1
acrifier Diane, son apaisement, pour Arthur, sa «
maladie
», c’est encore l’« élan mortel » que décrivait Mon Corps et Moi. Qua
2
un petit article du Journal de Genève sur « La
maladie
du siècle », écrit : « Plante des pommes de terre, jeune homme ! Quan
3
monde.) Littérature : un vice ? Peut-être. Ou une
maladie
? Ce n’est pas en l’ignorant par attitude que vous la guérirez. Au co
4
plus de mépris ni d’adoration. J’ai défini une «
maladie
» dont je parviens à tirer quelque bien pour ma vie. Le jour où les s
5
aît-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la
maladie
, la peur. ao. « Edmond Jaloux : Rainer Maria Rilke (Émile-Paul, Par
6
it être soigné au même titre que certaines autres
maladies
dites « sociales ». Je reviendrai peut-être sur ce point. Pour l’inst
7
it être soigné au même titre que certaines autres
maladies
dites « sociales ». Je reviendrai peut-être sur ce point. Pour l’inst
8
de vue pour déconsidérer nos raisons de vivre. La
maladie
aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même an
9
ladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la
maladie
. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. « I
10
cider. Mais un soir qu’il prêche au carrefour, la
maladie
qui depuis longtemps l’enfiévrait, le terrasse, dans la boue, sous la
11
, c’est celui qu’établissent la mort, la peur, la
maladie
. Et la joie, ce point commun, « ce point qui est au-delà de la vie ».
12
tes parts les Signes paraissent sur la terre, les
maladies
, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance da
13
c le mysticisme précédèrent de très peu une grave
maladie
, dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un médecin « alchimist
14
i tout le drame dialectique de sa vie. Mais cette
maladie
, et la convalescence, ont éveillé dans son esprit les premières tenta
15
it Goethe à un ami en 1768, au sortir d’une grave
maladie
— ; cette calcination a été très profitable à mon âme… Le Sauveur m’a
16
ang : ce sont là deux aspects morbides d’une même
maladie
bourgeoise. C’est à quoi mène la violence larvée qui inspire l’hypocr
17
de vue pour déconsidérer nos raisons de vivre. La
maladie
aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même an
18
ladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la
maladie
. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. « I
19
de vue pour déconsidérer nos raisons de vivre. La
maladie
aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même a
20
ladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la
maladie
. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. «
21
d ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand, par la
maladie
du monde, la « chrétienté » se trouve menacée, c’est déjà qu’elle mér
22
gions spirituelles dont tout leur être — et cette
maladie
même ! — prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’
23
n’avons à guérir personne, mais à montrer que la
maladie
est sérieuse, si sérieuse qu’il serait ridicule d’attendre de nous ou
24
nes confusions : l’œuvre, en danois, s’appelle La
Maladie
mortelle, et cette maladie, c’est le péché. L’impitoyable maîtrise qu
25
n danois, s’appelle La Maladie mortelle, et cette
maladie
, c’est le péché. L’impitoyable maîtrise que Kierkegaard apporte dans
26
e psychologique du désespoir, considéré comme une
maladie
universelle ne doit pas nous tromper sur le dessein du livre. Nul rom
27
souvent lapidé. Épuisé par la tuberculose et une
maladie
des yeux, il arrive qu’il s’effondre pendant ses discours. Il écrit u
28
à l’Exercice du christianisme, en passant par la
Maladie
mortelle 50 et le Concept d’angoisse, parurent sous divers pseudonyme
29
me ignore, comme homme, l’existence ; et c’est la
maladie
mortelle (le péché)54. L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horrib
30
une critique des mythes collectivistes nés de la
maladie
de la personne. Puis il s’agit de retrouver une définition concrète d
31
d ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand, par la
maladie
du monde, la « chrétienté » se trouve menacée, c’est déjà qu’elle mér
