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ons — et donc les habitants des rives — contre le
mercure
qu’on déverse chaque jour dans le lac, au point que la lotte n’est pl
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Le Léman est pollué par le Rhône qui y déverse du
mercure
(déchet d’industries pharmaceutiques), par les égouts des villes vaud
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on sur les campagnes, l’accumulation du DDT ou du
mercure
dans l’organisme humain, la pollution des eaux souterraines et des fl
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’exploitation forcenée des réserves naturelles de
mercure
et de pétrole, par exemple, se traduit par une pollution correspondan
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une récolte normale et la famine. Le plomb et le
mercure
s’accumulent rapidement sur la calotte glaciaire du Groenland et dans
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llués à mort ou agonisants (il y a déjà autant de
mercure
dans les eaux profondes du Léman qu’au fond de la baie de Minamata),
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tempêtes, ni les contagions, ni le déversement du
mercure
dans nos lacs et du pétrole dans nos eaux territoriales, ni les ondes
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euves pollués. (Exemples : le lac Léman pollué au
mercure
et au phosphore, et fortement eutrophisé ; le Rhin, pollué par cinq p