1 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
1 et dans ses lumineuses conquêtes sur le doute, le modèle des réponses désirées. Tout cela, c’est l’atmosphère de la chapelle o
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
2 âcher la proie pour l’ombre que de tendre vers ce modèle . Dirais-je que c’est ma sincérité d’y aller par les moyens les plus e
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 teront soient aussi beaux que ceux qu’il peint ou modèle , le soir, à la lampe, en compagnie de sa femme (elle peint aussi, d’u
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
4 ail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle , il est absurde. Mais où sont à l’école les modèles de ce qu’on nomma
5 odèle, il est absurde. Mais où sont à l’école les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va supprimer les
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
6 e que son entourage ne peut plus lui donner : des modèles de pensée. Un entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de connai
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
7 ail n’a qu’une valeur éducatrice : s’il n’est pas modèle , il est absurde. Mais où sont à l’école les modèles de ce qu’on nomma
8 odèle, il est absurde. Mais où sont à l’école les modèles de ce qu’on nommait autrefois la belle ouvrage ? On va supprimer les
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
9 e que son entourage ne peut plus lui donner : des modèles de pensées. Un entraînement de l’esprit, au lieu d’une somme de conna
8 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
10 tout humanisme paraît enclin : celle de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin, un canon d
11 un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréco-latin, un canon de l’âme aussi bien que du corps. Il est possib
12 n, depuis toujours : il le nomme péché.) Tous les modèles que l’homme se propose ont ceci d’insuffisant : qu’ils peuvent être a
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
13 rande bourgeoisie pour une gamine qui lui sert de modèle dans son atelier. Autour de cet incident, assez émouvant, on entrevoi
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
14 res ressemblent à ces peintres sous les traits du modèle . Cet air de famille qu’ont tous les personnages peints par Rembrandt,
11 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
15 ule exactitude des pensées —, nous connaissons le modèle immortel, le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la filiation
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
16 sur « les bruits de mon village » qui servira de modèle aux écoliers futurs. Mais lorsqu’il stigmatise les méfaits des « gran
13 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
17 qui suivent en vérité des fantômes tués par leurs modèles , sont les orthodoxes qui momifient Lénine pour oser enfin l’adorer, t
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
18 bien de rétablir un équilibre « humain », sur les modèles récemment présentés par MM. Hitler et Staline. Je m’en tiens là dans
15 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
19 ainsi toutes les nuances, avec un art égal à son modèle . On voudrait pourtant qu’il lui donne parfois libre carrière, qu’il n
16 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
20 e. Tant de biographes brillent aux dépens de leur modèle . Modeste et sûr, celui-ci nous aidera. ⁂ Mais une fois rétablie la pe
17 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
21 nombre de vertus officielles, et qui prenne pour modèle le Citoyen-Respectable ou le Travailleur en soi. Mais une morale qui
18 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
22 egrette parfois qu’il suive à pas si prudents son modèle , et que l’admiration que lui inspire Calvin s’exprime en termes aussi
19 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
23 e. Tant de biographes brillent aux dépens de leur modèle  ! Modeste et sûr, celui-ci nous aidera. 2. Point de vue explicatif
20 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
24 par la Fédération des étudiants chrétiens, sur le modèle des Équipes sociales de Robert Garric. Créer des contacts vivants ave
21 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
25 l. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther, mais pour se condamner. Il aff
22 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
26 e trente-six morales contradictoires et autant de modèles qu’ils voudraient égaler, et cependant ils suivent la coutume bourgeo
23 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
27 homme seul. Croire en l’homme, c’est croire en un modèle à quoi les hommes pourraient ou devraient s’égaler. Mais quelle sera
28 devraient s’égaler. Mais quelle sera la valeur du modèle que l’homme peut imaginer de lui-même ? Elle ne sera jamais que relat
29 imaginé dans un absolu existant. Le plus sublime modèle et le plus attirant, l’imagination la plus dynamique de l’homme parfa
24 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
30 nombre de vertus officielles, et qui prenne pour modèle le Citoyen-Respectable ou le Travailleur en soi. Mais une morale qui
25 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
31 ui nous apprennent à écrire, qui nous donnent les modèles , qui prévoient les déformations nécessaires de l’écriture courante. I