32
gions spirituelles dont tout leur être — et cette
maladie
même ! — prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’
33
rkegaard passa ses derniers jours : « Il tient sa
maladie
pour mortelle ; sa mort serait nécessaire à l’accomplissement de la t
34
une critique des mythes collectivistes nés de la
maladie
de la personne. Puis il s’agit de retrouver une définition concrète d
35
d ils se donnent pour chrétiens ? ⁂ Quand, par la
maladie
du monde, la « chrétienté » se trouve menacée, c’est déjà qu’elle mér
36
gions spirituelles dont tout leur être — et cette
maladie
même ! — prouvent l’inexistence ou la disparition. On leur répond qu’
37
totalitaire. On nous propose donc de défendre une
maladie
contre la mort, à quoi elle mène nécessairement. Au lieu de nous refa
38
ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce que, dans leur
maladie
justement, percevant leur question dernière, ils découvrent leur véri
39
ret. Notre langage moderne relève à peine de deux
maladies
graves : la contention abstraite du xviie et la dissolution voluptue
40
sur chaque symptôme, Paracelse ne veut nommer les
maladies
que par le nom de leur remède. « Il ne faut pas dire que tel état est
41
uve aussi le remède. Pour connaître et guérir une
maladie
, il ne suffit pas de voir l’homme seul ; il faut considérer sa relati
42
ssi les plus antiques, sur la nature unique de la
maladie
, ouvrage dont on peut dire qu’il marque une date dans l’histoire de l
43
ysiologie des sensations et la classification des
maladies
nerveuses. Pour la psychologie concrète, c’est-à-dire constituée dans
44
foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la
Maladie
mortelle 16, il venait justement de dépasser cette illusion du désesp
45
la rédemption par la souffrance (La Guérison des
Maladies
), etc. Et le roman n’a pas d’autre mouvement que le mouvement même de
46
tes parts les signes paraissent sur la terre, les
maladies
, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance da
47
erreur plus subtile. 2. Parce qu’on a traduit la
Maladie
à la mort sous le titre de Traité du désespoir, Kierkegaard a passé b
48
que pour lui, le désespoir est le péché, la seule
maladie
vraiment mortelle, dont la foi seule, non la vertu, peut nous guérir.
49
s décrirons plus loin l’aspect spirituel de cette
maladie
du langage, dont nous venons d’énumérer quelques causes accidentelles
50
ses actes, je vois les symptômes cliniques d’une
maladie
de l’esprit et du cœur des citoyens, qui est mortelle. Mais certains
51
ence. Cet état d’équilibre entre le microbe et la
maladie
ne peut mener qu’à une consomption lente, ou à des accidents violents
52
s décrirons plus loin l’aspect spirituel de cette
maladie
du langage, dont nous venons d’énumérer quelques causes accidentelles
53
ses actes, je vois les symptômes cliniques d’une
maladie
de l’esprit et du cœur des citoyens, qui est mortelle. Mais certains
54
le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
55
a pas révélé de nouveaux aspects essentiels de la
maladie
capitaliste. Il n’a fait qu’inventer ou perfectionner les véhicules l
56
la culture française est malade elle aussi d’une
maladie
qui n’est pas le fascisme. Elle me paraît souffrir en premier lieu de
57
profondeur… 3. Du capitalisme, considéré comme la
maladie
spirituelle, et par suite économique, produite en Occident par le ref
58
nantes. Or, c’est mon métier d’en poser… Seule la
maladie
les pousse à réfléchir un moment sur « ce que c’est que de nous » ; l
59
il faut être pauvre, éreinté et enfiévré par une
maladie
encore incertaine. Oui, il existe de ces maladies qui vous essaient u
60
maladie encore incertaine. Oui, il existe de ces
maladies
qui vous essaient un peu tous les organes, sans rien dire, comme le m
61
nscrit les déclarations du malade) : Il tient sa
maladie
pour mortelle. Sa mort serait nécessaire à l’action à laquelle il a c
62
n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une
maladie
. Cet homme sécrète un poison salutaire, dont nul ne trouvera l’antido
63
tivisme ne représentent que les déviations et les
