1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
1 as, comme on a fait, que c’est très joli de crier merde pour Horace, Montaigne, Descartes, Schiller, Voltaire, etc., et tout
2 mplètes de Karl Marx ? Si vous ne dites pas aussi merde pour Marx ou Lénine, je le dirai pour vous. Quand on a entrepris la R
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
3 in — (avec ces auteurs-là) — de ceux qui écrivent merde cent fois la ligne pour faire croire qu’ils sont forts. Je n’ai pas b
3 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
4 rance, et je pourrai me faire libérer. » Il dit : merde  ! et se voit arrêté sur le champ. De la prison de Pontarlier, il écri