26 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
32 er. Elle se cherche une tradition, plutôt que des modèles d’importation récente. Il ne faut pas oublier que la France est le pa
27 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
33 binaison d’un atome. Mais il nous faut laisser ce modèle mécanique, puisqu’aussi bien la personne en elle-même n’est passible
28 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
34 homme seul. Croire en l’homme, c’est croire en un modèle à quoi les hommes pourraient ou devraient s’égaler. Mais quelle sera
35 devraient s’égaler. Mais quelle sera la valeur du modèle que l’homme peut imaginer de lui-même ? Elle ne sera jamais que relat
36 imaginé dans un absolu existant. Le plus sublime modèle et le plus attirant, l’imagination la plus dynamique de l’homme parfa
29 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
37 nombre de vertus officielles, et qui prenne pour modèle le Citoyen-Respectable ou le Travailleur en soi. Mais une morale qui
30 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
38 ui nous apprennent à écrire, qui nous donnent les modèles , qui prévoient les déformations nécessaires de l’écriture courante. I
31 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
39 er. Elle se cherche une tradition, plutôt que des modèles d’importation récente. Il ne faut pas oublier que la France est le pa
32 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
40 eur d’un pamphlet fameux voulait nous donner pour modèle du clerc qui ne trahit pas. Mais une figure presque parfaite d’intell
33 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
41 trouver cette force et ce maître, comment voir ce modèle idéal qui saurait nous rendre capables d’affronter la réalité — pour
34 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
42 alon, où est la mesure commune, et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est rien d’autre qu’une rational
35 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
43 s qu’à imiter, l’acte demeure un pur possible, un modèle d’acte, une abstraction, c’est-à-dire quelque chose que nous pouvons
44 oi, mais c’est peut-être simplement « singer » un modèle flatteur et rassurant. Et pourquoi ? Parce que « le chemin » est invi
45 e pieux, du moraliste, que de prétendre imiter le modèle que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la lecture des évangil
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
46 t dans le visage qui conditionne le regard, et se modèle selon les prises du regard. (En allemand, le seul mot Gesicht signifi
47 nature des choses qu’il évoque, non point sur les modèles rhétoriques que l’école nous a mis dans la tête. Presque toutes les s
37 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
48 une doctrine n’est-ce pas justement d’offrir un «  modèle  » d’action juste et bienfaisante ? Et si personne ne veut plus s’occu
38 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
49 xes pour l’exprimer ou l’inventer, on chercha des modèles et des trucs dans les littératures bourgeoises, au hasard des tendanc
39 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
50 sa vraie force. Car de l’auteur tout comme de son modèle légendaire, nous voyons bien que « ses ruses sont aussi ses plus chèr
51 moins les pages sur Barrès, peut-être à cause du modèle , peut-être aussi à cause de l’influence qu’il exerce encore sur Petit
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
52 que ordre, il importe avant tout de distinguer le modèle simple qui détermine l’échelle des valeurs. Lorsque nous agissons en
53 e, mais l’élégance et la conformité aux meilleurs modèles antiques27. La mesure cesse d’être un outil. Elle se distingue de son
54 eul coup d’œil à l’énumération qu’il donne de ses modèles latins : Tite-Live, Pline, Frontin et Paul Orose. (De vulg. eloqu. II
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
55 ôle sur son parler, qu’elle ne rapporte plus à un modèle unique, et qu’elle ne soumet plus à un but unanime. Si bien que les é
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
56 xes pour l’exprimer ou l’inventer, on chercha des modèles et des trucs dans les littératures bourgeoises, au hasard des tendanc
43 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
57 derne » que des moyens. Et c’est précisément à ce modèle scientifique que se conforment l’art, les lettres et la philosophie m
58 e cas d’un mauvais peintre, qui ferait à tous ses modèles des yeux écarquillés parce que les siens sont tels. Ainsi les portrai
59 là même de son visage, qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cette particularité de la nature humain
60 milliers d’étudiants, c’est cela qui constitue le modèle calligraphique de la pensée moderne. Ces milliers d’étudiants enseign
44 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
61 e leurs problèmes intellectuels peuvent servir de modèle à l’homme d’action, moyennant une « réalisation » au sujet de laquell
62 des problèmes qu’ils traitent, non point par des modèles flatteurs ? Plus simplement encore, et sans juger des réussites, comb
63 e style s’ordonne à sa fin, et non plus à de bons modèles . Et qu’il rappelle à la situation, au lieu de rappeler des sources. Q
64 qui se souvient d’une éternité raisonnable, d’un modèle qu’il pourrait imiter. L’homme, en tant qu’homme est bien un créateur
45 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
