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és et assurés. Rationalistes : les immobiles, les
misanthropes
, ceux qui ne veulent pas avoir de prochains, ceux qui refusent de con
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és et assurés. Rationalistes : les immobiles, les
misanthropes
, ceux qui ne veulent pas avoir de prochain, ceux qui refusent de conn
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e 48, évoque l’idée d’une amicale universelle des
Misanthropes
ou d’une mutuelle des égoïstes. On peut écrire de telles choses, non
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1848, évoque l’idée d’une amicale universelle des
misanthropes
ou d’une mutuelle des égoïstes. On peut écrire de telles choses, non
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t guère plus facile à réaliser qu’une amicale des
misanthropes
. Refusé par le roi de France Louis XI et par le pape Pie II, le plan
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neté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des
misanthropes
. Je crois à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt, de
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iquer la méthode du fédéralisme. L’amicale des
misanthropes
Puissance ou liberté : ces deux finalités commandent deux politiqu
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neté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des
misanthropes
. Je crois à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt de l
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neté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des
misanthropes
. Je crois à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt, de
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neté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des
misanthropes
. Je crois à la nécessité de défaire nos États‑nations. Ou plutôt, de
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. Je l’ai souvent dit : ce serait une amicale des
misanthropes
— chose qu’on peut écrire, non faire, car ou bien on a une vraie amic
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n a une vraie amicale, mais alors il n’y a pas de
misanthropes
, ou bien on a de vrais misanthropes, mais alors il n’y a pas d’amical
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n’y a pas de misanthropes, ou bien on a de vrais
misanthropes
, mais alors il n’y a pas d’amicale. L’Europe que nous voulons sera fé
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ition d’États ? Moi, j’appelle cela l’amicale des
misanthropes
. Ou bien, il y a une amicale et les membres de l’amicale ne sont plus
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cale et les membres de l’amicale ne sont plus des
misanthropes
; ou bien, ils restent des misanthropes et, par définition, ne feront
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plus des misanthropes ; ou bien, ils restent des
misanthropes
et, par définition, ne feront jamais d’amicale. C’est exactement ce q
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s, rêvée par de Gaulle, ce serait une amicale des
misanthropes
, chose que l’on peut énoncer mais non pas faire ; car ou bien l’on fa
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ait une vraie amicale, mais alors on cesse d’être
misanthrope
, ou bien l’on reste misanthrope, mais alors il n’y a pas d’amicale. L
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s on cesse d’être misanthrope, ou bien l’on reste
misanthrope
, mais alors il n’y a pas d’amicale. La fédération européenne s’établi
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nion des États-nations, ce serait une amicale des
misanthropes
. Cela peut s’écrire, non se faire. Car ou bien vous faites une amical
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ous faites une amicale, mais vous n’êtes plus des
misanthropes
. Ou bien vous restez misanthropes, et alors toute possibilité d’amica
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n’êtes plus des misanthropes. Ou bien vous restez
misanthropes
, et alors toute possibilité d’amicale est exclue. Quand les ministres
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st là leur hypocrisie. Je l’appelle l’amicale des
misanthropes
. Cela peut se dire, non se faire. La seule forme d’union concevable e
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, je l’ai baptisée depuis longtemps l’amicale des
misanthropes
. Cela peut se dire, non se faire, pour des raisons que l’on voit très
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’est ce que j’ai appelé souvent « une amicale des
misanthropes
» : c’est une chose que l’on peut dire, mais que l’on ne peut pas fai
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vous faites une « amicale », vous cessez d’être «
misanthropes
» ; mais si vous restez misanthropes, vous ne faites pas une amicale.
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sez d’être « misanthropes » ; mais si vous restez
misanthropes
, vous ne faites pas une amicale. Or depuis 25 ans, les ministres de n
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rope des États, que j’ai nommée une « amicale des
misanthropes
» — quelque chose qu’on peut dire mais non pas faire. L’Europe que to
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rope des États, que j’ai nommée une « amicale des
misanthropes
» — quelque chose qu’on peut dire mais non pas faire. L’Europe que to
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ne contradiction dans les termes, une amicale des
misanthropes
. Si l’obstacle est l’État-nation — comme il le démontre lui-même avec
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nt parler d’un cercle carré, ou d’une amicale des
misanthropes
. D’ailleurs, cette souveraineté est de plus en plus illusoire. En eff
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carré. Ce serait tenter de fonder une amicale des
misanthropes
, projet radicalement contradictoire en soi, pour des raisons bien évi
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comme je l’ai dit souvent, fonder une amicale des
misanthropes
. On peut écrire ces choses, on peut les dire, on ne peut pas les fair
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tats-nations, la volonté de créer une amicale des
misanthropes
: c’est une chose que l’on peut écrire mais que l’on ne peut pas fair
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mais que l’on ne peut pas faire, car ou bien ces
misanthropes
veulent une amicale, mais alors ils ne sont plus misanthropes, ou bie
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veulent une amicale, mais alors ils ne sont plus
misanthropes
, ou bien ils restent misanthropes, mais alors ils n’ont pas l’idée de
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ls ne sont plus misanthropes, ou bien ils restent
misanthropes
, mais alors ils n’ont pas l’idée de faire une amicale, ou seulement p
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s un mot sur sa forme : fédération ou amicale des
misanthropes
; pas un mot sur les sacrifices qu’aucun pays ne s’est dit prêt à con
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des trois solutions que voici : — une amicale des
misanthropes
; — un mariage qui garantisse aux conjoints leurs droits de célibatai
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neté absolue. Je ne crois pas à cette amicale des
misanthropes
. Je crois à la nécessité de défaire nos États-nations. Ou plutôt, de