1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
1 ris … Les archets jouaient sur mes nerfs. Le jazz martelait mon désespoir. Désespoir étroit, ces œillères géantes aux pensées, le
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
2 le parquet jusqu’à produire un roulement continu, marteler encore plus vite en tourbillonnant, choir enfin dans une vaste culbut
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 le parquet jusqu’à produire un roulement continu, marteler encore plus vite en tourbillonnant, choir enfin dans une vaste culbut
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 le parquet jusqu’à produire un roulement continu, marteler encore plus vite en tourbillonnant, choir enfin dans une vaste culbut
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
5 s ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées  — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Dem
6 uxième Concerto brandebourgeois, mais deux radios martèlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue… Je me souviens de ce
6 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
7 réticent. Le vieux le tient par la manche et lui martèle de sa canne le bout des souliers : « Tu m’entends ? Nous ôtres, nous
7 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
8 réticent. Le vieux le tient par la manche et lui martèle de sa canne le bout des souliers : — Tu m’entends ? Nous ôtres, nous
8 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
9 nd il ne retentit pas comme un défi dans les rues martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer sous les voûtes d’une h
9 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
10  ! Nuit lugubre et sans sommeil — rythmée d’armes martelées — Ha ! ha ! — Meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que di
10 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
11 uxième Concerto brandebourgeois, mais deux radios martèlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue… Je me souviens de ce
11 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
12 uxième Concerto brandebourgeois, mais deux radios martèlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue… Je me souviens de ce
12 1946, Journal des deux mondes. Intermède
13 us ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées  — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Dem
13 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
14 uxième Concerto Brandebourgeois, mais deux radios martèlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue… Je me souviens de ce
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 le parquet jusqu’à produire un roulement continu, marteler encore plus vite en tourbillonnant, choir enfin dans une vaste culbut
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
16 réticent. Le vieux le tient par la manche et lui martèle de sa canne le bout des souliers : « Tu m’entends ? Nous ôtres, nous
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
17 nd il ne retentit pas comme un défi dans les rues martelées de bottes, ou comme un hymne sacral au Führer sous les voûtes d’une h
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Intermède
18 us ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées  — meute folle, meurtrière — ô rumeur irréparable — que dis-tu ? — Dem
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
19 uxième Concerto brandebourgeois, mais deux radios martèlent ce Tchaïkovski qu’on entend siffler dans la rue… Je me souviens de ce
19 1963, L’Opportunité chrétienne. Préface
20 s « tout cela mais rien que cela » inlassablement martelés , sa manière dramatique d’exclure sans cesse tout ce qui risquerait de