maladies
périodiques. Or il se trouve que la devise antique de notre Confédéra
64
re de déviation dans le sens collectiviste. Cette
maladie
du sentiment occidental se révèle beaucoup plus dangereuse pour notre
65
totalitaire. On nous propose donc de défendre une
maladie
contre la mort à quoi elle mène nécessairement. Au lieu de nous refai
66
orée des Anciens, ou considérée par eux comme une
maladie
, la passion sera désormais le grand sujet d’exaltation de la littérat
67
it une absurdité, une forme d’intoxication, une «
maladie
de l’âme » comme pensaient les Anciens, tout le monde est prêt à le r
68
la personne chez les modernes, et d’une espèce de
maladie
de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’intrigues à
69
es secondaires (nationalisme et socialisme) d’une
maladie
aussi vieille que l’Europe, et qui est sa P. G. politique. Ainsi l’Ét
70
seulement la passion y était considérée comme une
maladie
ou folie. À partir du xiie siècle, sous l’influence de la mystique c
71
facilement de nos jours — de tirer de l’étude des
maladies
une vue nouvelle sur les structures de l’homme, peut-être pouvons-nou
72
ressaisir dans la mémoire, puisque la cause de sa
maladie
est justement ce qu’il ne peut se remémorer, cette lacune qui est à l
73
Mais il faut reconnaître aussi que s’y révèle une
maladie
de la personne. Le paradoxe de l’expression d’un Indicible est tellem
74
s que pourrait produire un réveil brusque ? Cette
maladie
demande un long traitement, de nature spirituelle, à mon avis, au moi
75
ndant, était considérée par les anciens comme une
maladie
de l’âme. Mais à partir du xiie siècle, et par l’effet de confusions
76
ue pour les Grecs et les Romains, l’amour est une
maladie
(Ménandre) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin
77
t y est méprisée par la morale courante comme une
maladie
frénétique. « Aucuns pensent que c’est une rage… » Et nous voyons qu’
78
rendre une congestion pulmonaire. Chez eux, cette
maladie
était toujours mortelle. Le meilleur médecin ne saurait sauver des ma
79
de l’amour est une fatigue, son commencement une
maladie
, sa fin la mort. Pour moi cependant la mort par amour est une vie ; j
80
ique, — celle qui condamne la passion comme une «
maladie
de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature fran
81
œuvres de Tieck, définissant l’amour comme « une
maladie
du désir, une divine langueur »150… L’exaltation de la mort volontair
82
ance, se voit amené à définir l’amour comme « une
maladie
de l’esprit » — dans la pure tradition antique, sauf qu’il s’affirme
83
besoin revient nous tourmenter n’est plus qu’une
maladie
de l’instinct, rarement mortelle, régulièrement toxique et déprimante
84
stiale nous guérira de votre goût du péché, cette
maladie
de l’instinct génésique. Ce que vous appelez morale, c’est ce qui nou
85
le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
86
it une absurdité, une forme d’intoxication, une «
maladie
de l’âme » comme pensaient les Anciens, tout le monde est prêt à le r
87
la personne chez les modernes, et d’une espèce de
maladie
de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’intrigues à
88
ue pour les Grecs et les Romains, l’amour est une
maladie
(Ménandre) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin
89
t y est méprisée par la morale courante comme une
maladie
frénétique. « Aucuns pensent que c’est une rage… » Et nous voyons qu’
90
de l’amour est une fatigue, son commencement une
maladie
, sa fin la mort. Pour moi cependant la mort par amour est une vie ; j
91
tique — celle qui condamne la passion comme une «
maladie
de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature fran
92
œuvres de Tieck, définissant l’amour comme « une
maladie
du désir, une divine langueur168… » L’exaltation de la mort volontair
93
ance, se voit amené à définir l’amour comme « une
maladie
de l’esprit » — dans la pure tradition antique, sauf qu’il s’affirme
94
besoin revient nous tourmenter n’est plus qu’une
maladie
de l’instinct, rarement mortelle, régulièrement toxique et déprimante