65 r la France, les nations jeunes, faute d’un autre modèle , se laisseront engager dans des imitations monstrueuses du jacobinism
66 ricatures brutales, artificielles, épouvantent le modèle lui-même ? Fédéralisme : dernière chance de la paix ! Qu’on se le dis
46 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
67 que ordre, il importe avant tout de distinguer le modèle simple qui détermine l’échelle des valeurs. Lorsque nous agissons en
68 e, mais l’élégance et la conformité aux meilleurs modèles antiques28. La mesure cesse d’être un outil. Elle se distingue de son
69 eul coup d’œil à l’énumération qu’il donne de ses modèles latins : Tite-Live, Pline, Frontin et Paul Orose. [De vulg. eloqu. II
47 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VIII. Décadence des lieux communs
70 ôle sur son parler, qu’elle ne rapporte plus à un modèle unique, et qu’elle ne soumet plus à un but unanime. Si bien que les é
48 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — X. La mesure soviétique
71 xes pour l’exprimer ou l’inventer, on chercha des modèles et des trucs dans les littératures bourgeoises, au hasard des tendanc
49 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
72 derne » que des moyens. Et c’est précisément à ce modèle scientifique que se conforment l’art, les lettres et la philosophie m
73 e cas d’un mauvais peintre, qui ferait à tous ses modèles des yeux écarquillés parce que les siens sont tels. Ainsi les portrai
74 là même de son visage, qu’une reproduction de ses modèles qui nous importent assez peu. Cette particularité de la nature humain
75 milliers d’étudiants, c’est cela qui constitue le modèle calligraphique de la pensée moderne. Ces milliers d’étudiants enseign
50 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
76 e leurs problèmes intellectuels peuvent servir de modèle à l’homme d’action, moyennant une « réalisation » au sujet de laquell
77 des problèmes qu’ils traitent, non point par des modèles flatteurs ? Plus simplement encore, et sans juger des réussites, comb
78 e style s’ordonne à sa fin, et non plus à de bons modèles . Et qu’il rappelle à la situation, au lieu de rappeler des sources. Q
79 qui se souvient d’une éternité raisonnable, d’un modèle qu’il pourrait imiter. L’homme, en tant qu’homme est bien un créateur
51 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
80 t le cas du marxiste. N’ayant pas derrière lui de modèle accompli, ni en lui de Présence souveraine, il se sent libre d’appliq
52 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
81 xemples qu’il ne convient pas de prendre pour des modèles , mais dont l’évocation fera sentir que, dans toute Révolution se prod
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
82 tre problème actuel. Notre pensée nous donne des modèles d’ordre que la société toute défaite qui est la nôtre ne paraît plus
83 he, joue le rôle d’un objet exemplaire : c’est un modèle de composition disciplinée et organique. Iphigénie ou Les affinités é
84 s en soi, objectives : car prétendant à servir de modèles , de telles œuvres auraient d’autant moins de puissance exemplaire et
85 rer, elles resteraient des « utopies ». Les seuls modèles que nous puissions prétendre offrir, ce sont les preuves de notre eng
54 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Deuxième partie. Pauvre province
86 recevoir les signes certains de la joie. Voilà le modèle de toute simplicité, de toute richesse reçue dans la pauvreté, mais a
55 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Troisième partie. L’été parisien
87 toujours terne et même conventionnelle comme ses modèles à la distance où elle les voit. Je crains qu’elle n’intéresse que les
56 1938, Journal d’Allemagne. Appendice iii. Les jacobins en chemise brune
88 r la France, les nations jeunes, faute d’un autre modèle , se laisseront engager dans des imitations monstrueuses du jacobinism
89 ricatures brutales, artificielles, épouvantent le modèle lui-même ? Fédéralisme : dernière chance de la paix ! Car les efforts
57 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
90 s, leur imposant un régime centraliste inspiré du modèle français. 2. Sur quoi se basaient les revendications hitlériennes ? —
58 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
91 es ? Comment peuvent-ils nous présenter tel qu’un modèle de chevalerie ce Tristan qui a trompé son roi par les ruses les plus
59 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
92 stantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans le mariage de l’Église et de son Seigneur. Ces deux extrêmes
93 ne des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles  : tout compte fait, cela ne se tient pas, car les troubadours, paraît
94 èbres72. Il en ressort que Dante aurait pris pour modèle le Livre du Voyage nocturne du mystique Ibn el Arabi, écrit quatre-vi
60 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
95 ique ; qu’il redécouvre leur nécessité ; qu’il se modèle spontanément à la ressemblance du « sublime » qu’elles ont su rendre
96 pique et romanesque de la France du Nord comme le modèle universel de toute prose narrative, et Brunetto Latini extrait de Tri
97 qui finit beaucoup plus mal, — se rapprochant du modèle primitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la p
98 taille. La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les auteurs dramatiques d’avant-guerre, c’est simplem
