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de service peut porter aussi bien, par exemple, à
militer
en faveur du marxisme, philosophie antichrétienne dans son essence, e
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’est le seul d’entre les jeunes protestants qui «
milite
» publiquement et en tant que chrétien, dans un parti parlementaire.
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que le tout. Ou encore : le but est simplement de
militer
bruyamment dans le parti, moins par amour passionné pour son idéal qu
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al, qui est le cauchemar de sa vie. Après avoir «
milité
» pendant quarante ans, ce prophète en Chambre découvre qu’en somme i
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que le tout. On encore : le but est simplement de
militer
bruyamment dans le parti, moins par amour passionné pour son idéal qu
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ous des œuvres qui affirment, qui combattent, qui
militent
en faveur d’un ordre vrai, donnez-nous des romans qui riment à quelqu
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le désirent…) Pour l’instant, nous ne pouvons que
militer
dans une direction générale qui se précisera par les obstacles mêmes
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n sens quelconque pour notre action — soit qu’ils
militent
pour ou contre elle, soit qu’il y ait intérêt à faire voir que les éc
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ire voir que les écrits les plus « indifférents »
militent
toujours bon gré mal gré pour quelque chose, même s’ils préfèrent l’i
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juge bon de s’inscrire au parti communiste ou de
militer
en sa faveur : l’alternative où il se place est sans issue. Car ou bi
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ions traditionnelles », un parti où l’on puisse «
militer
» avec une bonne conscience intellectuelle impossible partout ailleur
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r des réflexes de pensée fédéraliste, si ceux qui
militent
deviennent eux-mêmes intégralement fédéralistes, je vous l’assure, la
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ts contre le fédéralisme en soi. Quant à ceux qui
militent
pour l’union de nos peuples, ils ne sauraient étudier d’assez près ce
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n, et que j’idéalise les motifs terre à terre qui
militent
en faveur d’une union de l’Europe. On me dira que ces motifs immédiat
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es ou athées, créent leur œuvre en tant que tels,
militent
comme tels, tandis que nos auteurs protestants ne le sont plus guère
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if de conserver un pareil état de choses… Rien ne
milite
en sa faveur, pas même la raison, d’ailleurs bien faible, de l’économ
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, ce philosophe s’est, depuis dix ans, consacré à
militer
pour l’idée de faire l’Europe comme a été faite l’Amérique. Il suffit
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rappelle à ce propos les débuts de Rougemont qui
milita
avec Emmanuel Mounier pour fonder une nouvelle philosophie de la pers
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if de conserver un pareil état de choses… Rien ne
milite
en sa faveur, pas même la raison, d’ailleurs bien faible, de l’économ
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unie sait faire. Ainsi partout, les mêmes motifs
militent
en faveur d’un même type d’union : c’est toujours pour assurer la pai
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vivants qui aient eu le courage et la lucidité de
militer
pour une Europe unie, — Europe, mon pays que j’ai voulu chanter ! — t
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juge bon de s’inscrire au parti communiste ou de
militer
en sa faveur : l’alternative où il se place est sans issue. Car ou bi
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nous — et l’on sait dans quel camp j’ai toujours
milité
— il faut bien reconnaître que des deux côtés, une sorte de gêne empê
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ynold. Enfin, avec les groupes personnalistes (où
militent
des disciples de Reynold côte à côte avec des dirigeants de syndicats
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’intellectuels (écrivains, artistes et savants) à
militer
par un peu plus qu’une signature au bas d’un manifeste, Don Salvador
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en Europe, en faveur de laquelle il n’a cessé de
militer
depuis la fin de la guerre, c’est-à-dire depuis 1946. On s’étonnera a
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s ont trouvé trente-six raisons d’écrire. Ils ont
milité
pour des causes. Ils ont même inventé la notion de l’engagement, dans
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e cité : « En un mot, nous devons dans nos écrits
militer
en faveur de la liberté de la personne et de la révolution socialiste
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x occupants de Kaiseraugst. Mais d’autres raisons
militaient
aussi en faveur de cet engagement. C’est dans sa belle et solide mais
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r tout de suite et, avec quelques amisai, j’avais
milité
en ce sens. Il se trouve que des manœuvres politiques ont empêché ce
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horreur des partis. Ce qui ne m’a pas empêché de
militer
un peu partoutap afin de conjurer, de différer les apocalypses qu’on
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ontreux, nous étions quelque cent-mille membres à
militer
dans l’Union européenne des fédéralistes. Cette association ne compte
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i pas connues, depuis plus de quarante ans que je
milite
pour le fédéralisme européen, de plus largement mobilisatrices. Elles
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s gouverneurs d’État et maires de mégalopoles qui
militent
aux USA pour les autonomies locales et les régions transétatiques. Ce
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nnées 1930 », il fustigeait déjà l’État-nation et
militait
pour un fédéralisme à base de régions et de communes dotées d’une lar
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européenne Ecoropa, Denis de Rougemont a toujours
milité
pour que l’Europe trouve son identité à travers les petites communaut
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s. À mes amis fédéralistes, dont beaucoup avaient
milité
avant la guerre dans nos groupements personnalistes, puis inspiré la
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as. L’Europe pour laquelle il n’a jamais cessé de
militer
n’était pas celle du cosmopolitisme, mais non plus celle des frontièr