95
stiale nous guérira de votre goût du péché, cette
maladie
de l’instinct génésique. Ce que vous appelez morale, c’est ce qui nou
96
le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
97
it une absurdité, une forme d’intoxication, une «
maladie
de l’âme », comme pensaient les Anciens, tout le monde est prêt à le
98
la personne chez les modernes, et d’une espèce de
maladie
de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’intrigues à
99
cité pour les microbes, non pour le remède, de la
maladie
du mariage. La romance se nourrit d’obstacles, de brèves excitations
100
ue pour les Grecs et les Romains, l’amour est une
maladie
(Ménandre) dans la mesure où il transcende la volupté qui est sa fin
101
t y est méprisée par la morale courante comme une
maladie
frénétique. « Aucuns pensent que c’est une rage… » Et nous voyons qu’
102
de l’amour est une fatigue, son commencement une
maladie
, sa fin la mort. Pour moi cependant la mort par amour est une vie ;
103
tique — celle qui condamne la passion comme une «
maladie
de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature fran
104
œuvres de Tieck, définissant l’amour comme « une
maladie
du désir, une divine langueur… »157. L’exaltation de la mort volontai
105
stance, se voit amené à définir l’amour comme une
maladie
de l’esprit — dans la pure tradition antique, sauf qu’il s’affirme he
106
besoin revient nous tourmenter n’est plus qu’une
maladie
de l’instinct, rarement mortelle, régulièrement toxique et déprimante
107
stiale nous guérira de votre goût du péché, cette
maladie
de l’instinct génésique. Ce que vous appelez morale, c’est ce qui nou
108
le feu, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les
maladies
. Ainsi, la destruction directe ou indirecte d’un soldat allemand nous
109
e soit en réalité une forme d’intoxication, une «
maladie
de l’âme », comme pensaient les Anciens, tout le monde est prêt à le
110
la personne chez les modernes, et d’une espèce de
maladie
de l’être. Presque toutes les complications qui servent d’intrigues à
111
ublicité pour le virus, non pour le remède, de la
maladie
du mariage. La romance se nourrit d’obstacles, de brèves excitations
112
out homme porte en soi les microbes de toutes les
maladies
imaginables. Et cet ennemi qui nous menace, il ne serait nullement su
113
les maux dont nous souffrons sont avant tout des
maladies
de la personne. Quand l’homme oublie qu’il est responsable de sa voca
114
guérir de l’individualisme, tout en prévenant la
maladie
collectiviste. C’est dans cette volonté de recréer des groupes à la m
115
ont un programme de ce qui ne saurait être que la
maladie
individualiste ou la maladie collectiviste de notre État. À quand le
116
saurait être que la maladie individualiste ou la
maladie
collectiviste de notre État. À quand le parti de la santé fédéraliste
117
un flambeau brûlant et éclatant. Survint alors la
maladie
qui nous l’arrache dans sa 46e année. » Le seul autoportrait qui subs
118
régime sain prévient le mal. Mais pour guérir une
maladie
, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes sont souvent co
119
e porte en soi les microbes de presque toutes les
maladies
imaginables. Et cet ennemi qui nous menace, il ne serait nullement su
120
les maux dont nous souffrons sont avant tout des
maladies
de la personne. Quand l’homme oublie qu’il est responsable de sa voca
121
guérir de l’individualisme, tout en prévenant la
maladie
collectiviste. C’est dans cette volonté de recréer des groupes à la m
122
elle sacrifiée. Nous sommes ici en présence d’une
maladie
spécifique du fédéralisme. Elle se manifeste par divers symptômes non
123
nte perpétuelle d’être majorisé. Notons que cette
maladie
a fait son apparition en Suisse à partir du moment où les cantons ont
124
prits « trop » entreprenants. Pour prévenir cette
maladie
, dans l’Europe de demain, comme en Suisse, il est essentiel d’insiste
125
ont un programme de ce qui ne saurait être que la
maladie
individualiste ou la maladie collectiviste de notre État. À quand le
126
saurait être que la maladie individualiste ou la
