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rre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une
mainmise
de la finance sur les sentiments patriotiques. Elle aboutit à des tra
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rre moderne n’est plus la guerre. Elle naît d’une
mainmise
de la finance sur les sentiments patriotiques. Elle aboutit à des tra
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on favorise sournoisement le fascisme, ou bien la
mainmise
moscoutaire. Ces commissions, d’ailleurs, ne seront occupées qu’à cla
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on favorise sournoisement le fascisme, ou bien la
mainmise
moscoutaire. Ces commissions d’ailleurs ne seront occupées qu’à clame
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Cette confusion entre l’État et la culture, cette
mainmise
de l’organisation bureaucratique sur la création spontanée, — voilà l
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pture les fédéralistes hollandais et anglais : la
mainmise
de la droite libérale sur le congrès de La Haye, le fédéralisme évinc
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eignement étatique, budgets culturels dérisoires,
mainmise
des fonctionnaires sur l’université. Or, un fédéralisme fondé sur les
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-nation, hérité de Napoléon. L’État-nation est la
mainmise
de l’appareil étatique, administratif et policier sur cette chose dyn
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’Histoire. Qu’est-ce que l’État-nation ? C’est la
mainmise
d’un appareil étatique — réalité abstraite et bureaucratique — sur un
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t aujourd’hui très généralement adopté — c’est la
mainmise
administrative, militaire et fiscale d’un appareil étatique centralis
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ment.) L’État-nation napoléonien, résultant de la
mainmise
d’un appareil étatique sur les réalités nationales, en vue de la guer
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s grands États-nations. (J’appelle État-nation la
mainmise
d’un appareil étatique sur l’ensemble d’une nation.) Cependant, dans
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y percevant des péages. C’est pour empêcher cette
mainmise
« étatique » avant la lettre que les Suisses se sont ligués. On obser
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itoyens. Qu’appelez-vous l’État-nation ? C’est la
mainmise
d’un appareil étatique sur la vie d’une nation. C’est la formule napo
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éel que dans la mesure où elle désigne en fait la
mainmise
de l’État sur les grandes industries, mines, automobiles, productions
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l’État dans nos vies individuelles ! Face à cette
mainmise
de l’État-nation, les diverses formes de contestation depuis Mai 68 n
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t au pouvoir de l’État-nation et qui implique une
mainmise
de l’appareil étatique sur la vie complète, la vie économique, la vie
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nne, la vie personnelle de chaque individu. Cette
mainmise
suppose une centralisation toujours plus poussée, disposant de ces ou
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États-nations. Nous entendions par État-nation la
mainmise
d’un appareil étatique sur l’ensemble d’une nation, l’État imposant l
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iers modèles de l’État-nation, c’est-à-dire de la
mainmise
d’un État central et centralisateur sur les nations voisines, annexée
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iers modèles de l’État-nation, c’est-à-dire de la
mainmise
d’un État central et centralisateur sur les nations voisines, annexée
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: l’État-nation. Qu’est-ce que l’État-nation ? La
mainmise
d’un appareil administratif sur un territoire et sa population, l’enc
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tre, de la Suisse), elle consiste en fait dans la
mainmise
d’un lourd appareil étatique — fonctionnaires, police et armée — sur
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tio de toutes les mesures de centralisation et de
mainmise
de l’État sur l’économie. Quand on ne sait plus quoi dire, on nous av
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ogie de langue française. L’État-nation, c’est la
mainmise
d’un appareil étatique sur des réalités dites nationales, qui sont d’
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s. Cette idée de “nation” correspond en fait à la
mainmise
d’un appareil étatique sur des réalités dites “nationales”. C’est pou
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gnement étatique, budgets culturels dérisoires et
mainmise
des fonctionnaires sur l’université. Or, un fédéralisme fondé sur les
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ur le PNB ou sur les dépenses militaires ; enfin,
mainmise
des fonctionnaires sur l’université dans beaucoup de pays d’Europe. U