1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde , et qui n’a pas peur… ⁂ Le reste de la vie, c’est toujours entre deux
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde , et qui n’a pas peur… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’att
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde , et qui n’a pas peur… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’att
4 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
4 moment où le fugitif embrassait la fille dans sa mansarde et le moment où il va s’embarquer ? — Rien. — J’ai vraiment tout vu ?
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
5 la plus jolie ? Sans doute celle qui dort dans la mansarde , et qui n’a pas peur… Mais c’est l’aînée que je préfère, et qui m’att
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
6 moment où le fugitif embrassait la fille dans sa mansarde et le moment où il va s’embarquer ? — Rien. — J’ai vraiment tout vu ?
7 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Robert Aron : le témoin d’une génération passionnée (9 mars 1974)
7 llimard, où il disposait d’un bureau contigu à la mansarde où Jean Paulhan, seul avec sa femme, faisait la NRF . Je le revois s
8 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
8 il était le secrétaire, d’un bureau contigu à la mansarde où Jean Paulhan, seul avec sa femme, faisait la NRF — pour moi, tel