61 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
99 et des amours d’une pureté angélique à servir de modèles aux races futures ! » Je ne prends pas à mon compte toutes ces « expl
62 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
100 -là même qu’avec combien de raison vous offrez en modèle à vos disciples. (Mais oui, vous en avez, et je les souhaite nombreux
63 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
101 es ? Comment peuvent-ils nous présenter tel qu’un modèle de chevalerie ce Tristan qui a trompé son roi par les ruses les plus
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
102 stantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans le mariage de l’Église et de son Seigneur. Cela suppose une
103 ne des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles  : tout compte fait, cela ne se tient pas, car les troubadours, paraît
104 ux rives de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage de l’amour-passion. 10.Vue d’ensemble du phé
105 la dernière génération expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté. « Ce n’est plus de l’amour courtois, si on le matéria
106 es choix, Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprement religieuse du mythe dualiste de Tristan. Mais
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
107 ique ; qu’il redécouvre leur nécessité ; qu’il se modèle spontanément à la ressemblance du « sublime » qu’elles ont su rendre
108 pique et romanesque de la France du Nord comme le modèle universel de toute prose narrative, et Brunetto Latini extrait de Tri
109 s qui finit beaucoup plus mal — se rapprochant du modèle primitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la p
110 taille. La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les auteurs dramatiques d’avant-guerre, c’est simplem
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
111 ables ? Comment peuvent-ils nous présenter tel un modèle de chevalerie ce Tristan qui a trompé son roi par les ruses les plus
67 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
112 stantielle. Mais seulement une communion, dont le modèle est dans le mariage de l’Église et de son Seigneur. Cela suppose une
113 ne des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles  : tout compte fait, cela ne se tient pas, car les troubadours, paraît
114 ux rives de la mer civilisatrice, naquit le grand modèle occidental du langage de l’amour-passion. 10.Vue d’ensemble du phé
115 la dernière génération expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté. « Ce n’est plus de l’amour courtois, si on le matéria
116 es choix, Gottfried révèle beaucoup mieux que ses modèles l’importance proprement religieuse du mythe dualiste de Tristan. Mais
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
117 ique ; qu’il redécouvre leur nécessité ; qu’il se modèle spontanément à la ressemblance du « sublime » qu’elles ont su rendre
118 pique et romanesque de la France du Nord comme le modèle universel de toute prose narrative, et Brunetto Latini extrait de Tri
119 s qui finit beaucoup plus mal — se rapprochant du modèle primitif — l’on arrive à Jean-Paul, à Hölderlin, à Novalis. Dans la p
120 taille. La fameuse « pièce à trois personnages », modèle de presque tous les auteurs dramatiques de la Belle Époque, c’est sim
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
121 et des amours d’une pureté angélique à servir de modèle aux races futures ! (On dirait que Rimbaud a lu cela…) Je ne prends p
70 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
122 r en coopératives agricoles de production, sur le modèle des communautés de la Suisse primitive, au lieu de s’épuiser en concu
71 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
123 eur héroïsme civique et militaire, et qui sont un modèle pour l’Europe. » Oui, certes. Mais, en fait, que sont devenues ces li
72 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
124 , digne d’être exposé et en bonne place, comme un modèle valable pour l’Europe de demain. Voilà un travail immédiat. Nul besoi
73 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
125 e Rembrandt ressemblent autant à Rembrandt qu’aux modèles qui posaient devant lui. Ils nous décrivent le regard d’un génie, bie
74 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
126 eur héroïsme civique et militaire, et qui sont un modèle pour l’Europe ». Oui certes, mais ici encore, n’ayons pas peur d’y re
127 digne d’être exposée, et en bonne place, comme un modèle valable pour l’Europe de demain. Voilà un travail immédiat. Nul besoi
75 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
128 bien haut, et dans une œuvre exceptionnelle, mon modèle du Suisse allemand… Oh, bien sûr, ils ne sont pas tous des Gottfried
76 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
129 ssion complètement triomphante. De même, c’est le modèle universellement admiré et toujours répété de toutes les histoires d’a
77 1942, La Part du diable. Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
130 re, menace d’impliquer l’active complicité de son modèle . Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti
78 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
131 ces anges ou démons ailés dont ils trouvaient le modèle en Assyrie. Ce sont les rabbins qui ont écrit le livre d’Énoch, où l’