maladie
collectiviste de notre État. À quand le parti de la santé fédéraliste
127
régime sain prévient le mal. Mais pour guérir une
maladie
, il faut des remèdes ou une opération. Et les remèdes sont souvent co
128
orps (et dans son âme) les microbes de toutes les
maladies
connues, et de bien d’autres. Anéantir les signes extérieurs de la me
129
trième partieLe diable dans nos dieux et dans nos
maladies
27. Le diable dans nos dieux Certes, il existe aussi un incogn
130
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de
maladie
psychique tout amour dont les fruits sont amers, le privant aussitôt
131
lissant une sorte d’équilibre du microbe et de la
maladie
. Mais s’il le communique à un être plus faible, ou plus pur, ou qui n
132
orps (et dans son âme) les microbes de toutes les
maladies
connues, et de bien d’autres. Anéantir les signes extérieurs de la me
133
trième partieLe diable dans nos dieux et dans nos
maladies
38. Le diable dans nos dieux Certes, il existe aussi un incog
134
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de
maladie
psychique tout amour dont les fruits sont amers, le privant aussitôt
135
lissant une sorte d’équilibre du microbe et de la
maladie
. Mais s’il le communique à un être plus faible, ou plus pur, ou qui n
136
orps (et dans son âme) les microbes de toutes les
maladies
connues, et de bien d’autres. Anéantir les signes extérieurs de la me
137
trième partieLe diable dans nos Dieux et dans nos
maladies
38. Le diable dans nos dieux Certes, il existe aussi un incogn
138
permettant de qualifier d’égoïsme, de haine ou de
maladie
psychique tout amour dont les fruits sont amers, le privant aussitôt
139
lissant une sorte d’équilibre du microbe et de la
maladie
. Mais s’il le communique à un être plus faible, ou plus pur, ou qui n
140
Le besoin de la gloire est donc né d’une sorte de
maladie
du sens social. C’est le contraire de l’amour du prochain. L’individu
141
orps (et dans son âme) les microbes de toutes les
maladies
connues, et de bien d’autres. Anéantir les signes extérieurs de la me
142
expriment avec un peu de retard ce génie ou cette
maladie
. (Postérité, je rougis de tant de platitudes, mais de mon temps on le
143
n moindre mal que la fracture qui en résulte ? La
maladie
mortelle, un moindre mal que la mort qui la termine ? 12. Les méfait
144
c le mysticisme précédèrent de très peu une grave
maladie
, dont il ne fut sauvé que par l’intervention d’un médecin qui se donn
145
i tout le drame dialectique de sa vie. Mais cette
maladie
, et la convalescence, ont éveillé dans son esprit les premières tenta
146
Je voudrais surtout retenir le fait que la grave
maladie
dont il souffrit à 18 ans fut guérie par un médecin de Francfort qui
147
émonisme ; ils constituent la cure de cette seule
maladie
morale à laquelle Goethe réduit toutes les autres maladies, de cette
148
morale à laquelle Goethe réduit toutes les autres
maladies
, de cette seule maladie qui tout ensemble nourrit la menace magique e
149
réduit toutes les autres maladies, de cette seule
maladie
qui tout ensemble nourrit la menace magique et trouve son antidote da
150
à l’Exercice du christianisme, en passant par la
Maladie
mortelle et le Concept d’angoisse, parurent sous divers pseudonymes s
151
nscrit les déclarations du malade : « Il tient sa
maladie
pour mortelle. Sa mort serait nécessaire à l’action à laquelle il a c
152
n’étudie pas Kierkegaard, on l’attrape comme une
maladie
. Cet homme secrète un poison salutaire, dont nul ne trouvera l’antido
153
foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité de la
Maladie
mortelle 40, il venait justement de dépasser cette illusion du désesp
154
me ignore, comme homme, l’existence ; et c’est la
maladie
mortelle (le péché) 48 . L’homme naturel a beau dénombrer tout l’horr
155
n, XI.4. Jésus dit de Lazare à l’agonie : « Cette
maladie
n’est point à la mort ». Or Jésus sait que Lazare va mourir. Ce qu’il
156
ire comprendre aux assistants, c’est que la seule
maladie
redoutable est le péché. 49. Stades sur le chemin de la vie. 50.
