capitaliste. Si nous examinons les courbes d’accroissement
8
e nous tentons maintenant de solder. Un siècle de
machinisme
, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que la mesure du t
9
matériels dont nous souffrons, n’est pas dans le
machinisme
, par exemple, mais bien dans les doctrines qui ont assuré le développ
10
ctrines qui ont assuré le développement actuel du
machinisme
. C’est dans cet humus de doctrines périmées que plongent « les racine
11
du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
machinisme
. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de
12
lème dont traite cet ouvrage (travail et chômage,
machinisme
, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme), les liens étroits q
13
œuvre s’étend dans les slums. Mais à ce moment le
machinisme
s’introduit au Japon, augmentant la misère avec le nombre des ouvrier
14
du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
machinisme
. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de
15
e but de la machine ? Une économie de travail. Le
machinisme
est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la
16
ique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le
machinisme
crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société c
17
telles que les loisirs créés théoriquement par le
machinisme
se trouvaient aussitôt absorbés par des activités nouvelles. À la fav
18
e certaine limite d’absorption étant atteinte, le
machinisme
développerait son pouvoir réel de « libération ». La liberté fait plu
19
ipité brusquement les conséquences nécessaires du
machinisme
en régime capitaliste. Si nous examinons les courbes d’accroissement
20
e nous tentons maintenant de solder. Un siècle de
machinisme
, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que la mesure du t
21
au sérieux des problèmes tels que le chômage, le
machinisme
, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements et les partis n’
22
lème dont traite cet ouvrage (travail et chômage,
machinisme
, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme) les liens étroits qu
23
du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
machinisme
. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de
24
e but de la machine ? Une économie de travail. Le
machinisme
est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la
25
ique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le
machinisme
crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société c
26
telles que les loisirs créés théoriquement par le
machinisme
se trouvaient aussitôt absorbés par des activités nouvelles. À la fav
27
e certaine limite d’absorption étant atteinte, le
machinisme
développerait son pouvoir réel de « libération ». La liberté fait plu
28
ipité brusquement les conséquences nécessaires du
machinisme
en régime capitaliste. Si nous examinons les courbes d’accroissement
29
e nous tentons maintenant de solder. Un siècle de
machinisme
, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que la mesure du t
30
us les intermédiaires culturels, s’il critique le
machinisme
, s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assurances, leur hy
31
te qui est responsable de la crise, et non pas le
machinisme
et l’électricité. Tous nos lecteurs savent que ces thèses sont pour n
32
rte pas en soi de fatalité inhumaine, et que « le
machinisme
permettant de faire une économie de force encore plus grande que les
33
ion » effective. Elle suppose d’autre part que le
machinisme
et la rationalisation soient « poussées à l’extrême » afin de « dimin
34
uple russe ; que l’alternative actuelle n’est pas
machinisme
ou artisanat, mais dignité de l’homme ou étatisme ; que nous ne somme
35
t les agents les plus actifs de son aggravation :
machinisme
, sociétés anonymes70, trusts. La libération politique de la bourgeoi
36
écessaire de la culture ; enfin, subordination du
machinisme
, perfectionné, aux besoins humains. Toutes ces thèses figurent dans
37
rt. Or chacun sait que les résultats pratiques du
machinisme
ne sont pas d’augmenter les loisirs, mais bien d’augmenter le chômage
38
rt. Or chacun sait que les résultats pratiques du
machinisme
ne sont pas d’augmenter les loisirs, mais bien d’augmenter le chômage
39
us les intermédiaires culturels, s’il critique le
machinisme
, s’il raille le confort de ses concitoyens, leurs assurances, leur hy
40
’est lancé dans un discours fort irrité contre le
machinisme
, inutile selon lui. Or il s’agit d’équiper l’Inde, pour la sauver de
41
ard, apportait une démonstration spectaculaire du
machinisme
pur, opérant loin des hommes par une extension souveraine de leurs po
42
er fatalement pour le développement anarchique du
machinisme
: l’appât de bénéfices énormes et rapides, et la tentation de la puis
43
. Auguste Barbier, Iambes, cité par P. M. Schuhl,
Machinisme
et Philosophie, 1938. 40. Les seules descriptions « riantes » de la
44
fuse de considérer le loisir comme le but même du
machinisme
. Or il pourra le devenir dès que les bénéfices de l’industrie seront
45
fuse de considérer le loisir comme le but même du
machinisme
. Or il pourra le devenir dès que les bénéfices de l’industrie seront
46
ard, apportait une démonstration spectaculaire du
machinisme
pur, opérant loin des hommes par une délégation prolongée mais souver
47
er fatalement pour le développement anarchique du
machinisme
: l’appât de bénéfices énormes et rapides, et la tentation de la puis
48
79. A. Barbier, Iambes, cité par P. M. Schuhi,
Machinisme
et Philosophie, 1938. 80. Les seules descriptions « riantes » de la
49
fuse de considérer le loisir comme le but même du
machinisme
. Or il pourra le devenir dès que les bénéfices de l’industrie seront
50
esse de résister sournoisement au plein emploi du
machinisme
; que nos nations renoncent à leur rêve d’autarcie, ouvrent leurs fro
51
mense prolétariat, créé par l’expansion subite du
machinisme
dès le premier tiers du xixe siècle : — l’homme attaché au service d
52
ant leurs pantalons : ils ne connaissaient pas le
machinisme
— dont nous sommes les premiers usagers quotidiens — mais ils n’en co
53
mmense prolétariat créé par l’expansion subite du
machinisme
dès le premier tiers du xixe siècle — l’homme attaché au service des
54
on technique est de plus en plus orientée vers le
machinisme
intégral. L’automation met-elle en danger les valeurs fondamentales d
55
métallurgie, a subitement abouti, en Occident, au
machinisme
, aux produits synthétiques, aux anesthésiques et antibiotiques, à la
56
mmense prolétariat créé par l’expansion subite du
machinisme
dès le premier tiers du xixe siècle : l’homme attaché au service des
57
nt ou cent-cinquante ans, lors de l’apparition du
machinisme
et de sa difficile adaptation à vos mœurs et à vos traditions. Mais p
58
ique ». Quand j’observais dès 1933 que l’essor du
machinisme
« au lieu de créer de la liberté, crée du chômage » ; quand je demand
59
ait la distribution des bénéfices acquis grâce au
machinisme
et à l’automatisation croissante des tâches manuelles. Nous voulions
60
nécessaire posait dès 1933 dans ces termes : « Le
machinisme
permettant de faire une économie de force toujours plus grande, il s’