1 ros, ou le Désir sans fin (Platonisme, druidisme, manichéisme .) Platon nous parle dans Phèdre et le Banquet d’une fureur qui va

2 nant compte de ce que nous savons par ailleurs du manichéisme , et des méthodes inquisitoriales, il nous est possible de reconstitue

3 siècle, une synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien, de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée

4 r et de la créature. Et l’on accusa ces poètes de manichéisme déguisé, sur la foi de leur langage symbolique. Al-Hallaj et Sohrawar

5 able à l’Église d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de

6 ique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme , soufisme). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Tho

7 s, ou le Désir sans fin (Platonisme, druidisme, manichéisme .) Platon nous parle dans Phèdre et le Banquet d’une fureur qui va

8 utit à un dualisme final, bien qu’à l’encontre du manichéisme , elle professe l’idée d’une création unique, toute divine et toute bo

9 siècle, une synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien, de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée

10 r et de la créature. Et l’on accusa ces poètes de manichéisme déguisé, sur la foi de leur langage symbolique. Al-Hallaj et Sohrawar

11 able à l’Église d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de

12 ialistes de l’amour courtois, du catharisme et du manichéisme , et peut-être l’expérience vécue autant que de nouvelles recherches p

13 déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dans le manichéisme , en un Dieu bon qui est pur esprit et un Démiurge qui domine la matiè

14 grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme . Selon l’école néo-cathare française, les hérétiques du xiie siècle

15 quel toute communication entre le tantrisme ou le manichéisme bouddhiste et les hérésies du Midi doit apparaître « hautement fantai

16 morale courtoise, dans toute la virulence de son manichéisme , qui triomphe du jugement de l’Église et du siècle, complices aux yeu

17 ique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme , soufisme). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Tho

18 os, ou le Désir sans fin Platonisme, druidisme, manichéisme . Platon nous parle dans Phèdre et le Banquet d’une fureur qui va d

19 utit à un dualisme final, bien qu’à l’encontre du manichéisme elle professe l’idée d’une création unique, toute divine et toute bon

20 siècle, une synthèse non moins « improbable » de manichéisme iranien, de néo-platonisme et d’islamisme s’était bel et bien opérée

21 r et de la créature. Et l’on accusa ces poètes de manichéisme déguisé, sur la foi de leur langage symbolique. Al-Hallaj et Sohrawar

22 le à l’Église d’Amour des cathares. b) selon le manichéisme iranien, dont s’inspiraient les mystiques de l’école illuminative de

23 ialistes de l’amour courtois, du catharisme et du manichéisme , et peut-être l’expérience vécue autant que de nouvelles recherches p

24 déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dans le manichéisme , en un Dieu bon qui est pur esprit et un Démiurge qui domine la matiè

25 grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme . Selon l’école néocathare française, les hérétiques du xiie siècle a

26 quel toute communication entre le tantrisme ou le manichéisme bouddhiste et les hérésies du Midi doit apparaître « hautement fantai

27 morale courtoise, dans toute la virulence de son manichéisme , qui triomphe du jugement de l’Église et du siècle, complices aux yeu

28 ique courtoise et de ses sources (néo-platonisme, manichéisme , soufisme). La mythification a trop bien réussi, soit que Béroul, Tho

29 , il ne pouvait être senti que sous la forme d’un manichéisme inversé, comme on le voit par l’exemple de Marx. Pourtant, chez les s

30 , au développement d’une attitude qui rappelle le manichéisme , encore que les valeurs se trouvent inversées : ce n’est plus la Natu

31 etour à l’axe Au contraire du bouddhisme et du manichéisme , l’orthodoxie chrétienne ne condamne pas le monde manifesté de la Nat

32 alistes, de l’amour courtois, du catharisme et du manichéisme , et peut-être l’expérience vécue autant que de nouvelles recherches p

33 déesse, comme en Égypte, soit enfin comme dans le manichéisme , en un Dieu bon qui est pur esprit et un démiurge qui domine la matiè

34 grandes lignes, porte des traces indiscutables de manichéisme . Selon l’école néo-cathare française, les hérétiques du xiie siècle

35 duquel toute communication entre le tantrisme, le manichéisme bouddhiste, et les hérésies du Midi doit apparaître « hautement fanta

36 , il ne pouvait être senti que sous la forme d’un manichéisme inversé, comme on le voit par l’exemple de Marx. Pourtant, chez les s

37 , au développement d’une attitude qui rappelle le manichéisme , encore que les valeurs se trouvent inversées : ce n’est plus la Natu

38 etour à l’axe Au contraire du bouddhisme et du manichéisme , l’orthodoxie chrétienne ne condamne pas le monde manifesté de la Nat

39 me. Ou bien c’est la Nature qui serait mauvaise : manichéisme . Mais bien et mal supposent une Autorité suprême qui juge : si l’on r

40 igatoires dans le mariage, mais condamnées par le manichéisme des cathares. C’est dans la cortezia que je vois l’origine de l’éroti

41 chrétiennes datent des iiie et ive siècles : le manichéisme , l’arianisme, le donatisme, le monophysisme, etc., et ils n’ont cessé