157
la vie. 50. L’Instant. 51. Journal. 52. La
Maladie
mortelle. 53. Le Chemin du Paradis (p. 269). — C’est moi qui soulig
158
on par la souffrance d’une femme (La Guérison des
Maladies
). Et le roman n’a pas d’autre mouvement que le mouvement même des ima
159
tes parts les signes paraissent sur la terre, les
maladies
, la famine, la révolte, la guerre et la mortalité. Caille s’avance da
160
facilement de nos jours — de tirer de l’étude des
maladies
une vue nouvelle sur les structures de l’homme, peut-être pouvons-nou
161
ressaisir dans la mémoire, puisque la cause de sa
maladie
est justement ce qu’il ne peut se remémorer, cette blessure qui est à
162
Mais il faut reconnaître aussi que s’y révèle une
maladie
de la personne. Le paradoxe de l’expression d’un Indicible est tellem
163
aussi la vraie communauté. Et à l’inverse, toute
maladie
de la personne doit affecter la collectivité. Ainsi décrire un phénom
164
s que nous venons de dégager, et qui signalent la
maladie
romantico-mystique de la personne. Le mouvement hitlérien, dans son e
165
uchemar qu’aura rêvé le IIIe Reich somnambulique.
Maladie
religieuse bien plus que politique, et dont les causes doivent être r
166
de recevoir une vocation. Maintenant les grandes
maladies
sociales et culturelles des temps modernes ont toutes cette caractéri
167
totalitaire. On nous propose donc de défendre une
maladie
contre la mort, à quoi elle mène nécessairement. Au lieu de nous refa
168
me intégral, dont les deux autres ne sont que des
maladies
. Dans le plan humain immanent, il n’y a pas d’équilibre possible entr
169
un flambeau brûlant et éclatant. Survint alors la
maladie
qui nous l’arrache dans sa quarante-sixième année. Le seul autoportra
170
ormes au développement, désormais historique, des
maladies
que j’étudiais. Ce n’est point que je considère mes essais comme asse
171
de vue pour déconsidérer nos raisons de vivre. La
maladie
aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la maladie. C’est la même an
172
ladie aussi. Rien ne ressemble au voyage comme la
maladie
. C’est la même angoisse au départ, le même dépaysement au retour. « I
173
nantes. Or, c’est mon métier d’en poser… Seule la
maladie
les pousse à réfléchir un moment sur « ce que c’est que de nous » ; l
174
il faut être pauvre, éreinté et enfiévré par une
maladie
encore incertaine. Oui, il existe de ces maladies qui vous essaient u
175
maladie encore incertaine. Oui, il existe de ces
maladies
qui vous essaient un peu tous les organes, sans rien dire, comme le m
176
es secondaires (nationalisme et socialisme) d’une
maladie
aussi vieille que, l’Europe, et qui est sa P. G. politique. Ainsi l’É
177
totalitaire. On nous propose donc de défendre une
maladie
contre la mort à quoi elle mène nécessairement. Au lieu de nous refai
178
un flambeau brûlant et éclatant. Survint alors la
maladie
qui nous l’arrache dans sa quarante-sixième année. » Le seul autoport
179
ation qui sont en crise. Le divorce y devient une
maladie
sociale, les instituteurs désertent leurs postes mal payés et sans av
180
es. Car ce sont les richesses d’autrui et non ses
maladies
que l’on jalouse. Si l’un de ces quatre grands malades recouvrait sub
181
Le besoin de la gloire est donc né d’une sorte de
maladie
du sens social. C’est le contraire de l’amour du prochain. L’individu
182
ce qu’on dit. Regardez les morts et toutes leurs
maladies
— comme elle vous les nettoie, la terre ! » 9. Antée est le fils de