79 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
132 ous les degrés de la société. Elles offraient des modèles dans l’art de courtiser un supérieur, de dominer un inférieur, et d’o
80 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
133 re, menace d’impliquer l’active complicité de son modèle . Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti
81 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
134 ces anges ou démons ailés dont ils trouvaient le modèle en Assyrie. Ce sont les rabbins qui ont écrit le livre d’Énoch, où l’
82 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
135 ous les degrés de la société. Elles offraient des modèles dans l’art de courtiser un supérieur, de dominer un inférieur, et d’o
83 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
136 re, menace d’impliquer l’active complicité de son modèle . Jakob Boehme raconte qu’on demandait à Satan : Pourquoi es-tu sorti
84 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
137 les acteurs à succès, les écrivains célèbres, les modèles des grands couturiers, ou même les chefs cuisiniers des palaces inter
85 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
138 ots. Ainsi les lois formulées par la science, ces modèles d’expression claire, se réfèrent en réalité à des formes courantes du
86 1944, Articles divers (1941-1946). L’attitude personnaliste (octobre 1944)
139 presse personnalistes fournirent ainsi le premier modèle des publications fameuses de l’Underground. État présent et avenir
87 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 2. Goethe médiateur
140 et d’une utilité générale, il peut nous offrir le modèle , la formule et comme le thème dynamique d’une médiation plus vaste :
88 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
141 l. Lui-même ne s’est jamais comparé qu’aux grands modèles apostoliques : à saint Paul, à Luther, mais pour se condamner. Il aff
142 s qu’à imiter, l’acte demeure un pur possible, un modèle d’acte, une abstraction, c’est-à-dire quelque chose que nous pouvons
143 la foi, mais c’est peut-être simplement singer un modèle flatteur et rassurant. Et pourquoi ? Parce que le chemin est invisibl
144 e pieux, du moraliste, que de prétendre imiter le modèle que ses yeux voient et que sa chair perçoit (à la lecture des évangil
89 1944, Les Personnes du drame. III. Sincérité et authenticité — 7. Vues sur Ramuz
145 ulière des choses qu’il évoque, non point sur les modèles généraux que l’école nous a mis dans la tête. Presque toutes les sing
146 it représente un dialogue entre le peintre et son modèle . Mais comment distinguer la part de chacun des interlocuteurs ? La si
147 z d’aigle, ce n’est guère celui que les photos du modèle nous montrent. Le nez est d’ordinaire l’élément le plus impersonnel d
90 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
148 ent ni inscriptions ni nombres, et s’inspirent de modèles vénitiens. Dix-sept d’entre elles sont conservées à la Bibliothèque N
149 interdite dans de nombreux pays), s’inspirent de modèles du xviiie siècle avec plus ou moins de fidélité. Défaut courant : un
150 unes selon Court de Gébelin, les autres selon des modèles plus anciens, restitués par l’érudition. Et depuis Court de Gébelin,
91 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
151 d’un ton suave, quelque chose qui ressemble à un modèle de bombe atomique pour les enfants ? » La vendeuse ouvrit la bouche,
92 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
152 e me permettrais, dans ce cas, de lui suggérer le modèle du Christian Science Monitor, du New York Times ou du Herald Tribune.
93 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
153 ts, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraien
94 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
154 arge de rétablir un équilibre « humain », sur les modèles récemment présentés par MM. Hitler et consorts. ⁂ Je m’en tiens là da
155 ernières assises dans le pays qui lui offrait son modèle , mais qui est le seul, ou presque, d’entre nous, à ne point faire par
95 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
156 qu’il prétend réglementer ses énergies d’après un modèle uniforme, qu’il s’agisse d’une nation latine ou anglo-saxonne, social
157 e ou anglo-saxonne, socialiste ou capitaliste. Ce modèle est celui de l’État totalitaire, qui est l’état de guerre en permanen
96 1946, Lettres sur la bombe atomique. XV. L’État-nation
158 qu’il prétend réglementer ses énergies d’après un modèle uniforme, qu’elles soient latines ou anglo-saxonnes, socialistes ou c
159 u anglo-saxonnes, socialistes ou capitalistes. Ce modèle est celui de l’État totalitaire, qui est l’état de guerre en permanen
97 1946, Lettres sur la bombe atomique. XVIII. La paix ou la mort
160 ts, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraien
98 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
161 ts, l’autre de députés des peuples. (Je prends le modèle courant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraien
99 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
162 ue capitale dans notre siècle : il peut offrir le modèle même d’une union mondiale dans le respect des diversités traditionnel
100 1946, Lettres sur la bombe atomique. VIII . Un salon atomique
163 assent l’imagination — et la Bombe m’en paraît le modèle accompli — n’intéressent ou n’inquiètent que superficiellement. À vra