1
doyer ressuscite ces adolescences avec une tendre
minutie
, avec une sorte d’amoureuse application du souvenir, d’une séduction
2
frappe, dès les premières pages, c’est l’extrême
minutie
du récit. Les auteurs qui écrivent leurs mémoires s’attachent d’ordin
3
e : il se borne à décrire ces apparences avec une
minutie
qui suffit à dénoncer leur absurdité réelle, en même temps qu’il se r
4
Il considère notre vie quotidienne, mais avec une
minutie
telle qu’on ne tarde pas à pressentir que la plupart de nos démarches
5
nent dans l’ensemble une impression de crampe, de
minutie
maniaque, de méchanceté d’impuissants qui se torturent à plaisir pour
6
alors, il faudrait citer ses sources avec plus de
minutie
, et quand on donne un chiffre, donner aussi les moyens de l’interprét
7
ante. Il considère notre vie quotidienne avec une
minutie
qu’elle ne supporte guère. L’état d’extrême lucidité que suscite en n
8
nent dans l’ensemble une impression de crampe, de
minutie
maniaque, de méchanceté d’impuissants qui se torturent à plaisir pour
9
nous prépare à droite comme à gauche, avec cette
minutie
sourde et aveugle aux indications du réel qu’apportent à leurs petite
10
nous prépare à droite comme à gauche, avec cette
minutie
sourde et aveugle aux indications du réel qu’apportent à leurs petite